Indigence des débats pour cause de soumission de la classe politique

Régler le problème d'emploi dans ce contexte durable, où, apparemment, les variables économiques ne sont pas maîtrisées, car peut-être non maîtrisables, replacerait la société dans une situation recherchée d'un équilibre retrouvé. Mais comment pouvoir le régler, car pour le moment il n'y a jamais eu de solution miracle. Pas de solution pour des emplois à temps plein et en nombre suffisant. En nombre suffisant ' 100% des besoins ' Ce serait un miracle. Irons-nous vers des solutions éprouvées ailleurs ' On n'en parle pas encore mais cela ne saurait tarder. Des entrepreneurs y ont fait allusion. Ils ont utilisé peut- être timidement le concept de flexibilité. Soit réduire le nombre de travailleurs proportionnellement à la réduction du plan de travail, ou de charge. Cela n'interdit pas de reprendre les travailleurs mis au chômage lors de l'acquisition d'un nouveau plan de charge plein. Une autre hypothèse en remplacement de celle-là. Il s'agirait de demander à l'ensemble des travailleurs de supporter un effort de solidarité. Au lieu de sacrifier un certain nombre de travailleurs en les envoyant au chômage, tous restent à leur poste, mais consentent à une diminution de leurs salaires. Une diminution temporaire, le temps de récupérer le plein plan de charge. Soit sacrifié quelques-uns, soit sacrifié une partie des salaires par solidarité. Pour le moment, les entrepreneurs n'ont pas osé mettre de telles questions sur la table, mais cela ne signifie pas qu'ils n'y ont pas pensé. Et le temps partiel ' Aucune allusion ' Il ne s'agirait pas seulement de prétendre rendre service aux femmes, dont on dit qu'elles en seraient fortement candidates. Depuis la dégringolade du pouvoir d'achat, même les femmes les plus attachées au temps partiel n'y tiendraient pas tellement, car la vie est devenue trop chère. Vraiment trop chère !De toute façon, on n'en parle pas du tout, ou plus du tout du travail à temps partiel. Il y a de quoi se demander si on possède des partis politiques, que cela concerne tant le camp du pouvoir que celui de l'opposition.