Algérie

JSK : La piste Gaya pas abandonnée


JSK : La piste Gaya pas abandonnée
Selon une source digne, les responsables de la JSK sont toujours sur les traces du gardien Gaya Merbah. Certains ont laissé entendre ces derniers jours qu'ils auraient abandonné sa piste à cause de ses prétentions financières, mais notre source a confié que tout cela n'est pas vrai et que Gaya Merbah est toujours dans les plans de la direction pour la saison à venir. Libre de tout engagement depuis qu'il a résilié le contrat le liant à l'IR Tanger, Gaya Merbah est convoité par plusieurs clubs de l'élite. Les responsables des Jaune et Vert sont sur ses traces depuis plusieurs semaines de cela et il fait toujours partie de leurs plans pour la saison prochaine. Il a reçu certes plusieurs offres depuis qu'il est rentré au pays, mais il n'a toujours pas tranché sur son avenir. Les dirigeants du MCA avaient fait le maximum pour le recruter au dernier mercato hivernal, mais ils auraient décidé de ne pas poursuivre les négociations avec lui en cette intersaison. Cela ne ferait qu'augmenter les chances de le voir porter le maillot des Jaune et Vert. Il avait déclaré, il y a quelques années de cela, que son rêve est de signer à la JSK, mais il devrait faire des efforts pour parvenir à un accord avec les dirigeants de la JSK. Ces derniers seraient certes prêts à faire le nécessaire pour engager les meilleurs joueurs sur le marché afin de jouer les premiers rôles la saison prochaine, mais ils ne comptent pas pour autant les faire signer sans négocier au préalable avec eux. Natif de Tadmait, Gaya Merbah a de fortes chances de rejoindre la JSK en cette intersaison, mais rien n'a été fait jusqu'à maintenant. Les dirigeants seraient toujours en pourparlers avec lui  et on sera beaucoup plus sur lui dans les jours à venir. L'intérêt de la direction pour lui n'est pas dû au hasard puisqu'il a acquis une grande expérience et il a déjà fait ses preuves ailleurs. Il avait résilié son contrat avec l'Ittihad Tanger à cause de la non-régularosation de sa situation financière. Il était en désaccord avec ses dirigeants depuis le mois de janvier avant qu'il ne réussisse à récupérer sa lettre de libération au début de ce mois de juin. B.