Algérie

Imposante marche à Alger



Des groupes d'étudiants rejoints par des anonymes ont manifesté, mardi dans plusieurs wilayas du pays, pour revendiquer le départ des figures de proue de l'ancien système politique et l'organisation d'élections présidentielles "transparentes.Des groupes d'étudiants rejoints par des anonymes ont manifesté, mardi dans plusieurs wilayas du pays, pour revendiquer le départ des figures de proue de l'ancien système politique et l'organisation d'élections présidentielles "transparentes.
Ainsi, une imposante marche a eu lieu à Alger, où des citoyens ont rejoint les étudiants pour réitérer leurs revendications, pour une "Algérie libre et démocratique". La marche, qui s'est ébranlée de la place des Martyrs, a sillonné plusieurs artères de la capitale. A l'ouest du pays, des étudiants ont organisé une nouvelle marche à Oran, Mostaganem et Tlemcen, pour exprimer leur attachement aux revendications du Hirak, et renouveler leur appel à la tenue d'élections présidentielles, "sans les figures de l'ancien système politique". A Oran, les marcheurs se sont donnés rendez- vous à la place du 1er Novembre avant de s'ébranler en direction du siège de la wilaya, en traversant l'itinéraire emprunté habituellement, à chacune de leur sortie hebdomadaire. Brandissant l'Emblème national, des banderoles et autres pancartes portant leurs revendications, les étudiants ont scandé des slogans appelant au départ des symboles de l'ancien système, et au respect de la souveraineté du peuple.
A Mostaganem, des étudiants, accompagnés d'universitaires et d'activistes du Hirak, se sont contentés d'un rassemblement à la place de l'Indépendance, au centre- ville du chef-lieu de la wilaya. Les participants ont notamment scandé des slogans, appelant à la poursuite de la lutte contre la corruption et à la libération des personnes arrêtées durant les manifestations. A Tlemcen, des dizaines d'étudiants ont également marché, du siège du tribunal jusqu'au siège de la wilaya, réitérant les principales revendications du Hirak. Des groupes d'étudiants ont aussi manifesté dans plusieurs villes de l'Est du pays, réitérant les revendications de changement des symboles de l'ancien système et le départ du gouvernement. A Constantine, environ 150 personnes, entre étudiants et autres groupes d'anonymes, ont battu le pavé de l'avenue Abane Ramdhane, avant de s'arrêter devant le siège de la Cour de justice, scandant notamment "Algérie, libre démocratique", en encore, "presse libre, justice indépendante".
Les manifestants ont également revendiqué, "le départ" de l'actuel gouvernement, avant de tenir un débat ouvert au centre-ville. Dans la ville de Sétif, les manifestants, une centaine dont des étudiants et d'autres citoyens, se sont dirigés vers le monument érigé à la mémoire du chahid Saâl Bouzid, puis la fontaine Ain El-Fouara. Ils ont fait une halte devant les bureaux du FLN et du RND, réclamant leur retrait de la scène politique. A Annaba, un groupe de citoyens, dont parmi eux des étudiants, ont marché au centre-ville jusqu'au cours de la Révolution, lançant des slogans opposés à la tenue d'élections présidentielles. Dans les wilayas du centre, les marches hebdomadaires estudiantines ont eu lieu, notamment à Tizi-Ouzou et Bejaia, où les manifestants ont réitéré leur rejet des élections et demandé une "période de transition.
Ainsi, une imposante marche a eu lieu à Alger, où des citoyens ont rejoint les étudiants pour réitérer leurs revendications, pour une "Algérie libre et démocratique". La marche, qui s'est ébranlée de la place des Martyrs, a sillonné plusieurs artères de la capitale. A l'ouest du pays, des étudiants ont organisé une nouvelle marche à Oran, Mostaganem et Tlemcen, pour exprimer leur attachement aux revendications du Hirak, et renouveler leur appel à la tenue d'élections présidentielles, "sans les figures de l'ancien système politique". A Oran, les marcheurs se sont donnés rendez- vous à la place du 1er Novembre avant de s'ébranler en direction du siège de la wilaya, en traversant l'itinéraire emprunté habituellement, à chacune de leur sortie hebdomadaire. Brandissant l'Emblème national, des banderoles et autres pancartes portant leurs revendications, les étudiants ont scandé des slogans appelant au départ des symboles de l'ancien système, et au respect de la souveraineté du peuple.
A Mostaganem, des étudiants, accompagnés d'universitaires et d'activistes du Hirak, se sont contentés d'un rassemblement à la place de l'Indépendance, au centre- ville du chef-lieu de la wilaya. Les participants ont notamment scandé des slogans, appelant à la poursuite de la lutte contre la corruption et à la libération des personnes arrêtées durant les manifestations. A Tlemcen, des dizaines d'étudiants ont également marché, du siège du tribunal jusqu'au siège de la wilaya, réitérant les principales revendications du Hirak. Des groupes d'étudiants ont aussi manifesté dans plusieurs villes de l'Est du pays, réitérant les revendications de changement des symboles de l'ancien système et le départ du gouvernement. A Constantine, environ 150 personnes, entre étudiants et autres groupes d'anonymes, ont battu le pavé de l'avenue Abane Ramdhane, avant de s'arrêter devant le siège de la Cour de justice, scandant notamment "Algérie, libre démocratique", en encore, "presse libre, justice indépendante".
Les manifestants ont également revendiqué, "le départ" de l'actuel gouvernement, avant de tenir un débat ouvert au centre-ville. Dans la ville de Sétif, les manifestants, une centaine dont des étudiants et d'autres citoyens, se sont dirigés vers le monument érigé à la mémoire du chahid Saâl Bouzid, puis la fontaine Ain El-Fouara. Ils ont fait une halte devant les bureaux du FLN et du RND, réclamant leur retrait de la scène politique. A Annaba, un groupe de citoyens, dont parmi eux des étudiants, ont marché au centre-ville jusqu'au cours de la Révolution, lançant des slogans opposés à la tenue d'élections présidentielles. Dans les wilayas du centre, les marches hebdomadaires estudiantines ont eu lieu, notamment à Tizi-Ouzou et Bejaia, où les manifestants ont réitéré leur rejet des élections et demandé une "période de transition.


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