Algérie

J'ai bien une idée derrière la tête, mais ... Non !


Ah ! Le football dézédien ! Le seul championnat au mondeoù l'on...
... vire un coach au bout de la 1re journée !
Je reste scotché par l'information révélée par mon canard ! Des mains, pas de l'étranger, mais des mains d'ici auraient volontairement saboté les robinets centraux régulant les réserves d'oxygène du CHU de Constantine. Bon ! D'abord, je tiens à respecter les procédures. Une enquête a été ouverte. Donc, il ne faut pas, il ne faut surtout pas que je me précipite à conclure et à accuser. Non ! Abadan ! Je me l'interdis, parce qu'il ne doit être permis à personne, chroniqueur ou journaliste ou journal, d'accuser sans preuve. Donc, une fois de plus, je mets un tas d'airbags autour de tout ça et j'allume les warnings pour signifier pleins pots toute ma prudence. Ceci étant fait, j'écris et dis tout de même ce qui suit. Sous forme interrogative : s'il s'avère que des mains ont volontairement fermé de manière criminelle l'alimentation en oxygène d'un hôpital, mettant en danger de mort des patients en difficulté respiratoire chronique, notamment les patients Covid-19, alors, et seulement alors, lorsque ce sera prouvé, que faudra-t-il faire ' J'allais encore une fois me précipiter à imaginer le pire des châtiments. Et puis, non ! J'ai réfréné ma rage ! La rage est mauvaise conseillère ! Et puis, un chroniqueur n'est pas un magistrat, un juge, ni d'ailleurs un avocat. Peut-être, à la limite, un modeste et non conventionnel greffier prenant note journellement du quotidien de ses compatriotes. Donc, ce n'est pas à moi que revient de décider du sort de ces « mains criminelles », si c'est bien de ce scénario dont il s'agit et que l'enquête aura prouvé et confondu. À la justice de condamner. Moi, là, maintenant, tout de suite, j'ai juste un besoin pressant depuis que j'ai lu cette information : celui de me lever de mon bureau, de me diriger vers la seule fenêtre de la pièce et de l'ouvrir grand, malgré la pluie diluvienne dehors. J'étouffe littéralement ! Je suis dans l'urgence de chercher des appels d'air à l'extérieur, tant parfois la
« nature humaine » me donne envie de gerber mon petit-déj'. Ensuite, seulement ensuite, une fois mes poumons réalimentés en oxygène, je me rassiérais et, mes poumons, je les remplirais cette fois de thé que je fumerais pour rester éveillé à cet atroce cauchemar qui continue.
H. L.
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