La communauté universitaire s'est fortement mobilisée aujourd'hui, pour maintenirla pression sur le pouvoir, afin qu'ilsatisfasse les revendications de changementde système politique exprimées parle peuple.La communauté universitaire s'est fortement mobilisée aujourd'hui, pour maintenirla pression sur le pouvoir, afin qu'ilsatisfasse les revendications de changementde système politique exprimées parle peuple.
Ainsi, à l'appel des comités desétudiants, des marches pacifiques ont eulieu aujourd'huin à travers l'ensemble duterritoire national. A Alger, il y a eu unegrande mobilisation, non seulement desétudiants qui enchaînent les actions de protestationssur le terrain, mais aussi lesenseignants universitaires et des chercheursqui continuent donc à accompagnerl'élan populaire, en faveur d'une nouvelleRépublique.
De la place Audin à la Grande Poste, enpassant par l'avenue Pasteur, des milliersd'étudiants et d'enseignants ont manifestéet exprimé leur rejet de la prolongation dumandat présidentiel de Bouteflika, safeuille de route pour une transition politiqueet sa désignation du tandem Bedoui-Lamamra, pour la conduite des affaires dupays jusqu'à la future élection présidentielle.Les manifestants ont scandé des slogans appelant au départ sans délai, du présidentBouteflika et de tous ceux qui dirigent aveclui. Sur des pancartes, les marcheurs affirmentque le système politique est "irréformable".A Annaba aussi un grand rassemblement a été organisé par les étudiants.Plusieurs autres corporations étaient et sesont joints à la manifestation. Il s'agit notamment, des avocats, des médecins et simples citoyens qui se sont rassemblés devant le théâtre régional Azzedine Medjoubi dans le centre-ville.
A Bejaia, des étudiants, travailleurs et agriculteurs, ont manifesté pour le changement. A Chlef, ce sont les journalistes exerçantdans les secteurs privé et public, qui ont organisé, hier mardi, un rassemblement devant la maison de la presse, avant de marcher dans la rue pour "une presse libreet indépendante" et pour "le départ immédiat de Bouteflika". A Guelma, il y'a eu une grève générale des travailleurs de plusieurs secteurs. A Constantine, les étudiants scandaient "Non au prolongement du mandat du président". Les étudiants ont marché depuis l'université des frères Mantouri jusqu'au centre-ville. A Oran, les anciens moudjahidine,issus des Ecoles des cadets de laont manifesté hier, pourréclamer le départ immédiat du système politique incarné par Bouteflika.
Ainsi, à l'appel des comités desétudiants, des marches pacifiques ont eulieu aujourd'huin à travers l'ensemble duterritoire national. A Alger, il y a eu unegrande mobilisation, non seulement desétudiants qui enchaînent les actions de protestationssur le terrain, mais aussi lesenseignants universitaires et des chercheursqui continuent donc à accompagnerl'élan populaire, en faveur d'une nouvelleRépublique.
De la place Audin à la Grande Poste, enpassant par l'avenue Pasteur, des milliersd'étudiants et d'enseignants ont manifestéet exprimé leur rejet de la prolongation dumandat présidentiel de Bouteflika, safeuille de route pour une transition politiqueet sa désignation du tandem Bedoui-Lamamra, pour la conduite des affaires dupays jusqu'à la future élection présidentielle.Les manifestants ont scandé des slogans appelant au départ sans délai, du présidentBouteflika et de tous ceux qui dirigent aveclui. Sur des pancartes, les marcheurs affirmentque le système politique est "irréformable".A Annaba aussi un grand rassemblement a été organisé par les étudiants.Plusieurs autres corporations étaient et sesont joints à la manifestation. Il s'agit notamment, des avocats, des médecins et simples citoyens qui se sont rassemblés devant le théâtre régional Azzedine Medjoubi dans le centre-ville.
A Bejaia, des étudiants, travailleurs et agriculteurs, ont manifesté pour le changement. A Chlef, ce sont les journalistes exerçantdans les secteurs privé et public, qui ont organisé, hier mardi, un rassemblement devant la maison de la presse, avant de marcher dans la rue pour "une presse libreet indépendante" et pour "le départ immédiat de Bouteflika". A Guelma, il y'a eu une grève générale des travailleurs de plusieurs secteurs. A Constantine, les étudiants scandaient "Non au prolongement du mandat du président". Les étudiants ont marché depuis l'université des frères Mantouri jusqu'au centre-ville. A Oran, les anciens moudjahidine,issus des Ecoles des cadets de laont manifesté hier, pourréclamer le départ immédiat du système politique incarné par Bouteflika.
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Posté Le : 27/03/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R N
Source : www.lemidi-dz.com