Algérie

JOURNEES NATIONALES DE LA MUSIQUE CLASSIQUE


JOURNEES NATIONALES DE LA MUSIQUE CLASSIQUE
À quelques heures du coup d'envoi des deuxièmes Journées nationales de la musique classique, qui devaient démarrer hier soir et qui prendront fin le 19 mars prochain, le directeur de l'Institut de formation musicale (Irfm) de Batna, et responsable de ces Journées, évoque dans cet entretien les préparatifs et les objectifs de cet événement, organisé sous la tutelle du ministère de la Culture, et en collaboration avec la direction de la culture.Liberté : A quelques heures du coup d'envoi des deuxièmes Journées nationales de la musique classique dont vous êtes l'un des principaux initiateurs, comment se passent les préparatifs 'Chaïb Setti : Nous sommes fin prêts pour recevoir nos invités et dans les meilleures conditions. Hier, l'Orchestre philharmonique auressien - dont le siège se trouve à l'Irfm - a procédé aux dernière retouches et accords. Ils sont une trentaine de musiciens à s'être préparés pour cet événement, et ce, depuis une dizaine de jours, sous la direction du chef d'orchestre Meliani Hanafi. Et jusque-là, tout va bien.Vous êtes tout de même rodés pour ce genre de rencontres.On peut effectivement le dire, oui. Nous étions, en fait, les initiateurs des premières rencontres dans les années 2000, freinées pour diverses raisons, et nous avons saisi l'occasion du cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie, pour relancer ce rendez-vous de la musique, l'année dernière, dans sa nouvelle formule.Nous en sommes à la deuxième, et nous allons recevoir plus de 250 invités, entre musiciens, professeurs, amateurs, conférenciers et invités de marque.Pour le lever de rideau, vous avez prévu un concert de l'Orchestre philharmonique auressien. Pourquoi ce choix 'L'Orchestre philharmonique auressien est habitué à ce genre de prestations, et bien rôdé également, et ce, malgré le mélange qui existe au sein de l'orchestre : élèves en formation, anciens élèves, et professeurs. Ils vont exécuter des morceaux choisis de la musique classique universelle, locale et nationale. Il y aura du chaâbi, de l'andalou, et d'autres surprises également. L'occasion se présente pour nous pour demander le lancement et la création officielle d'un orchestre de l'institut puisque tous les ingrédients sont réunis : musiciens confirmés, chef d'orchestre et cadre institutionnel. Nous souhaitons donc la création officielle d'un orchestre de l'Irfm.Est-ce que vous pensez garder toujours ce cachet national 'Oui, bien sûr. Cependant, élargir ces journées, et leur donner ?pourquoi pas? une dimension maghrébine, méditerranéenne, voire internationale est envisageable et serait également très intéressant.Nous avons les moyens de relever ce défi, et puis la région regorge de talents et de musiciens confirmés qui peuvent contribuer à la réussite de cette manifestation dans le cas où elle prendrait une dimension autre que nationale.NomAdresse email


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