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Inzaghi, la fin d'une époque Italie



Inzaghi, la fin d'une époque                                    Italie
Filippo Inzaghi a annoncé qu'il mettait fin à sa carrière de joueur professionnel pour prendre en charge l'équipe des moins de 18 ans du Milan AC. Après plus de 20 ans passés au plus haut niveau, c'est l'un des plus grands buteurs des années 90 et 2000 qui tire sa révérence.
Filippo Inzaghi a annoncé qu'il mettait fin à sa carrière de joueur professionnel pour prendre en charge l'équipe des moins de 18 ans du Milan AC. Après plus de 20 ans passés au plus haut niveau, c'est l'un des plus grands buteurs des années 90 et 2000 qui tire sa révérence.
À l'issue de la saison 2011/2012, Filippo Inzaghi devait quitter le Milan AC, club avec lequel il avait tout remporté, pour rejoindre la MLS, ou encore une équipe de seconde zone européenne. Mais finalement, l'ancien buteur des Rossoneri en a décidé autrement, et a annoncé qu'il resterait au Milan pour prendre en charge les moins de 18 ans. Pour rappel, le palmarès de "Super Pippo" tout au long de sa carrière, c'est un titre de champion du monde avec la Nazionale en 2006, deux Ligues des champions avec le Milan, trois Scudetti et une Coupe du monde des clubs.
Un palmarès qui force donc obligatoirement le respect. La retraite de footballeur de Pippo Inzaghi coïncide avec une époque où les "buteurs purs" ne sont plus réellement à la mode. Fini les Van Nistelroy, ou encore les Trezeguet, qui passent la plupart de leur temps dans la surface de réparation et qui attendent d'être servis dans les meilleures conditions possibles. Désormais, les attaquants doivent être capables de savoir tout faire, et surtout de partir de loin. Les deux meilleurs scoreurs d'Europe, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, en sont la preuve même. Le génie de Filippo Inzaghi relevait de sa capacité à être bien placé au bon moment. Alex Ferguson dira même de lui "cet homme est né hors-jeu." Pourtant il aura inscrit tout au long de sa carrière 197 réalisations dans le championnat italien (Serie A et Serie B comprises), et pointe même avec 70 buts à la deuxième place des meilleurs buteurs de tous les temps en Coupe d'Europe, juste derrière Raul (75 buts). De Piacenza, où il a débuté sa carrière professionnelle, en passant par la Juventus de Turin, pour finir au Milan AC, Inzaghi aura été soit adulé, soit détesté. Mais il n'aura jamais laissé indifférent. Et ça, c'est forcément la marque d'un grand joueur.
À l'issue de la saison 2011/2012, Filippo Inzaghi devait quitter le Milan AC, club avec lequel il avait tout remporté, pour rejoindre la MLS, ou encore une équipe de seconde zone européenne. Mais finalement, l'ancien buteur des Rossoneri en a décidé autrement, et a annoncé qu'il resterait au Milan pour prendre en charge les moins de 18 ans. Pour rappel, le palmarès de "Super Pippo" tout au long de sa carrière, c'est un titre de champion du monde avec la Nazionale en 2006, deux Ligues des champions avec le Milan, trois Scudetti et une Coupe du monde des clubs.
Un palmarès qui force donc obligatoirement le respect. La retraite de footballeur de Pippo Inzaghi coïncide avec une époque où les "buteurs purs" ne sont plus réellement à la mode. Fini les Van Nistelroy, ou encore les Trezeguet, qui passent la plupart de leur temps dans la surface de réparation et qui attendent d'être servis dans les meilleures conditions possibles. Désormais, les attaquants doivent être capables de savoir tout faire, et surtout de partir de loin. Les deux meilleurs scoreurs d'Europe, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, en sont la preuve même. Le génie de Filippo Inzaghi relevait de sa capacité à être bien placé au bon moment. Alex Ferguson dira même de lui "cet homme est né hors-jeu." Pourtant il aura inscrit tout au long de sa carrière 197 réalisations dans le championnat italien (Serie A et Serie B comprises), et pointe même avec 70 buts à la deuxième place des meilleurs buteurs de tous les temps en Coupe d'Europe, juste derrière Raul (75 buts). De Piacenza, où il a débuté sa carrière professionnelle, en passant par la Juventus de Turin, pour finir au Milan AC, Inzaghi aura été soit adulé, soit détesté. Mais il n'aura jamais laissé indifférent. Et ça, c'est forcément la marque d'un grand joueur.


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