Sous l'auspice de M. Mihoubi, le ministre de la Culture, en présence du wali de Tipasa et du directeur chargé des finances au sein de l'Ecole régionale des Beaux-arts, il a été structuré nouvellement l'ouverture des Journées pédagogiques à l'Ecole régionale des Beaux-arts de Tipasa.Cette circonstance, qui s'est tenue au sein de la Bibliothèque centrale publique de Tipasa, a vu le déclenchement des Journées pédagogiques de formation au sein de l'Ecole régionale des Beaux-arts de Tipasa en entente avec la Direction de la culture et de la Bibliothèque centrale de Tipasa. Cette contingence a eu pour sujet le mode d'enseignement et de formation et les notions pédagogiques telles que définis par le Dr Bouzidi Ismaïl au cours de la matinée. Dans le cadre des travaux d'ateliers, l'intervenant ainsi que le Dr Saâd Jahid Attia de Bouzaréah, et le professeur Larbi El Attawi, un spécialiste des techniques artistiques et chargé du suivi de la préparation de fiches techniques pour les perspectives de cette formation, étaient présents pour un échange d'expériences au cours de la soirée en vue de compléter les programmes prévus par les acteurs de ces formations.
Pendant les diverses interventions sur les types de notations, lors de la mise en ?uvre des indicateurs et les critères préconisés par le Dr Bouzidi Ismaïl, le Dr Jahid Saâd Attia et le professeur Larbi El Attawi, il a été élaboré des tests proposés par le Dr Ismaïl Bouzidi, particuliers à chaque atelier et représentatifs des réalisations basées sur les fondamentaux, les normes et les étapes initiées par le groupe d'intervenants à l'instar du Dr Bouzidi Ismaïl, du Dr Saâd Attiya Jahid et du professeur Larbi El Attawi.
Evoquant ces journées d'enseignement et de formation, l'un des participants a tenu à présenter un aperçu de l'Ecole régionale et les étapes pédagogiques les plus importantes requises pour passer à la formation continue, dans le cadre du programme arrêté au cours du mois d'octobre 2016 concernant 3 lignes principales, surtout l'application, la conduite et la gestion de cette entreprise, tel que commenté et expliqué par M. Othmane, l'un des directeurs des Ecoles régionales des Beaux-arts qui évoque dans ses explications l'organisation telle qu'exercée par plusieurs chefs de service et cadres qualifiés, dont l'un provenant de l'Ecole régionale de Batna, l'un attaché à Sétif et le troisième à Tipasa et affecté à Sidi-Bel-Abbès, tandis que 18 autres sont vacataires, y compris des étudiants universitaires de la Faculté d'architecture de Blida, en soulignant que l'administration de la formation avait demandé à ces professeurs des propositions et suggestions pédagogiques permettant d'identifier les éventuels problèmes et les difficultés rencontrées dans leur carrière.
A ce titre, il a été évoqué la nécessité d'avoir un médecin, ainsi qu'un inspecteur spécialisé dans l'évaluation des profils de professionnels de l'éducation et de formation, et même l'ajout de haut-parleurs pour accompagner les enseignants dans le développement de l'information et les discussions ainsi que la situation pédagogique problématique née de l'apparition éventuelle d'obstacles où les professeurs parlent et échangent des infos dans le cadre des ateliers pour les performances des techniques pédagogiques dans la fourniture et la prestation des programmes et techniques, au profit de 3 ateliers dédiés aux travaux spécifiques dans le domaine de l'enseignement et particulièrement ceux dédiés aux six spécialités pour les étudiants en aménagement, en image de contact, aux beaux-arts, à la peinture et aux arts islamiques arabes, notamment celles offrant des cours de spécialisation en matériaux appliqués théoriques aux compétences en matériaux appliqués, des compléments requis et nécessaires pour des études approfondies de quatre ans dédiées aux étudiants soumis à un système externe en raison de l'absence d'hébergement et de budget spécifiques au profit des professionnels.
En ce qui concerne les missions de transport, aller le matin et retour le soir, et la distance d'éloignement des familles, dira en l'occurrence l'un des intervenants en concluant son discours sur la compétitivité inter-écoles régionales, notamment lors de la délivrance des certificats artistiques, sur une échelle de 10 à 12 aux titulaires de l'enseignement supérieur. Pour ce qui est de l'Ecole régionale des Beaux-arts de Tipasa qui compte actuellement 49 étudiantes et étudiants pour une période de formation qui s'étend sur quatre ans, dont 2 années de tronc commun, les stagiaires subissent un concours d'évaluation de candidature en matière de culture générale et un examen d'accès soutenu devant le comité spécial. Cette école dispose de deux paliers exigeant de ceux provenant de la troisième année secondaire de passer un concours d'accès, de manière à faciliter la découverte de talents à l'école et donnant leur chance à tous ceux qui le souhaitent et à tous ceux obtenant le diplôme de baccalauréat d'assister à l'Ecole régionale des Beaux-arts.
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Posté Le : 04/04/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Mohamed El Ouahed
Source : www.lnr-dz.com