Algérie

Jazz d'ailleurs à Alger



Jazz d'ailleurs à Alger
Après ses deux premiers rendez-vous de janvier et février consacrés aux musiques du monde, ce monde musical sans frontières vers lequel tendent tous les artistes depuis que l'art est art et la musique source de félicité, l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) inaugurera au début du mois de juin prochain son troisième rendez-vous consacré au jazz.
Après ses deux premiers rendez-vous de janvier et février consacrés aux musiques du monde, ce monde musical sans frontières vers lequel tendent tous les artistes depuis que l'art est art et la musique source de félicité, l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) inaugurera au début du mois de juin prochain son troisième rendez-vous consacré au jazz.
Un mois de juin sous le signe de cette expression majeure partie un jour d'Afrique' «Il y a de la musique dans le soupir du roseau ; Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau ; Il y a de la musique en toutes choses, si les hommes pouvaient l'entendre», disait Lord Byron. Après le premier rendez-vous du cycle musical autour du thème «Andalousie, Maghreb, terres d'accueil», puis le second cycle autour de la musique gitane, qui ont attiré un public nombreux et enthousiaste et gagné également la faveur des journalistes culturels, ce troisième cycle sera consacré à une musique prisée par le public algérien : le jazz.
Ce genre et ses dérivés comptent de nombreux connaisseurs, y compris auprès des jeunes générations.
Ce cycle est fait pour découvrir la manière dont les Caraïbes, l'Europe puis le Maghreb ont su adapter ce langage devenu universel, celui du swing et du blues.
Le cycle commencera le 2 juin prochain avec Fawzi Chekili Septet. Venu de la Tunisie voisine, Fawzi ramène avec lui ce que la scène carthaginoise a de plus prometteur. Sept jeunes virtuoses allant des instruments phares du jazz moderne aux instruments plus proches des modes orientaux tel le oud et le violon. Un programme original avec du chant, du swing et des mouachahate.
Puis le lendemain sera animé par Philip Catherine quartet. Immense guitariste de la scène jazz internationale, cet artiste belgo-britanique vient pour la quatrième fois fouler le sol algérien pour présenter son projet consacré au compositeur américain Cole Porter objet de son dernier album encensé par la critique internationale et consacré par les auditeurs comme un des albums phares de l'année 2011.
La troisième soirée, le 4 juin, sera un rendez-vous exceptionnel avec Sakesho.
Une grande démonstration rythmique et harmonique, venue des Caraïbes, attendra le public durant cette soirée. Sur scène, le bassiste antillais Michel Alibo sera accompagné du pianiste Mario Canonge et du jeune prodige Louis Gregory pour transporter la salle sur la planète groove. Ils seront accompagnés de l'Américain Andy Narell, le plus célèbre joueur de «Steel Drum», l'instrument emblématique de Tobago & Trinidad.
L'AARC promet aux mélomanes un monde des musiques qui voyagent en attendant le prochain rendez-vous de la saison : «Oûd en luth» qui se déroulera du 20 au 22 juin toujours à la salle Ibn Zeydoun
Il est à noter que ce troisième rendez-vous du cycle musical des racines et des airs organisé par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) devait avoir lieu au mois d'avril, mais avec le deuil qu'a connu la scène musicale arabe et algérienne en particulier, avec la disparition de la défunte diva Warda El Djazairia, le cycle a été reporté à ces dates-là.
Un mois de juin sous le signe de cette expression majeure partie un jour d'Afrique' «Il y a de la musique dans le soupir du roseau ; Il y a de la musique dans le bouillonnement du ruisseau ; Il y a de la musique en toutes choses, si les hommes pouvaient l'entendre», disait Lord Byron. Après le premier rendez-vous du cycle musical autour du thème «Andalousie, Maghreb, terres d'accueil», puis le second cycle autour de la musique gitane, qui ont attiré un public nombreux et enthousiaste et gagné également la faveur des journalistes culturels, ce troisième cycle sera consacré à une musique prisée par le public algérien : le jazz.
Ce genre et ses dérivés comptent de nombreux connaisseurs, y compris auprès des jeunes générations.
Ce cycle est fait pour découvrir la manière dont les Caraïbes, l'Europe puis le Maghreb ont su adapter ce langage devenu universel, celui du swing et du blues.
Le cycle commencera le 2 juin prochain avec Fawzi Chekili Septet. Venu de la Tunisie voisine, Fawzi ramène avec lui ce que la scène carthaginoise a de plus prometteur. Sept jeunes virtuoses allant des instruments phares du jazz moderne aux instruments plus proches des modes orientaux tel le oud et le violon. Un programme original avec du chant, du swing et des mouachahate.
Puis le lendemain sera animé par Philip Catherine quartet. Immense guitariste de la scène jazz internationale, cet artiste belgo-britanique vient pour la quatrième fois fouler le sol algérien pour présenter son projet consacré au compositeur américain Cole Porter objet de son dernier album encensé par la critique internationale et consacré par les auditeurs comme un des albums phares de l'année 2011.
La troisième soirée, le 4 juin, sera un rendez-vous exceptionnel avec Sakesho.
Une grande démonstration rythmique et harmonique, venue des Caraïbes, attendra le public durant cette soirée. Sur scène, le bassiste antillais Michel Alibo sera accompagné du pianiste Mario Canonge et du jeune prodige Louis Gregory pour transporter la salle sur la planète groove. Ils seront accompagnés de l'Américain Andy Narell, le plus célèbre joueur de «Steel Drum», l'instrument emblématique de Tobago & Trinidad.
L'AARC promet aux mélomanes un monde des musiques qui voyagent en attendant le prochain rendez-vous de la saison : «Oûd en luth» qui se déroulera du 20 au 22 juin toujours à la salle Ibn Zeydoun
Il est à noter que ce troisième rendez-vous du cycle musical des racines et des airs organisé par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) devait avoir lieu au mois d'avril, mais avec le deuil qu'a connu la scène musicale arabe et algérienne en particulier, avec la disparition de la défunte diva Warda El Djazairia, le cycle a été reporté à ces dates-là.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)