Algérie

JSK : Hannachi bloque Maroci et pose ses conditions



JSK : Hannachi bloque Maroci et pose ses conditions
Mazari convoité par la JSMB et le CRB.
El Orfi, c'est fini !.
Décidément, l'affaire Maroci semble prendre une nouvelle tournure en cette fin de semaine. Pour mieux comprendre ce qui s'est réellement passé, il faut remonter à mardi dernier, lorsque le joueur a paraphé son contrat d'une année à la JSK. Jusque-là, rien d'anormal. Mais il s'est avéré que 24 heures plus tard, le natif de Maghnia a réalisé un coup de théâtre en demandant à résilier son contrat, tout en restituant l'argent qu'il venait d'encaisser. Maroci a argumenté sa décision par un problème familial. Il a fait savoir aux responsables kabyles que sa mère l'aurait empêché de jouer à des centaines de kilomètres de Maghnia. Dans un premier temps, les dirigeants, à leur tête Hannachi, ont accepté l'idée de résilier le contrat du joueur, avant de se rétracter à la dernière minute. En effet, pas plus tard que jeudi soir, le président a expliqué à Maroci que son contrat ne sera pas résilié, du moins pour le moment, posant certaines conditions au joueur, avant d'officialiser la séparation.
Le joueur n'ira nulle part, excepté au MCO ou le WAT
En effet, d'après la même source d'information, Hannachi aurait accepté de résilier le contrat de Maroci uniquement si le joueur signe dans l'ouest du pays. Ce qui sous-entend que Maroci n'aura que deux choix possibles, soit le MCO ou le WAT. Le raisonnement de Hannachi est plus ou moins logique, du moment qu'il estime que si le joueur veut réellement se rapprocher de son domicile à Maghnia, il devra alors choisir entre le MCO et le WAT. Une décision qui a refroidi le joueur, qui n'a à présent que deux possibilités, soit signer dans un des clubs de l'ouest du pays soit jouer à la JSK. Et pour ne rien laisser au hasard, Hannachi a expliqué à Maroci que son contrat ne sera résilié qu'une fois son dossier de demande de licence aura été déposé au niveau de la LFP par le club preneur, histoire d'être persuadé que son contrat est bel et bien conforme.
L'offre de l'USMA change la donne
D'après les proches du président kabyle, Hannachi avait accepté dans un premier temps de résilier le contrat de Maroci sans aucune condition, excepté celle de restituer l'argent encaissé à la signature du contrat. Mais ce qui a fait changer d'avis au premier responsable du club, c'est l'offre qu'aurait reçue Maroci de l'USMA. Un proche du club a informé Hannachi que les arguments du joueur n'étaient qu'une mise en scène. Désormais, seule la prochaine destination de Maroci pourra dissiper le doute.
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Mazari convoité par la JSMB et le CRB
Après un suspense qui aura duré plus de deux semaines, le gardien de but de la JSK, Malik Asselah, a enfin, décidé de renouveler son contrat, pour encore une saison supplémentaire. Bien qu'il ait été contacté par plusieurs formations de la Ligue 1, Malik a jugé utile d'opter pour la stabilité et poursuivre son aventure avec le club kabyle. Cela dit, tous les clubs qui l'ont déjà approché n'auront désormais qu'à chercher ailleurs un autre gardien de but. En effet, nous avons appris d'une source bien informée que parmi ces formations, le CR Belouizdad et la JSM Béjaïa ont récemment pris attache avec Nabil Mazari qui se trouve être lui aussi en fin de contrat. Ce dernier, qui a été crédité d'une belle prestation lors de l'avant-dernier match du championnat contre les Béjaouis, a été sollicité par un dirigeant des Vert et Rouge, pour succéder à Cédric, qui a officiellement quitté le club. Cependant, le gardien de but de la JSK, qui n'a toujours pas rencontré son président, semble toujours indécis par rapport à la décision qu'il devra prendre.
Hannachi ne compte pas le lâcher
Même s'il n'a toujours pas rencontré son joueur, occupé qu'il était avec le recrutement, le président Hannachi n'a nullement l'intention de se séparer de Nabil Mazari, qui s'est toujours montré correct envers le club, et il ne tardera pas à inviter son gardien de but à négocier. La preuve, une source nous a fait savoir que Hannachi compte même recruter Lounès Gaouaoui, afin d'encadrer Malik Asselah et Nabil Mazari.
«Je n'ai pas encore rencontré le président»
Contacté par nos soins, hier, pour connaître sa situation, Nabil Mazari nous a révélé qu'il n'avait toujours pas rencontré ses dirigeants, ni son président pour en discuter : «Effectivement, je n'ai pas encore rencontré le président Hannachi pour les négociations d'usage. Seulement, je tiens à vous dire que je ne suis pas pressé. Je sais bien qu'il est occupé avec le recrutement des nouveaux joueurs. Donc, je patiente encore, avant de savoir s'ils auront encore besoin de moi et éventuellement négocier. A propos des contacts, je vous confirme que plusieurs clubs me veulent, à l'instar de la JSMB et du CRB. Seulement, je n'ai pas encore tranché. Je dois d'abord rencontrer le président.»
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Sa lettre de libération coûtera trop cher à la direction
El Orfi, c'est fini !
Comme nous l'avons annoncé dans nos précédentes éditions, le maintien de Hocine El Orfi au sein de l'effectif kabyle pour la saison prochaine n'est pas près de se concrétiser. Et pour cause, la lettre de libération du joueur pose un réel problème au président kabyle. Pour rappel, le joueur, qui est lié par un contrat de 2 ans avec le PAC, s'est entendu avec Zetchi pour que la JSK rachète son contrat. Sauf que le montant est jugé excessivement cher, puisqu'il atteint 1,5 milliard de centimes. Pis encore, le joueur devra toucher un salaire annuel de pas moins de 1 milliard, ce qui fera un total de 2,5 milliards. A l'heure actuelle, Hannachi n'est pas en mesure de débourser une telle somme pour un milieu récupérateur, même si El Orfi est considéré comme un cadre important au sein de l'effectif de la JSK. Au moment où nous mettons sous presse, il est sûr que Hocine El Orfi ne portera pas le maillot kabyle la saison prochaine.
Le recrutement d'un milieu défensif, une priorité
Face à cette situation complexe, la direction de la JSK veut prendre ses précautions, afin d'éviter une autre mésaventure. Pour le moment, les dirigeants sont sur la piste d'un autre milieu récupérateur. La priorité est de faire appel aux services de Koudri. Si le Mouloudéen opte pour la JSK, le problème sera réglé. Dans le cas contraire, la direction se rabattra sur d'autres pistes. Mais ce qui est certain, c'est que la venue d'un milieu récupérateur est une nécessité à la JSK.

