Inchallah

La bonne nouvelle. Celle qui arrive à point. Qu'on attend depuis un moment et à laquelle on pense tous les jours. Celle qui nous manque pour pourvoir vous projeter vers l'avenir. On se persuade et de plus en plus que sans elle, la bonne nouvelle, on ne pourra rien faire. Son attente nous tétanise. Elle nous conditionne tellement que sans elle, le monde est noir sans espoir. Se réveille heureusement un désir de vie plus important. Et là, bonne nouvelle ou pas, le respect de la vie humaine devient le rempart le plus doux.Prenons soin des personnes âgées et donnons-leur toute la bienveillance qu'ils méritent. L'agapè développé pour eux est la meilleure ?uvre qu'on puisse réaliser. Arracher des gens qui sont dans des situations difficiles avec le retour de soi vers la vie en leur expliquant combien celle-ci est précieuse. Enfin, la bonne nouvelle est qu'une autre relation avec la vie, plus vraie, plus harmonieuse existe. Pour le faire, il faut couper avec la frénésie des portables par exemple. Reprendre son corps en main, l'empêcher de passer des SMS, d'appeler quelqu'un, de consulter son téléphone. La bonne nouvelle c'est vous. L'intégrer est la chose la plus importante pour avancer pour soi.Apprendre à partir vers d'autres horizons crée de nouvelles expériences et ce renouveau vous indique que les plaisirs de la vie se manifestent à chaque instant et que vous voudrez bien accepter comme tel. Se plaindre ne fait pas avancer. Jouez au clandestin - pariez l'illégalité. Rien ne va plus. Le capharnaüm se crée parce qu'on privilégie le doute ; qu'on ne peut décider d'une direction à prendre.La passion de la vie est la seule confiance à avoir. Vous serez alors bien heureux de vivre. Dans la fragilité, on connaît la vie intérieure, son être profond émerge. Gardez la foi.