Algérie

Importantes intentions de coopération dans les travaux publics et l'eau


Importantes intentions de coopération dans les travaux publics et l'eau
Une rencontre de partenariat multisectorielle entre la Confédération algérienne du patronat (CAP) et la Fédération française des travaux publics (FNTP) a eu lieu, hier à l`hôtel Hilton, en présence des représentants des ministères desTravaux publics, des Ressources en eau, et de l`Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements.
Cette réunion a pour objet, selon le président de la CAP, Boualem M'Rakach, "de nous concerter avec nos partenaires français et entrer dans un cadre de partenariat afin de répondre point par point sur les questions importantes concernant la coopération". Car, a t-il dit, "l'Algérie a besoin d`avoir des repères pour se développer. Il s`agit de mettre en 'uvre un programme de formation et assurer le transfert de technologies et de savoir-faire".La CAP et la FNTP vont engager des actions communes de formation des cadres algériens. En effet, le responsable de la CAP estime que "l'essentiel consiste à négocier sur des bases saines et arrêter de rediscuter ce que nous avons déjà abordé il y a des années de cela". Pour lui, le plus important consiste à agir ensemble pour définir la stratégie et l`action dans le secteur et les domaines d`activité économique qui nous concernent où beaucoup reste à faire. "En Méditerranée du sud, l`Algérie occupe une bonne place pour répondre à la demande", a-t-il ajouté, précisant que "nous sommes prêts à engager des actions d`investissement avec nos partenaires français compte tenu des besoins du marché national, sachant que le dispositif mis en place par la CAP est simple alors que les choses doivent être profitables aux deux parties". La CAP estime qu`il n' y a pas de sujets tabous et le débat et les négociations doivent aller dans le sens de l'approfondissement en apportant des solutions aux problèmes posés. Soulignant que "le marché algérien est extrêmement porteur et que les besoins commencent à se faire sentir avec, notamment l`engagement du secteur public et des autorités", M. M'Rakach indique que son organisation patronale est prête à approfondir les actions afin de mener à bien les projets de développement économique sachant qu'il n'a pas de demande financière à formuler. Cependant, le transfert de technologies est indispensable dans l`accord de partenariat entre la CAP et la FNTP française.
"Il faut mettre sur la table l'ensemble des questions en ce sens que des représentants de quatre ministères sont présents à cette rencontre de partenariat. C'est en fait, l'engagement de l'Etat pour décortiquer les préoccupations nous concernant".
Par ailleurs, les responsables de la CAP affirment que "la règle de partenariat entre les opérateurs économiques algériens et leurs partenaires étrangers sur la base du partage de capital 51% et 49 % n'est pas un blocage, car, en Algérie, l`opérateur étranger a beaucoup à gagner en vertu du dispositif législatif et réglementaire algérien qui est attractif".
M. M'Rakach ajoute que "la bureaucratie et le dysfonctionnement ne doivent pas bloquer les projets de partenariat, car nous n`avons pas adapté les mesures nécessaires par rapport au volume des actions engagées par l`Algérie".
Pour sa part, Benito Bruzzo, consultant du groupe Evariste et administrateur honoraire représentant de la FNTP, a déclaré que "la coopération et le partenariat sont à parfaire entre les deux pays, mais nous sommes décidés à travailler en collaboration étroite avec le gouvernement algérien. Il y a eu beaucoup de changements en Algérie et les entreprises françaises et les opérateurs économiques algériens peuvent consentir d`importants investissements, notamment dans les travaux publics où nous voulons mettre notre transfert technologique à la disposition des sociétés algériennes suivant le principe de partenariat gagnant-gagnant".
M. Bruzzo indique que "les entreprises françaises s`engagent à apporter leur expertise aux entreprises algériennes et nous sommes déterminés à réussir ce partenariat en voulant aplanir les difficultés administratives et en changeant de méthode pour aider les entreprises algériennes à acquérir la technologie par le biais de la formation continue". Le boss de la CAP a rappelé, par ailleurs, que "le programme d`investissements publics retenu pour la période 2010-2014 implique des engagements financiers de l'ordre de 21.214 milliards DA, soit l`équivalent de 286 milliards dollars et concerne deux volets".
Il s`agit, selon lui,du parachèvement des grands projets déjà entamés, notamment dans les secteurs du rail, des routes et de l`eau, pour un montant de 9.700 milliards DA (130 milliards de dollars).
