Algérie

Intervention musclée d'Israël Syrie, Après la déroute des groupes armés



L'armée syrienne fait état de deux employés tués et de cinq blessés le centre recherche militaire visé par un raid israélien. Le centre a subi d'importants dégâts...
L'armée syrienne fait état de deux employés tués et de cinq blessés le centre recherche militaire visé par un raid israélien. Le centre a subi d'importants dégâts...
La Syrie a menacé, jeudi, de riposter au raid aérien israélien contre un centre de recherche militaire situé près de Damas.
La Ligue arabe, quant à elle, a condamné ce qu'elle juge "une violation flagrante de la souveraineté d'un Etat arabe".
"Un avion de combat israélien a violé notre espace aérien à l'aube et a directement bombardé un centre de recherche sur l'amélioration de la résistance et l'auto-défense dans la région de Jomrayah dans la province de Damas", a affirmé l'armée syrienne dans un communiqué publié par l'agence officielle Sana.
L'armée syrienne fait état de deux employés tués et de cinq blessés dans ce centre, qui a subi "d'importants dégâts et dont le bâtiment a été partiellement détruit". Le même texte ajoute "que des groupes terroristes ont essayé en vain, à plusieurs reprises ces derniers mois, d'entrer et de s'emparer de ce site". Le régime affirme depuis le début d'une révolte qui s'est transformée en guerre civile, "lutter contre des terroristes armés et financés par l'étrange". Cette attaque prouve, selon le même communiqué, si besoin est : "Désormais à tous qu'Israël est le moteur, le bénéficiaire et parfois l'acteur des actes terroristes visant la Syrie et son peuple résistant, en coordination avec les pays soutenant le terrorisme, dirigés par la Turquie et le Qatar". Le communiqué de l'armée syrienne explique en outre que "les avions de combat israéliens ont pénétré en volant en-dessous de la hauteur détectée par les radars". L'armée libanaise a fait, quant à elle, état d'un survol particulièrement intensif de son territoire, affirmant que 16 avions de combat israéliens étaient entrés dans son espace aérien dans lajournée de mardi. Pour sa part, la Russie s'est déclarée "très préoccupée" par une information concernant le raid israélien en territoire syrien. "Si cette information est confirmée, cela signifie que nous avons à faire à des frappes sans aucun prétexte sur le territoire d'un Etat souverain, ce qui viole Onu et est inacceptable, quel qu'en soit le motif", a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. "Nous prenons des mesures d'urgence pour éclaircir cette situation dans les moindres détails", a-t-il souligné. "Nous appelons une nouvelle fois à la fin des violences en Syrie, sans intervention extérieure - ce qui serait inadmissible - et au début d'un dialogue intersyrien basé sur les accords de Genève." D'autre part le chef de la Coalition de l'opposition syrienne, Ahmed Moaz al-Khatib, a créé la surprise mercredi dernier en se déclarant prêt à dialoguer, sous conditions, avec des représentants du régime, dans un texte posté sur sa page Facebook.Cette proclamation a semé la stupeur parmi les opposants et le Conseil national syrien (CNS), principale composante de la Coalition.
La Syrie a menacé, jeudi, de riposter au raid aérien israélien contre un centre de recherche militaire situé près de Damas.
La Ligue arabe, quant à elle, a condamné ce qu'elle juge "une violation flagrante de la souveraineté d'un Etat arabe".
"Un avion de combat israélien a violé notre espace aérien à l'aube et a directement bombardé un centre de recherche sur l'amélioration de la résistance et l'auto-défense dans la région de Jomrayah dans la province de Damas", a affirmé l'armée syrienne dans un communiqué publié par l'agence officielle Sana.
L'armée syrienne fait état de deux employés tués et de cinq blessés dans ce centre, qui a subi "d'importants dégâts et dont le bâtiment a été partiellement détruit". Le même texte ajoute "que des groupes terroristes ont essayé en vain, à plusieurs reprises ces derniers mois, d'entrer et de s'emparer de ce site". Le régime affirme depuis le début d'une révolte qui s'est transformée en guerre civile, "lutter contre des terroristes armés et financés par l'étrange". Cette attaque prouve, selon le même communiqué, si besoin est : "Désormais à tous qu'Israël est le moteur, le bénéficiaire et parfois l'acteur des actes terroristes visant la Syrie et son peuple résistant, en coordination avec les pays soutenant le terrorisme, dirigés par la Turquie et le Qatar". Le communiqué de l'armée syrienne explique en outre que "les avions de combat israéliens ont pénétré en volant en-dessous de la hauteur détectée par les radars". L'armée libanaise a fait, quant à elle, état d'un survol particulièrement intensif de son territoire, affirmant que 16 avions de combat israéliens étaient entrés dans son espace aérien dans lajournée de mardi. Pour sa part, la Russie s'est déclarée "très préoccupée" par une information concernant le raid israélien en territoire syrien. "Si cette information est confirmée, cela signifie que nous avons à faire à des frappes sans aucun prétexte sur le territoire d'un Etat souverain, ce qui viole Onu et est inacceptable, quel qu'en soit le motif", a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. "Nous prenons des mesures d'urgence pour éclaircir cette situation dans les moindres détails", a-t-il souligné. "Nous appelons une nouvelle fois à la fin des violences en Syrie, sans intervention extérieure - ce qui serait inadmissible - et au début d'un dialogue intersyrien basé sur les accords de Genève." D'autre part le chef de la Coalition de l'opposition syrienne, Ahmed Moaz al-Khatib, a créé la surprise mercredi dernier en se déclarant prêt à dialoguer, sous conditions, avec des représentants du régime, dans un texte posté sur sa page Facebook.Cette proclamation a semé la stupeur parmi les opposants et le Conseil national syrien (CNS), principale composante de la Coalition.


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