Algérie

Journée nationale de la presse: Une somme de symboles



Un important événement qui marquera l'actualité nationale de cette semaine, la Journée nationale de la liberté de la presse coïncidant avec le 22 octobre de chaque année.D'emblée, la presse nationale en Algérie est une somme de symboles et d'acquis qui font désormais partie de notre histoire politique, intellectuelle et culturelle plurielle dans un environnement encore hostile et complexe. Oui et encore oui, nous considérons que la presse a aidé le pays à ne pas s'effondrer dans le temps de la décennie noire et rouge (qui tue qui '). Comme tout le monde sait, elle a beaucoup souffert à cet effet des affres du terrorisme ; elle en compte plusieurs victimes, nous leur rendons ici un hommage particulier et appuyé. Mais, cela ne l'empêchera pas d'être présente tous les jours sur les étals des kiosques et d'être, ainsi, aux côtés du peuple en perpétuant la flamme de la liberté d'expression et le droit d'informer avec patriotisme et professionnalisme pour comprendre avec objectivité l'actualité politique, socioéconomique et culturelle. C'est un pas important qui restera dans l'histoire du pays de faire évoluer les rapports entre les structures de l'Etat, les Algériens et la société en tant qu'acteurs directs de l'Algérie profonde. Ainsi, la presse et les médias ont été à l'avant-garde du combat pour les libertés et contre l'obscurantisme durant la décennie noire et rouge où la presse et médias ont payé un lourd tribut pour que la République algérienne reste debout. En effet, cette journée nationale nous interpelle en permanence pour s'élever et s'adapter à un monde de communication bouleversant.
Dans de telles conditions, comment ne pas s'interroger sur la reconnaissance et le professionnalisme de nos journalistes tant sur notre sol qu'à l'international.
Ne dit-on pas que la presse est le quatrième pouvoir '
C'est une occasion pour se concerter sur la situation de la presse et médias en général et discuter de la possibilité d'élaborer un projet de presse démocratique basé sur une charte des valeurs et éthiques morale et professionnelle en Algérie, en réfléchissant notamment sur les actions présentes et futures à mener pour améliorer le paysage et l'environnement des médias en général. Pour notre part, l'enjeu est vital pour la démocratie et pour le pays, en soutenant notre presse nationale réellement, au service d'une mission d'intérêt public et d'un Etat national pour la bonne gouvernance territoriale. Il faut permettre aux journalistes locaux d'accéder à la source, avec plus de liberté pour une information crédible et objective. La nouvelle loi de l'information doit prendre en considération les obstacles rencontrés par les journalistes et correspondants locaux qui sont le trait d'union entre les autorités et les citoyens. En effet, « la presse en principe consacrée par la Constitution du 1er novembre 2020, avec toutes les garanties qui offrent à la presse l'espace nécessaire à l'exercice de ses missions, avec professionnalisme et déontologie ». Il y a lieu de se pencher donc sérieusement sur l'avenir de la presse écrite et médias en général pour mener en revanche des missions d'intérêts publics, notamment la possibilité d'investir dans la diversification des activités annexes à l'activité principale, de recruter dans le cadre de l'emploi de jeunes universitaires, de bénéficier de mesures fiscales à cet effet, d'organiser des sessions de formation au profit des jeunes diplômés, que l'Etat devrait accorder et soutenir nécessairement à la presse constituant aujourd'hui le nerf de la guerre de l'information. En soutenant la presse nationale réellement, au service d'une mission d'intérêt public et d'un Etat national. Nous contribuons certainement au renforcement des bases de l'Etat de droit pour faire avancer la société dans la vie démocratique politique et économique. En effet, la presse et les médias en général doivent véhiculer l'information et les idées qui participent à l'évolution de la pensée, à l'épanouissement culturel et au développement de la société en général. Nos journalistes essayent tant bien que mal d'honorer leur rôle de trait d'union entre la société, les autorités nationales et locales pour bannir les entraves bureaucratiques et combattre la corruption, la médiocrité et l'ignorance. Le débat en est là aujourd'hui où chaque idée ou solution est plus importante que l'argent ou le prix du baril de pétrole. Il y a lieu de constater que presque tous les grands titres de la presse privée jouent péniblement leur survie pour servir la société et la démocratie réelle et plurielle. Il faut un diagnostic tout comme pour les autres secteurs. Ce qui nous unit, c'est l'avenir du pays, son économie réelle et son indépendance économique. L'Algérie, c'est un territoire de 2.381.741 km2, le plus vaste d'Afrique (cinq fois le territoire français) et, enfin, un grand pays de gisements de matières premières et d'énergies renouvelables, de potentialités agricoles et industrielles et qui peut sans problème développer son industrie industrialisante pour rétablir l'avenir socioéconomique de l'Algérie.
