Aux heures de pointe, la circulation routière connaît une perturbation fréquente au niveau des deux voies principales reliant l'ancienne cité Jolie-Vue à Garidi.
Les automobilistes qui empruntent les artères de cette localité n'hésitent pas à pointer du doigt les commerçants informels.
«Qu'il vente ou qu'il pleuve, ces marchands illégaux immobilisent leur camionnette chargée de fruits et légumes au bord des deux chaussées déjà rétrécies. En toute quiétude, ils écoulent leurs produits en engrangeant de grands bénéfices. L'autre partie de la voie épargnée est juste suffisante pour le passage d'un seul véhicule. Le matin, nous perdons énormément de temps. A partir de 16h, les mêmes désagréments réapparaissent. Nous avons du mal à gérer quotidiennement cette rude épreuve», se plaint un fonctionnaire résidant de la cité. D'autres habitants interrogés ont mal pris ces dépassements. «Bien qu'un marché soit aménagé à côté de la mosquée, un espace intégré à certains immeubles est squatté par des marchands illégaux. Les services de police doivent intervenir pour libérer les voies occupées afin de rétablir le cours normal de la circulation», a observé un ancien habitant de la même cité.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 29/01/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Lamine B
Source : www.elwatan.com