Algérie

Immigration clandestine : une réalité inacceptable, une réponse ferme, juste et humaine



Immigration clandestine : une réalité inacceptable, une réponse ferme, juste et humaine
L’immigration clandestine est un phénomène qui constitue, néanmoins, un blocage pour le développement des pays pauvres tel que l’Algérie, car motivé par le sous emploi des jeunes. La résolution de ce problème est tributaire de la création des postes de travail par le biais des investissements les grandes puissances de l’économie du l’union européenne ont donc à leur charge l’investissement dans l’industrie lourde dans les pays africains notamment en Algérie qui fournissent cette immigration, afin de stabiliser les citoyens et en l’occurrence éviter l’envahissement de l’occidents par ces sans emploi.

Les pays, dits industrialisés en générale et l’union européenne en particulier ; ceux qui détiennent les économies et les finances de cette terre si vraiment défendre les droits de l’homme normalement sont tous conscients de la gravité du phénomène pour le devenir du globe dont la population Africaine , surtout des pays EL MAGHREB et l’Algérie en particulier, ne fait que s’accroître d’année en année. Ces puissances qui absorbent, en fait toutes, les ressources, toutes les énergies et mêmes toutes compétences de ces pays démunis, sont à l’origine de ces problèmes sociaux, car ils les ont longtemps colonisé, ce qui fait d’eux des pays aliénés et les condamne à rester pauvres, et à la merci de ces quelques pays riches au mondes, qui ne dépassent pas le chiffre Huit ( G 8 ) pour ne pas dire G 7 ..


L’Europe en générale et en particuliers ( France , Espagne , Italie , ) est confrontée à un paradoxe : d’un côté, elle est devenue l’une des premières destinations migratoires du rive sud de la Méditerranée et en particuliers de l’ALGÉRIE depuis ces cinq dernières années, dans un contexte de manque de main-d’œuvre sectorielle et de vieillissement. De l’autre, elle continue à inscrire les migrations dans le registre sécuritaire de la dissuasion et de la lutte contre l’immigration clandestine comme objectif prioritaire.

Les réponses politiques à ces éléments contradictoires se traduisent par le décalage (« migration gap »), que l’on constate aussi aux États-Unis : décalage entre les impératifs étatiques devenus européens de maîtrise des frontières et les lois du marché, décalage entre l’insertion dans une compétition mondiale pour les compétences et talents et la frilosité des politiques d’accueil.

En vêtu Le droit international des droits de l’Homme s’est pleinement emparé de ce principe de non-refoulement et lui a donné une portée qu’il n’avait pas initialement dans le droit international des réfugiés ou du moins qu’il avait en germes non éclos. Aux termes de la Convention de Genève de 1951 relative au statut des réfugiés et du Protocole additionnel de New York de 1967, les Etats doivent en effet s’abstenir de refouler une personne ou un groupe de personnes dans un Etat « où sa vie ou sa liberté serait menacée en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques » (Convention de Genève, article 33).et malgre la décalage entre l’affichage des droits de l’homme et les difficultés du « containment ». L’européanisation des politiques migratoires de gestion des flux s’accompagne de surcroît d’une très grande diversité des situations et des réponses politiques des pays d’accueil qui se réfugient souvent dans l’« opting out », un attentisme légitimé par la spécificité des situations de chacun.

Dans ce cadre la LADDH CHLEF rappel l’union européenne, la liberté de circulation et d’établissement est rattachée aux grandes libertés sur un fondement à la fois conventionnel et coutumier. Elle découle des principes généraux de l’article 3 de la Déclaration : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. » Cela serait suffisant en soi pour fonder la liberté de circulation. Mais le droit de circulation est précisé dans l’article 13 : « Toute personne a le droit de circuler et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat et toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays. » C’est une liberté pure, sans conditions. La vraie liberté que nous partageons entre tous les humains. L’asile, qui est conditionné à la persécution, est une institution en soi différente, faisant l’objet d’autres dispositions ; même si les choses se complètent et si, dans la réalité du phénomène migratoire, elles sont étroitement mêlées. La liberté pure de circuler est reprise dans des termes quasi identiques dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966 à l’article 12. Or, du point de vue de leur force juridique, les pactes ont valeur obligatoire : il s’agit de traités ratifiés, correspondant à des engagements des Etats.


Il s’y ajoute l’inscription des politiques d’intégration dans le régime de la subsidiarité, qui privilégie leur traitement à l’échelon national et local plutôt qu’européen. Cette analyse débouche sur quelques interrogations : le dialogue avec la rive sud de la Méditerranée, la politique de voisinage à l’est et l’ambiguïté des relations entre migrations et développement pour l’Europe.