En débattre serait très long, mais cette même presse doit s'adapter à l'évolution sociale et technologique. Il faut savoir que nous sommes toujours et encore dans une période de transition et de questionnements sur notre avenir.
L'on doit discuter sérieusement du rôle de la presse et des médias en général. En effet, nous contribuons certainement au renforcement des bases de l'Etat de droit pour faire avancer la société dans les évolutions mondiales, notamment dans la vie démocratique politique, économique, culturelle et sociale. Cela dit, la presse constitue aujourd'hui l'organe et l'assise de base de l'exercice de la démocratie participative pour la bonne gouvernance territoriale. En tant que fidèle lecteur attentif, bien que chaque lecteur soit différent de l'autre, la presse nationale a pu trouver la formule pour intéresser un large public. Je voudrais apporter ma petite part de contribution pour renouer, enfin, avec le chemin du désir du progrès politique, économique, culturel et social pour notre pays, de la liberté des opinions, idées-débats constructifs et de justice sociale.
Et puis, il y a le journalisme des écrivains, également attachés à l'écriture, c'est un plaisir de vous écrire à cette occasion pour vous présenter toutes nos chaleureuses félicitations pour la qualité du travail accompli et pour votre contribution à l'enrichissement du champ médiatique en Algérie au service d'une mission d'intérêt public et d'un Etat national qui contribuera certainement au renforcement des bases de l'Etat de droit, pour faire avancer la société dans la vie démocratique politique, économique, culturelle et sociale, connaissant que la presse véhicule l'information et les idées qui contribuent dans l'évolution de la pensée et l'épanouissement au développement de la société dans l'évolution des sociétés mondiales. Donc, la signature d'un article de presse est une reconnaissance de la paternité intellectuelle, car la presse a un grand rôle à jouer dans la construction de la démocratie participative, la lutte contre la corruption et la bureaucratie.
Ceci dit, la presse doit désormais retenir davantage l'attention dans cette transition capitale et décisive pour construire une Algérie nouvelle et forte et avancer dans le bon sens. Et j'en témoigne ici à votre engagement professionnel « Un peuple bien informé en vaut deux » et celui du courage, de l'intelligence et de l'esprit démocratique pour élargir l'espace d'expression, notamment pour continuer à ouvrir vos colonnes à des expressions intellectuelles libres porteuses de valeurs ajoutées pour progresser et mobiliser les potentialités de la société et du pays dans le progrès et le développement qui plaide aujourd'hui pour une Algérie nouvelle et forte. Mais ce ne sont pas tous les journaux qui ouvrent leurs colonnes aux intellectuels, élites, cadres d'entreprise et d'administration, citoyens ou encore aux fidèles lectrices et lecteurs désireux d'exprimer une idée, une opinion ou avis quelconque constructif.
Par la même occasion, on ne peut oublier d'avoir une pieuse pensée pour celles et ceux victimes du devoir d'informer et qui ont participé à forger les fondamentaux de la presse nationale. D'abord, on se remémore, à cette occasion, en souvenir de tous les journalistes et les gens de la plume qui ont perdu leur vie dans l'exercice de leur noble métier. Nous avons vis-à-vis d'eux un devoir de mémoire. En effet, nous rendons hommage à ces journalistes et ces gens de plume qui ne sont plus de ce monde ou encore de la mémoire de nos martyrs tombés au champ d'honneur en héros pour une Algérie nouvelle libre et indépendante. Les journalistes sont appelés à jouer leur rôle prépondérant au service de l'Algérie et la démocratie pour instaurer cette Algérie nouvelle que nous plaidons avec force et conviction, car nous considérons à notre humble avis que la presse et les médias en général ont aidé le pays à l'indépendance où elle a contribué grandement à éviter la paralysie de l'Algérie après le départ massif des Européens et aussi à éviter au pays à ne pas s'effondrer dans le temps de la décennie noire et rouge, en perpétuant la flamme de la liberté d'expression et le droit d'informer pour comprendre l'actualité politique, socioéconomique et culturelle. Leur défi était à la hauteur de leur amour du pays et leur engagement nationaliste pour la sauvegarde des valeurs de la République algérienne. On ne peut que s'en réjouir aujourd'hui, de leurs combats passés et de leurs sacrifices pour sauver la République à la mémoire de nos martyrs tombés aux champs d'honneur en héros pour une Algérie libre et indépendante. Allah yerrahamouhm (Que Dieu ait leurs âmes) ou encore qui se souvient de l'histoire de l'Algérie et sa glorieuse révolution se souvient des massacres du 8 Mai 1945, des enfûmades du Dahra, de l'héroïne Hassiba Benbouali qui fut littéralement soufflée par une lourde charge de dynamite, explosée en compagnie de Omar Yacef dit Petit-Omar, Ali La Pointe, Mahmoud Bouhamidi. Ils ne pouvaient rien espérer que mourir pour la patrie, en martyrs.
