C'est la première fois depuis les élections législatives du 17 mars qu'est réenclenché le processus de grignotage de cette partie de la ville, considérée par la communauté internationale comme un territoire palestinien mais occupée par l'Etat hébreu depuis 1967.C'est la première fois depuis les élections législatives du 17 mars qu'est réenclenché le processus de grignotage de cette partie de la ville, considérée par la communauté internationale comme un territoire palestinien mais occupée par l'Etat hébreu depuis 1967.Les projets de construction concernent 36 unités à Neve Yaakov et 41 à Pisgat Zeev, deux quartiers de colonisation dans le nord de Jérusalem-Est. Seuls 18 des 77 lots mis en avant lundi sont nouveaux : pour les autres, qui n'avaient pas trouvé preneur, les appels d'offres ont été renouvelés.Quelque 63.000 Israéliens vivent déjà dans ces deux zones que l'Etat hébreu considère comme des quartiers de Jérusalem à part entière. « Au lieu de changer de cap et de montrer qu'Israël est prêt à faire la paix, Nétanyahou s'en tient à la ligne qu'il a suivie pendant sa campagne et cherche à empêcher la paix », a réagi La Paix maintenant. Le Premier ministre de droite sortant avait, en effet, réaffirmé avant le scrutin sa détermination à poursuivre la colonisation. Des propos perçus comme un acte de défiance à l'égard de la communauté internationale.L'intention proclamée du vainqueur avait causé d'autant plus d'émoi qu'un de ses objectifs déclarés était d'empêcher que la ville ne soit divisée et que les Palestiniens n'y établissent leur capitale dans sa partie orientale. De son côté, Riyad Al-Malki, le ministre des affaires étrangères de l'Autorité palestinienne, a vivement dénoncé une violation du droit international et un acte contraire aux efforts de pacification de la région. « Ces mesures visent à entraver l'établissement d'un Etat palestinien viable et indépendant géographiquement continu et d'empêcher la réalisation d'une solution à deux Etats. »Les projets de construction concernent 36 unités à Neve Yaakov et 41 à Pisgat Zeev, deux quartiers de colonisation dans le nord de Jérusalem-Est. Seuls 18 des 77 lots mis en avant lundi sont nouveaux : pour les autres, qui n'avaient pas trouvé preneur, les appels d'offres ont été renouvelés.Quelque 63.000 Israéliens vivent déjà dans ces deux zones que l'Etat hébreu considère comme des quartiers de Jérusalem à part entière. « Au lieu de changer de cap et de montrer qu'Israël est prêt à faire la paix, Nétanyahou s'en tient à la ligne qu'il a suivie pendant sa campagne et cherche à empêcher la paix », a réagi La Paix maintenant. Le Premier ministre de droite sortant avait, en effet, réaffirmé avant le scrutin sa détermination à poursuivre la colonisation. Des propos perçus comme un acte de défiance à l'égard de la communauté internationale.L'intention proclamée du vainqueur avait causé d'autant plus d'émoi qu'un de ses objectifs déclarés était d'empêcher que la ville ne soit divisée et que les Palestiniens n'y établissent leur capitale dans sa partie orientale. De son côté, Riyad Al-Malki, le ministre des affaires étrangères de l'Autorité palestinienne, a vivement dénoncé une violation du droit international et un acte contraire aux efforts de pacification de la région. « Ces mesures visent à entraver l'établissement d'un Etat palestinien viable et indépendant géographiquement continu et d'empêcher la réalisation d'une solution à deux Etats. »
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Posté Le : 29/04/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R I Agence
Source : www.lemidi-dz.com