L’ouverture des frontières européennes, pour LADDH CHLEF n’y croit guère. Pour cet association d’aide à la réinsertion d’anciens migrants qui ont tenté en vain l’aventure de l’Europe, il faut des politiques plus ambitieuses de développement dans la region de Chlef. Les investissements de l’Union européenne en matière d’immigration clandestine,

LADDH CHLEF pense que l’union européenne, se trompent de cible. “La quasi-totalité de cet argent a été dépensé pour renforcer la sécurité et non pour les jeunes chômeurs.

LADDH CHLEF se sentant seul dans le terrain sans moyen face à cet afflux de migrants de la region et subsaharienne environs 15 a 30 personnes par mois de Mer Méditerranée vers l’Europe ( d’après les gens que nous avons rencontre mais officiel pas de statique exact malheureusement ) , La wilaya de CHLEF devient la première région pour l'immigration clandestine en Algerie .

La laddh chlef souhaite aux responsables les deux rives Méditerranée il faut comprendre le phénomène.

Nous avons tous à l'esprit l'image des migrants bien souvent en y laissant leur vie dans le mer , dans ces semaines nous avons reçus des dizaines de familles plus 40 familles cherches leur enfants certaines disparus depuis 2008 .
Nul ne peut être insensible à ces images de détresse absolue et de désespoir total qui bouleversent à juste titre les consciences européennes ,des hommes, des femmes et des enfants désespérés ont été livrés à eux-mêmes, en pleine mer, des jours durant, tandis que les États discutaient du lieu où il fallait les conduire. Parfois, des personnes sont mortes sur ces embarcations, tandis que leurs appels de détresse demeuraient sans réponse, mais l'émigration à tout prix est-elle la seule solution au drame de la rive sud de la Méditerranée?

En effet, la volonté de certains États européens de faire barrage à l'immigration clandestine (c'est-à-dire aux personnes qui n'ont pas l'autorisation de vivre ni de travailler dans ces pays) ne permet pas de mener à bien les opérations de sauvetage en mer en temps voulu.

Ces images très médiatisées ne représentent pourtant qu'une partie de l'immigration clandestine , Parmi ceux qui parviennent à atteindre l'Europe, beaucoup se retrouvent en détention pendant des périodes prolongées. Les États se servent de la détention comme d'un moyen de dissuasion, bien qu'il ne soit pas prouvé qu'elle dissuade les gens de migrer ou de solliciter l'asile. car les migrants clandestins, dans leur grande majorité , entrent dans l'Union européenne de manière légale, avec un visa de court séjour. C'est la première idée que la LADDH CHLEF veux faire passer : on entre légalement dans l'Union européenne, on s'y maintient illégalement au-delà de la durée légale du court séjour et on bascule ainsi dans l'illégalité. La tendance à « criminaliser » l'immigration clandestine s'est accentuée en Europe. Certains pays ont introduit des sanctions pénales pour l'entrée sur le territoire ou le séjour irrégulier. D'autres sanctionnent également ceux qui viennent en aide aux migrants en situation irrégulière.

Chaque année, des dizaine de jeunes bravent la mort
Le phénomène est un vrai casse-tête pour les responsables Algérien et a l’union européenne chargés de ce dossier. La dissuasion par la répression s’est avérée inefficace. La loi Algérien punissant toute personne qui tente de quitter illégalement le territoire national de 2 à 6 mois de prison ainsi que d’une amende de 20.000 à 60.000 dinars s’est avérée bien peu dissuasive et pratiquement d’aucune efficacité pour ne serait-ce que juguler ce fléau.

Les candidats à l’immigration clandestine par le biais de la «Harga» ne reculeront devant rien. Pas même devant la mort. Si c’est le prix qu’ils devront payer rien que pour caresser le fol espoir d’une vie meilleure outre Méditerranée, alors, même le risque fort probable de se retrouver outre-tombe, ne les effraiera pas. Ils demeurent prêts à relever le défi, à affronter toute mer démontée et ses vagues en furie.
Les risques sont connus: disparition en mer, les gardes-côtes de la ville de Tenes qui les prennent en chasse…Les moyens sont dérisoires: embarcations de fortune…Tous les ingrédients sont réunis pour transformer ces folles et insouciantes équipées en autant de drames humains. Ceux de jeunes Chélifiens qui souffrent. Qui ont mal et qui le disent.