Ceci dit, la presse est notre âme doit désormais retenir davantage l'attention des pouvoirs publics dans cette transition capitale et décisive pour construire encore une Algérie nouvelle et forte pour avancer dans le bon sens, rien de mieux qu'une autocritique, sans aucunement vouloir justifier la moindre agression. N'oublions pas qu'en plus de son rôle premier, la presse et les médias en général est de transmettre également les connaissances et les valeurs sociétales, faire évoluer la société et les forces vives de la Nation pour construire notre chère Algérie pour laquelle un million et demi de martyrs sont tombés au champ d'honneur.
L'occasion doit être donnée pour se concerter sur la situation de la liberté d'expression et discuter de la possibilité d'élaborer un projet de presse démocratique social en Algérie, en réfléchissant notamment sur les actions présentes et futures à mener pour améliorer le paysage et l'environnement de la presse et des médias en général. Là, il va sans dire, c'est une presse qui doit être à notre humble avis assez ouverte à l'expression citoyenne et au c?ur de l'Algérie profonde, notamment de l'information locale, nationale et internationale. Sur ce sujet, Il est nécessaire et important d'instaurer le dialogue comme le recommande si bien notre religion : «On a fait de vous une société rassembleuse, de concertation et de consultation sur tous les sujets qui touchent à la nation». C'est dire, le dialogue est un élément de haute valeur civilisationnelle pour apporter des éclairages et réveiller les consciences pour notre progrès et notre développement. C'est là que s'exprime le sentiment nationaliste et patriotique. Les ressources humaines occupent aujourd'hui une place de choix dans l'amélioration du climat politique, la stabilité et l'environnement des affaires, dont dépendra la transition démocratique et socioéconomique et où doit se projeter, à notre avis, sur une charte des valeurs pour un projet de société de presse de démocratie participative comme un vecteur de progrès d'une Nation.
Evidemment, l'étape actuelle nous impose de bien gérer notre projet de société démocratique social, parce que nous sommes un pays aux portes de l'Occident et au c?ur de l'Afrique et du Maghreb. Cela constitue la base du modèle démocratique et social dans le nouveau monde d'aujourd'hui bâti sur la compétitivité, la communication et la ressource humaine, à mettre en place dans le futur.
Mais bien que chaque lecteur ou observateur soit différent de l'autre, la presse en Algérie a fait un long chemin. Elle s'est mise aux côtés du peuple en mettant sa plume au service de la patrie et ses institutions, des mouvements populaires ainsi que des chômeurs et des démunis. Elle a été le porte-voix des Algériens et des sans voix, ainsi que des travailleurs, des fonctionnaires et des militants des droits de l'Homme, des associations humanitaires, des démocrates, la société civile et de faire la lumière sur les conditions de vie et des attentes des citoyens de l'Algérie profonde auprès des autorités du pays. Aujourd'hui, la société civile, l'élite intellectuelle et toutes les Algériennes et les Algériens en général vous saluent pour votre devoir et le droit d'informer, car vos défis étaient à la hauteur de l'amour du pays et l'engagement nationaliste pour la sauvegarde des valeurs de la République algérienne.