Une rencontre de partenariat multisectorielle entre la Confédération algérienne du patronat (CAP) et la Fédération française des travaux publics (FNTP) a eu lieu, hier à l`hôtel Hilton, en présence des représentants des ministères desTravaux publics, des Ressources en eau, et de l`Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements.
Cette réunion a pour objet, selon le président de la CAP, Boualem M'Rakach, "de nous concerter avec nos partenaires français et entrer dans un cadre de partenariat afin de répondre point par point sur les questions importantes concernant la coopération". Car, a t-il dit, "l'Algérie a besoin d`avoir des repères pour se développer. Il s`agit de mettre en 'uvre un programme de formation et assurer le transfert de technologies et de savoir-faire".La CAP et la FNTP vont engager des actions communes de formation des cadres algériens. En effet, le responsable de la CAP estime que "l'essentiel consiste à négocier sur des bases saines et arrêter de rediscuter ce que nous avons déjà abordé il y a des années de cela". Pour lui, le plus important consiste à agir ensemble pour définir la stratégie et l`action dans le secteur et les domaines d`activité économique qui nous concernent où beaucoup reste à faire. "En Méditerranée du sud, l`Algérie occupe une bonne place pour répondre à la demande", a-t-il ajouté, précisant que "nous sommes prêts à engager des actions d`investissement avec nos partenaires français compte tenu des besoins du marché national, sachant que le dispositif mis en place par la CAP est simple alors que les choses doivent être profitables aux deux parties". La CAP estime qu`il n' y a pas de sujets tabous et le débat et les négociations doivent aller dans le sens de l'approfondissement en apportant des solutions aux problèmes posés. Soulignant que "le marché algérien est extrêmement porteur et que les besoins commencent à se faire sentir avec, notamment l`engagement du secteur public et des autorités", M. M'Rakach indique que son organisation patronale est prête à approfondir les actions afin de mener à bien les projets de développement économique sachant qu'il n'a pas de demande financière à formuler. Cependant, le transfert de technologies est indispensable dans l`accord de partenariat entre la CAP et la FNTP française.
"Il faut mettre sur la table l'ensemble des questions en ce sens que des représentants de quatre ministères sont présents à cette rencontre de partenariat. C'est en fait, l'engagement de l'Etat pour décortiquer les préoccupations nous concernant".
Par ailleurs, les responsables de la CAP affirment que "la règle de partenariat entre les opérateurs économiques algériens et leurs partenaires étrangers sur la base du partage de capital 51% et 49 % n'est pas un blocage, car, en Algérie, l`opérateur étranger a beaucoup à gagner en vertu du dispositif législatif et réglementaire algérien qui est attractif".
M. M'Rakach ajoute que "la bureaucratie et le dysfonctionnement ne doivent pas bloquer les projets de partenariat, car nous n`avons pas adapté les mesures nécessaires par rapport au volume des actions engagées par l`Algérie".
Pour sa part, Benito Bruzzo, consultant du groupe Evariste et administrateur honoraire représentant de la FNTP, a déclaré que "la coopération et le partenariat sont à parfaire entre les deux pays, mais nous sommes décidés à travailler en collaboration étroite avec le gouvernement algérien. Il y a eu beaucoup de changements en Algérie et les entreprises françaises et les opérateurs économiques algériens peuvent consentir d`importants investissements, notamment dans les travaux publics où nous voulons mettre notre transfert technologique à la disposition des sociétés algériennes suivant le principe de partenariat gagnant-gagnant".
M. Bruzzo indique que "les entreprises françaises s`engagent à apporter leur expertise aux entreprises algériennes et nous sommes déterminés à réussir ce partenariat en voulant aplanir les difficultés administratives et en changeant de méthode pour aider les entreprises algériennes à acquérir la technologie par le biais de la formation continue". Le boss de la CAP a rappelé, par ailleurs, que "le programme d`investissements publics retenu pour la période 2010-2014 implique des engagements financiers de l'ordre de 21.214 milliards DA, soit l`équivalent de 286 milliards dollars et concerne deux volets".
Il s`agit, selon lui,du parachèvement des grands projets déjà entamés, notamment dans les secteurs du rail, des routes et de l`eau, pour un montant de 9.700 milliards DA (130 milliards de dollars).


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