Faute de ne pas avoir été entendus, faute de réponse adéquate à leurs préoccupations, ils ont choisi d’hypothéquer leur vie en mer plutôt que de moisir et de vieillir, un peu trop tôt, à l’intérieur de cités de logement préfabriqué depuis le séisme 1980 qui mettent à nu leur désespoir.

Ballottés entre des rues sinistrées et des cafés insalubres où ils n’arrivent même pas à tuer leur ennui, ils n’ont que la fuite en tête. D’après les gens de cette région de CHLEF plus centaines pour ne pas dire des milliers d’après les gens d’entre eux ont tenté l’aventure entre 2005 a 2012. Combien seront-ils à avoir essayé en l’année 2013?

Les gardes- côtes chargés de leur livrer cette chasse à l’homme. Elle ressemble à l’ultime recours qui puisse exister pour leur éviter la mort ou à un moindre mal, le terrible apprentissage de la clandestinité.

Ils seront certainement nombreux les jeunes candidats à l’émigration clandestine qui rêvent de passer les fêtes de fin d’année 2014 en Espagne , en france ou en Italie.

Deux destinations parmi les plus prisées à cause de réseaux de solidarité (amis, proches parents…) qui les prendront en charge, même si les régularisations sont devenues très difficiles dans ces trois pays.
des dizaines corps d’Algériens se trouvant dans les morgues espagnoles. Almeria, Alicante et d’autres villes encore a l’italie. «Les corps qui sont déposés dans les morgues des villes, à Almeria ou ailleurs, certains depuis six mois, d’autres depuis un ans, sont en état de décomposition avancé», Cette comptabilité macabre ne diminue en rien le calvaire de ces damnés de la terre. Une mort d’Algérien dans des conditions aussi dramatiques qu’insupportables est une mort de trop. Et il n’y a pas lieu à ce qu’elles se comptent par centaines ou par milliers pour s’en émouvoir.



Bon nombre de ces clandestins sont exploités par des filières criminelles ( drogue , vol ,….etc ). Organisées en réseaux, elles interviennent à toutes les étapes du parcours des migrants : corruption dans les pays d'origine, production de documents frauduleux qui servent à l'établissement des visas, organisation du voyage par la voie terrestre ou la traversée maritime, mise en contact du migrant avec son employeur.

Dans certains pays, 40 % des documents présentés à l'appui d'une demande de visa sont frauduleux. La réalité de cet odieux trafic est, hélas, bien connue. Des personnes vendent tous leurs biens, s'endettent à vie dans la quête d'un eldorado et, à l'arrivée, ces mêmes personnes trouvent l'enfer et non le paradis promis par des passeurs criminels. Car ce qui attend beaucoup de migrants clandestins, c'est l'exploitation -j'ose le mot- par les esclavagistes du travail illégal. LADDH CHLEF pense que la politique sécuritaire n’est pas une solution , même nous avons remarquer au niveau de l’Europe l'esclavage des temps modernes qu'est l'exploitation des migrants clandestins et illégaux. C'est le cas dans certains secteurs : la restauration, le bâtiment, les emplois domestiques, l'agriculture.

La laddh Chlef demande à l’Etat Algérien de lever les verrous bureaucratiques pour qu’ils puissent venir en aide aux jeunes Algériens détenus dans les prisons espagnoles, ceux qui tentent de survivre dans la clandestinité, et pourquoi pas rapatrier les corps en décomposition dans les morgues. « Des hommes d’affaires algériens, des associations et autres bienfaiteurs sont prêts à nous aider, disent-ils, mais il est difficile d’avoir toutes les autorisations pour pouvoir le faire. » Il est tout de même honteux que ce soit les associations humanitaires belges et suisses qui viennent au secours des jeunes Algériens en détresse.

La LADDH CHLEF qu’il y a beaucoup de harraga qui veulent bien revenir mais avec les dernières lois promulguées en Algérie et qui sanctionnent sévèrement l’immigration clandestine, ils préfèrent rester là où ils sont.


La LADDH CHLE Demande aussi l’Union européenne que (Les pays riches en sont responsables et en subissent les conséquences)

L’immigration clandestine est un phénomène qui constitue, néanmoins, un blocage pour le développement des pays pauvres tel que l’Algérie, car motivé par le sous emploi des jeunes de ces pays .La résolution de ce problème est tributaire de la création des postes de travail par le biais des investissements les grandes puissances de l’économie mondiale ont donc à leur charge l’investissement dans l’industrie lourde dans l’Algérie en générale et en particulier wilaya de CHLEF qui fournissent cette immigration, afin de stabiliser les citoyens et en l’occurrence éviter l’envahissement de l’occidents par ces sans emploi.