Là, également, intervient la liberté de la presse qui véhicule l'information et contribue au développement de la société et qui a un grand rôle à jouer dans la démocratie et la lutte contre la corruption et la bureaucratie. Elle doit retenir aujourd'hui davantage l'attention des pouvoirs publics en vue d'un meilleur développement et de la promotion d'une presse libre incontournable et vitale dans l'exercice et le processus démocratique pour construire une Algérie nouvelle et forte. Le pays, plus que jamais, vit aujourd'hui une situation des plus difficiles et traverse une phase décisive de son histoire pour surmonter les difficultés qui font obstacle aux réformes structurelles indispensables pour libérer le pays de sa dépendance de la rente pétro-gazière et améliorer les perspectives socioéconomiques pour les jeunes qui stagnent dans le chômage, le désespoir et la «harga». Ce qui nous unit, ce sont l'avenir du pays, son économie réelle et son indépendance économique. L'Algérie, c'est un territoire de 2.381.741 km2, le plus vaste d'Afrique (cinq fois le territoire français) et, enfin, un grand pays de gisements de matières premières et d'énergies renouvelables, de potentialités agricoles et industrielles, et qui peut sans problème développer son industrie industrialisante pour rétablir l'avenir socioéconomique de l'Algérie dans son indépendance économique. À notre humble avis, et nombreux sont celles ou ceux qui le partagent, beaucoup reste à faire pour qu'elle joue le rôle qui lui est dévolu. En effet, la presse constitue aujourd'hui l'organe et l'assise de base de l'exercice de la démocratie participative pour la bonne gouvernance territoriale. L'Algérie célèbre sa Journée nationale de la presse, coïncidant avec le 22 octobre de chaque année. C'est une halte nécessaire pour faire le bilan de ce qui a été fait et de ce qui ne l'a pas été, c'est aussi le moment de se remettre en cause et de se demander ce qu'il y a lieu de faire pour être au diapason des attentes des lecteurs et des Algériens. Nous tenons aussi, en cette heureuse occasion, à présenter nos sincères félicitations aux journalistes et correspondants, en particulier à ceux qui ont participé à l'aventure qui a permis l'existence de notre presse. Bien que chaque lecteur soit différent de l'autre, la presse nationale a pu trouver la formule pour intéresser un large public. De notre point de vue, la presse en Algérie a fait un long chemin et a contribué grandement et pleinement à la vie générale nationale et locale. Comme aussi la corporation journalistique s'est mise aux côtés du peuple en mettant sa plume au service de la patrie, des mouvements populaires pour la juste cause des intérêts suprêmes du pays ainsi que des chômeurs et des démunis.
Elle a été le porte-voix des Algériens et des sans voix, ainsi que des travailleurs, des fonctionnaires, des associations humanitaires, des démocrates, des militants des droits de l'Homme et de la société civile pour faire la lumière sur les conditions de vie et les attentes des citoyens auprès des autorités du pays. La société civile, l'élite intellectuelle et tous les Algériens en général vous saluent pour votre devoir et le droit d'informer car vos défis étaient à la hauteur de l'amour du pays et de l'engagement nationaliste pour la sauvegarde des valeurs de la République algérienne. Là, il va sans dire que c'est une presse qui est assez ouverte à l'expression citoyenne et au c?ur de l'Algérie profonde, notamment de l'information locale, nationale et internationale. Mais ce ne sont pas tous les journaux qui ouvrent leurs colonnes aux citoyens et aux fidèles lectrices et lecteurs désireux d'exprimer une idée, une opinion ou un avis d'intérêt général. Il est cependant primordial de signaler que pour améliorer le contenu de notre presse ou médias en général, tout le monde doit contribuer à écrire l'avenir de notre presse nationale au service du pays, notamment sur les actions présentes et futures à mener pour améliorer le paysage et l'environnement médiatique. Pour résumer et conclure, qu'en dépit des difficultés d'interface, les journalistes locaux et nationaux honorent à notre humble avis leur mission d'information, à l'instar des journaux comme Le Quotidien d'Oran, El Watan, El Moudjahid, Liberté, Le Soir d'Algérie, El Khabar, l'Expression DZ , l'Express Algérie, Crésus DZ pour ne citer que ceux-là, qui ont chacun des journalistes ou collaborateurs animés d'une très forte volonté et de beaucoup de motivation pour donner du contenu et du sens à ce qu'ils écrivent. Aujourd'hui, son plus grand soutien est la confiance de ses lecteurs. C'est dire, nos journalistes sont appelés à jouer leur rôle prépondérant dans la société au service d'une Algérie profonde, démocratique et participative pour instaurer l'Algérie nouvelle en cours de gestation.


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