Algérie


JSK
Travail n C'est hier après-midi à 17h que les Canaris du Djurdjura ont repris le chemin des entraînements au stade du 1er-Novembre en prévision de la suite de la saison qui ne s'annonce pas de tout repos.Ainsi et après trois jours de repos, les Kabyles vont se remettre au travail pour préparer, comme il se doit, le prochain déplacement, ô combien périlleux, qui mènera l'équipe à Médéa pour croiser le fer avec l'Olympique local.Un match décisif pour la survie du club le plus titré du pays, qui n'est pas encore tiré d'affaire. Le duo Rahmouni-Moussouni aura devant lui deux semaines pour armer le mieux possible son équipe, qui aura grandement besoin de réussir sa virée du côté de la capitale de Titteri afin de garder espoir d'échapper au purgatoire. Le staff technique kabyle tentera ainsi de mettre à profit la trêve forcée qu'observe le Championnat pour corriger les lacunes qui subsistent en défense et l'inefficacité remarquée en attaque. En plus de combler ces lacunes, Rahmouni et son adjoint Moussouni vont se pencher sur le volet psychologique. En somme, rien ne sera laissé au hasard à même de mettre le groupe sur orbite et d'être prêt pour cette fin de saison complexe et pour poursuivre cette opération de sauvetage en réussissant un bon résultat face à Médéa. Un rendez-vous que les Jaune et Vert n'auront pas le droit de rater pour éviter de rater la marche, qui mène vers le maintien. Les camarades de Ali Rial, qui joueront le 7 juin prochain face à l'O Médéa chez lui, seront appelés à enchainer deux autres rencontres le 10 et le 14 du même mois face respectivement à l'USM Bel-Abbes à domicile et le CR Belouizdad au 20-Août. Les Kabyles, qui livreront ainsi trois matches en l'espace d'une semaine en plein mois de Ramadhan, sont tenus par l'obligation de résultats et empocher au moins six points sur les neufs possible afin de passer l'été en toute quiétude. Les Canaris du Djurdjura savent plus que tous que le faux-pas est interdit à commencer par le match face aux Médéens qu'il faudra bien négocier car dans le cas contraire, il sera extrêmement difficile de sauver le bateau JSK d'une éventuelle descente en Ligue 2. Pour l'heure, les déclarations du président Hannachi, qui crie haut et fort que la JSK ne descendra, ne rassurent personne, à commencer par les amoureux du club, qui nourrissent toujours des inquiétudes en dépit de la dernière victoire obtenus face au RC Relizane. Une victoire précieuse, certes, mais pas suffisante pour dissiper le doute qui prévaut au sein de la grande famille du club le plus titré du pays. Cette fin de saison tiendra, sans doute, en haleine toute une région. La semaine cruciale du mois de juin ou l'équipe phare du Djurdjura sera appelée à jouer sa survie en Ligue 1. Un palier que la JSK na jamais quitté depuis son accession en 1969.


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