Algérie

"Je veux transmettre mon expérience aux jeunes " Amar Benikhlef, entraîneur de l'équipe nationale de judo messieurs :




Le nouveau sélectionneur de l'équipe algérienne de judo seniors (messieurs), Amar Benikhlef, a affiché jeudi à Alger sa volonté de transmettre aux jeunes judokas, son expérience acquise lors des grandes compétitions mondiales.Le nouveau sélectionneur de l'équipe algérienne de judo seniors (messieurs), Amar Benikhlef, a affiché jeudi à Alger sa volonté de transmettre aux jeunes judokas, son expérience acquise lors des grandes compétitions mondiales.
Le médaillé d'argent des Jeux Olympiques 2008 à Pékin, a été désigné la semaine dernière à la barre technique de la sélection nationale de judo seniors (hommes). "Je remercie le président de la Fédération algérienne (FAJ) pour la confiance qu'il a placée en moi, en me confiant les destinées techniques de l'équipe seniors.
J'estime que je possède la compétence me permettant d'assumer cette lourde responsabilité", a déclaré Benikhlef lors d'une conférence de presse animée en compagnie de son ex coéquipière en équipe nationale, Soraya Haddad, et du président de la FAJ, Messaoud Mati, au siège du Comité olympique algérien à Ben Aknoun (Alger).
Benikhlef a rejeté les allégations de "certaines personnes" qui remettent en doute ses capacités et prédisent un échec dans sa mission, comme ça été le cas avec les ancien athlètes : Souakri et Harkat. "J'assure que je peux contribuer au retour du judo algérien au devant de la scène continentale et même mondiale.
Ce qui me motive c'est que des judokas tunisiens et marocains de ma génération ont réussi leur mission à la barre technique de leurs sélections nationales respectives. Ils m'ont d'ailleurs encouragé dans mon nouveau poste", a-t-il expliqué. S'agissant des raisons l'ayant poussé à mettre un terme à sa carrière d'athlète, Bénikhlef a évoqué ses "conditions sociales difficiles" et le "manque de soutien" après sa médaille olympique.
"Après une semaine de mon sacre olympique à Pékin, je me suis retrouvé seul et les promesses d'améliorer ma situation sociale n'ont pas été tenues. Ceci a influé négativement sur ma carrière", a-t-il déploré, révélant qu'il allait tirer sa révérence en 2010. "Mes multiples tentatives pour retrouver mon meilleur niveau ont été vaines", a-t-il avoué.
Pour sa part, le président de la FAJ a assuré qu'il allait mettre "tous les moyens" à la disposition du nouveau sélectionneur pour préparer une "équipe compétitive à l'horizon 2015" et, en même temps, récolter des points dans le classement mondial en vue de la qualification aux Jeux Olympique 2016 à Rio de Janeiro (Brésil).
"Nous ne sommes pas en train de courir après des résultats immédiats. Notre objectif est de former des équipes nationales sur le moyen terme", a dit Messaoud Mati, affirmant "faire pleine confiance aux anciens champions algériens". De son côté, la judokate algérienne Soraya Haddad (29 ans), médaillée de bronze aux Mondiaux-2005 et aux Jeux Olympiques de Pékin-2008, qui a annoncé jeudi sa retraite, a été désignée à la tête de la sélection nationale junior (dames).
Le médaillé d'argent des Jeux Olympiques 2008 à Pékin, a été désigné la semaine dernière à la barre technique de la sélection nationale de judo seniors (hommes). "Je remercie le président de la Fédération algérienne (FAJ) pour la confiance qu'il a placée en moi, en me confiant les destinées techniques de l'équipe seniors.
J'estime que je possède la compétence me permettant d'assumer cette lourde responsabilité", a déclaré Benikhlef lors d'une conférence de presse animée en compagnie de son ex coéquipière en équipe nationale, Soraya Haddad, et du président de la FAJ, Messaoud Mati, au siège du Comité olympique algérien à Ben Aknoun (Alger).
Benikhlef a rejeté les allégations de "certaines personnes" qui remettent en doute ses capacités et prédisent un échec dans sa mission, comme ça été le cas avec les ancien athlètes : Souakri et Harkat. "J'assure que je peux contribuer au retour du judo algérien au devant de la scène continentale et même mondiale.
Ce qui me motive c'est que des judokas tunisiens et marocains de ma génération ont réussi leur mission à la barre technique de leurs sélections nationales respectives. Ils m'ont d'ailleurs encouragé dans mon nouveau poste", a-t-il expliqué. S'agissant des raisons l'ayant poussé à mettre un terme à sa carrière d'athlète, Bénikhlef a évoqué ses "conditions sociales difficiles" et le "manque de soutien" après sa médaille olympique.
"Après une semaine de mon sacre olympique à Pékin, je me suis retrouvé seul et les promesses d'améliorer ma situation sociale n'ont pas été tenues. Ceci a influé négativement sur ma carrière", a-t-il déploré, révélant qu'il allait tirer sa révérence en 2010. "Mes multiples tentatives pour retrouver mon meilleur niveau ont été vaines", a-t-il avoué.
Pour sa part, le président de la FAJ a assuré qu'il allait mettre "tous les moyens" à la disposition du nouveau sélectionneur pour préparer une "équipe compétitive à l'horizon 2015" et, en même temps, récolter des points dans le classement mondial en vue de la qualification aux Jeux Olympique 2016 à Rio de Janeiro (Brésil).
"Nous ne sommes pas en train de courir après des résultats immédiats. Notre objectif est de former des équipes nationales sur le moyen terme", a dit Messaoud Mati, affirmant "faire pleine confiance aux anciens champions algériens". De son côté, la judokate algérienne Soraya Haddad (29 ans), médaillée de bronze aux Mondiaux-2005 et aux Jeux Olympiques de Pékin-2008, qui a annoncé jeudi sa retraite, a été désignée à la tête de la sélection nationale junior (dames).


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