
Selon une source autorisée, les responsables de Mobilis ont réglé les dettes de l'ancien entraîneur adjoint Pedro Miguel Mimoso, celles de Boumechra, de Semir Smajlagic ainsi que celles d'autres joueurs se trouvant au niveau de la CNRL et de la FIFA.
De ce fait, l'interdiction de recrutement qui frappe le club sera incessamment levée, ce qui permettra aux responsables de la JSK de qualifier les recrues hivernales et l'entraîneur allemand Josef Zinnbauer ainsi que les membres de son staff. L'affaire de l'attaquant bosniaque Semir Smajlagic a coûté à la JSK plus de 7 milliards de centimes. Dès que les dirigeants ont reçu la notification du Tribunal arbitral des sports de Lausanne, les responsables de la JSK ont tenu une réunion avant d'informer Mobilis, le propriétaire du club, qui a décidé de payer la totalité de la somme. Si l'ancienne direction avait négocié avec lui, elle aurait trouvé une solution à l'amiable au lieu de tenter de faire croire aux supporters qu'il n'y avait pas u, cas Smajlagic. Idem pour l'ancien adjoint d'Almeida, Pedro Miguel Mimoso, qui a obtenu gain de cause et Boumechra dont les dettes au niveau de la CNRL seraient de près de 700 millions de centimes. Il y aurait d'autres cas, mais les responsables de Mobilis ont pris la décision de tout payer pour que l'interdiction de recrutement soit levée avant la fin de ce mercato hivernal.
Plus de cinq milliards pour Almeida
Alors que l'ancienne direction avait toujours affirmé qu'elle avait pris toutes ses dispositions pour qu'Almeida n'obtienne pas gain de cause, celui-ci a réussi finalement à gagner son bras de fer avec la JSK. Le verdict final sera rendu au mois de février prochain, mais d'après une source proche du dossier, la direction sera contrainte de lui payer plus de 5 milliards de centimes. Toutes ces sommes astronomiques auraient pu être utilisées pour recruter de grands noms si les anciens dirigeants n'avaient pas laissé toutes ces dettes. Au lieu de se consacrer exclusivement à leur recrutement, les dirigeants se sont retrouvés à gérer les dossiers de l'ancienne direction. Heureusement que Mobilis dispose de moyens lui permettant de régler toutes ces dettes, sinon, la JSK aurait été interdite de recruter en ce mercato hivernal. Il est utile de rappeler que depuis la prise en main de l'équipe, Mobilis a réglé plusieurs litiges au niveau de la CNRL et de la FIFA et il reste encore des dettes à régler, ce qui nécessite une enquête approfondie pour voir qui a fait quoi à la JSK ces dernières années.
B.
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Posté Le : 01/02/2025
Posté par : presse-algerie
Source : www.competition.dz