Même si Bouaïcha, Messaâdia et Hadiouche ont été engagés
Boulemdaïs «Personne ne m'a dit que j'étais libérable»
Afin d'en savoir davantage sur sa libération, nous avons rencontré Hamza Boulemdaïs. Le joueur nous a fait savoir que pour l'instant, aucun dirigeant ne lui a signifié qu'il était libérable. Toutefois, il n'a pas caché qu'il souhaiterait tirer les choses au clair, car il s'agit de son avenir. Il nous dira : «Au moment où je vous parle, personne ne m'a parlé de libération. Il est vrai que j'ai entendu dire que j'étais sur la liste des libérés, mais les dirigeants ne m'ont toujours rien dit. En tous les cas, je souhaite rencontrer le plus tôt possible le président pour tirer les choses au clair». Avant d'ajouter : «Même si je souhaite connaître les intentions des dirigeants, j'essaye de ne pas trop me prendre la tête avec ça. Je suis toujours sous contrat avec la JSK et c'est aux dirigeants de m'appeler. Pour ma part, j'estime que j'ai fait de mon mieux, même si le club est passé par des moments difficiles. Mais ça ne dépend pas de nous, les joueurs. Nous avons fait face à une situation extrêmement difficile, probablement sans précédent pour la JSK. Avec plus de sérénité, on aurait pu faire mieux.»
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Sa prochaine destination, probablement le CSC
Même s'il n'a toujours pas rencontré son président, l'attaquant Hamza Boulemdaïs serait proche du CSC. Il aurait été contacté récemment par la direction des Sanafir afin de rejoindre le club l'été prochain. Toutefois, le joueur ignore si la direction clubiste est prête à racheter son contrat où il devra s'en occuper seul. Ce n'est qu'après son tête-à-tête avec le boss kabyle qu'il aura la réponse.




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