Il y a cinq ans, l'Association algérienne pour la sauvegarde et la promotion du patrimoine archéologique (AASPPA) s'élevait contre l'état de décrépitude du site historique classé, dans les tablettes de l'Unesco, patrimoine mondial, La Casbah d'Ibn Mezghenna en l'occurrence. On revient chaque année, à l'occasion de la Journée nationale pour rappeler la douleur que vit la cité ancestrale, tiraillée entre l'usure du temps qui l'émiette et l'espoir que nourrissent les défenseurs du patrimoine. Mais les pouvoirs publics, la wilaya et le département de la culture tentent de ravaler la langue aux rabat-joie et rassurer du bien-fondé du plan permanent de sauvegarde dont la phase de restauration, après celle du plan d'urgence qui se résume dans l'opération étaiement, tarde à voir le jour.
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Posté Le : 23/02/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : M Tchoubane
Source : www.elwatan.com