Inalca Algérie nous écrit

Dans un courrier adressé à notre rédaction, en réaction à l'article paru dans l'édition du mercredi 28 mars 2018 et intitulé "Le partenaire algérien réintègre le staff dirigeant", Massimo Gianluca Guarischi, agissant en qualité de gérant de la société Inalca Algérie, a tenu à apporter des précisions sur le contenu de l'article.Massimo Gianluca Guarischi précise que le jugement rendu par le tribunal de Dar El-Beïda en date du 11/03/2018 est un jugement social rendu par défaut, synonyme que le jugement n'est pas définitif et non exécutoire. Il a, par ailleurs, ajouté que M. Lyes Yaïci a déjà été condamné pénalement à deux reprises. Une première fois, en compagnie de son père, Boubekeur Yaïci, par le tribunal correctionnel de Sidi M'hamed à six mois de prison pour faux et usage en écritures de commerce, un jugement confirmé par la cour d'Alger, et une seconde fois par le tribunal de Boumerdès à une année de prison ferme et un dédommagement de seize millions de dinars à verser au profit de la Sarl Inalca, pour motif de dilapidation des biens de l'entreprise dont il est associé. Sans citer trois dossiers qui sont en instruction devant le juge d'instruction du tribunal de Boumerdès et Sidi M'hamed dilapidation des biens, détention abusive des documents de l'entreprise et faux et usage de faux. Concernant la situation de statu quo qu'a connue la société avec ses difficultés et les dégâts qu'elle a subis, Gianluca Guarischi les impute aux associés algériens et précise que depuis le changement de gérance, la société commence à retrouver sa réelle vocation, et ce, après l'investissement fait en construisant la plus grande salle de découpe et de transformation de viande selon les normes italiennes dont l'associé italien est leader dans le domaine.