Algérie

Isolement des nouveaux quartiers


Les habitants des cités construites durant les 5 dernières années des deux côtés de la route menant vers Oran désespèrent de trouver un moyen de transport. Hormis un bus qui fait la tournée à travers les quartiers de Salamandre, en passant par la laiterie, il n'existe aucun autre moyen de transport en commun ni taxi. N'ayant pas d'arrêt fixe au niveau du centre-ville, les taxieurs ne peuvent desservir ces quartiers que par inadvertance. Pourtant, l'arrêt de bus situé non loin du passage à niveau ne désemplit jamais. Surtout durant les froides matinées, lorsque travailleurs, écoliers ou étudiants s'y agglutinent en quête du moindre bus ou taxi.Si bien qu'ils sont dans l'obligation d'emprunter les rares bus de Stidia ou d'Aïn Nouissy qui les déposent à la gare routière ; de là, ils doivent impérativement prendre un taxi pour le centre-ville. Pour ceux qui doivent aller vers une autre destination, un autre moyen de transport s'impose. Au retour, les rares bus qui prennent le départ sous le pont de Dallas partent bondés, obligeant les usagers à refaire la même gymnastique que celle du matin. Pourtant les habitants de la cité Hamada, Lakhdar Benkhlouf, Policière, 110 et 84 logements ainsi que les cités FNPOS et OPGI ne demandent pas l'impossible ; une dizaine de taxis et 5 autocars les soulageraient définitivement des corvées quotidiennes.
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