La LADDH CHLEF pose des questions

Quelle est la solution donc qui peut être empruntée pour amortir ce danger ?

Comment s’ y prendre ?

C’est très simple, si les occidentaux veulent la paix pour leur pays et du bien pour ceux du Sud, il est important de penser à leur créer de l’emploi chez eux, en investissant dans l’industrie, le textile, l’agriculture, la pêche, l’élevage......dans le tourisme...
A titre d’exemple, l’industrie des loisirs est l’un des secteurs au monde qui peuvent absorber un nombre important de main d’œuvre. Et l’Algérie est un pays qui regorgent de potentialités et d’atouts naturels de valeurs et de ressources naturelles et humaines qui s’apprêtent au développement du tourisme, surtout d’évasion et d’aventure. Les autorités des pays riches de la région (du bassin méditerranéen) doivent penser à ce genre d’économies et d’essayer de développer des infrastructures de base à même d’accompagner l’épanouissement socio-économique local, en créant des activités de niche, et de proximité.

Ce procédé sera bénéfique pour toutes les parties : pour les uns cela crée de l’emploi et stabilise les citoyens pour les autres favorise la production à des coûts moins chers, avec des matériaux moins chers. Ceci va aussi favoriser l’instauration de la paix dans le monde et assurer la sécurité sociale dans toutes les régions du globe...

Sans l’adoption de cette stratégie, l’immigration clandestine ne sera jamais stoppée dans le monde entier, car il est normal et légitime qu’un affamé de l’Afrique centrale ou de l’Afrique noir s’enrage et cherche à aller là où un morceau de pain lui est offert, et son unique rêve est d’aller vers l’occident, et le littoral de Tenes du région Chlef les pots cassés, car situé à la croisée des deux continents.

La LADDH CHLEF dénonce l’attitude des autorités algériennes ayant procédé «au durcissement des mesures d’entrée sur le territoire national pour les citoyens syriens. Apres qu’un groupe de réfugiés syriens, arrivés à Alger le 07/12/2013 à bord d’un vol en provenance du Liban, a été empêché de pénétrer sur le sol algérien ce groupe , constitué de 197 personnes dont des femmes et des enfants, ce groupe devait être refoulé au courant de la journée de ce samedi. Le gouvernement Algérien évoque de nouvelles conditions imposées aux réfugiés syriens : disposer de 4 000 euros et d’une résidence ou d’un certificat d’hébergement.


La LADDH CHLEF déplore le traitement humiliant que subissent à l’aéroport Houari Boumediène les descendants de ceux qui avaient accueilli autrefois à bras ouverts l’Emir Abdelkader. L’aéroport Houari Boumediène, qui est l’unique interface entre la Syrie et le Maghreb, offerte aux Syriens désirant voyager sans besoin de visa, a commencé à durcir le passage aux Arabes de Syrie
considère que cette mesure est discriminatoire car elle est appliquée uniquement à l’égard des Syriens.

cette mesure est une violation du fondement même de la Convention de Genève de 1951 car «refouler une personne vers un pays totalitaire et de surcroît en état de guerre et réduire le nombre de vols Alger-Damas est injustifié. Le montant de la somme exigée à partir de juillet dernier de 4000 dollars par personne a pour unique dessein de freiner l’arrivée de Syriens fuyant la guerre, spécialement envers les parents accompagnés, pour éviter le problème de la scolarisation de leurs enfants», considère

La LADDH CHLEF considère que le gouvernement algérien veut se dérober à ses obligations internationales en matière de protection et d’aide humanitaire, à l’égard des personnes fuyant une zone de conflit située à 6000 km de ses frontières, notamment envers les femmes et les enfants

La LADDH CHLEF appelle les autorités algériennes à faciliter les conditions d’entrée et d’accueil aux Syriens et exige des pouvoirs publics «de ne plus procéder aux expulsions de Syriens se trouvant sur le territoire national, même ceux se trouvant au niveau de la frontière aéroportuaire, jusqu’au retour de la paix en Syrie».

La LADDH CHLEF tente donc une nouvelle fois de tirer la sonnette d'alarme et réclame une « stratégie claire » à l'Union européenne ainsi au gouvernement algérien , ainsi en demande aux pays de l'Union européenne que les populations en mouvement ne doivent plus être victimes d'atteintes aux droits humains en raison de leur statut migratoire. Ceux qui sont exploités ou dont les droits sont bafoués doivent pouvoir en appeler à la justice.




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