"Il représente un intérêt certain pour l'Etat algérien"

Il existe "un potentiel de croissance remarquable en Algérie concernant le gaz de schiste. Par conséquent, il va falloir l'exploiter, car il représente un intérêt certain pour l'Etat algérien", a notamment affirmé, hier le Présidentdirecteur général de Sonatrach, Saïd Sahnoun, au cours d'une conférence de presse organisée au siège de la compagnie nationale des hydrocarbures.Il existe "un potentiel de croissance remarquable en Algérie concernant le gaz de schiste. Par conséquent, il va falloir l'exploiter, car il représente un intérêt certain pour l'Etat algérien", a notamment affirmé, hier le Présidentdirecteur général de Sonatrach, Saïd Sahnoun, au cours d'une conférence de presse organisée au siège de la compagnie nationale des hydrocarbures.Saïd Sahnoun estime qu'il est "essentiel de continuer à évaluer et explorer les capacités et les réserves de cette ressource énergétique". Concernant la position de Sonatrach au sujet de la protestation des populations de In Salah contre le gaz de schiste.Le conférencier a souligné que "la réaction tardive aux revendications des citoyens de cette région devait être accompagnée d'une communication appropriée de notre part, car elle aurait été plus juste à l'égard des citoyens ; mais, cela est en train de se faire en ce moment" a-t-il affirmé. Saïd Sahnoun a dit que "les réserves de gaz de schiste en Algérie s'élèvent à 40.000 milliards de mètres cube, alors qu'il es encourageant de continuer les études de forage, car les résultats sont satisfaisant sur le plan économique".Ce qui distingue le gaz conventionnel du gaz non conventionnel, c'est bien la différence dans la nature de la roche tandis que le gaz lui-même est le même en tant que liquide. Il a par ailleurs déclaré que "la réalisation des forages en tant que volume global d'activité a atteint 1.756 puits forés entre 2000 et 2014 dont 1.127 puits pour le développement et 629 puits pour l'exploration".Saïd Sahnoun a affirrmé que "Sonatrach coopère et travaille dans la logique d'exploration et de développemnt du gaz de shiste depuis 2009. Elle participe à l'exploration dans des pays d'Afrique de l'Est où des gisements importants existent, soit plus de 5.000 milliards mètres cube, notamment au Mozambique, avec des blocs également en Tanzanie et au Kenya, tandis qu'en Egypte une équipe de Sonatrcah est en train de forer des puits de gaz de schiste".Saïd Sahnoun estime qu'il est "essentiel de continuer à évaluer et explorer les capacités et les réserves de cette ressource énergétique". Concernant la position de Sonatrach au sujet de la protestation des populations de In Salah contre le gaz de schiste.Le conférencier a souligné que "la réaction tardive aux revendications des citoyens de cette région devait être accompagnée d'une communication appropriée de notre part, car elle aurait été plus juste à l'égard des citoyens ; mais, cela est en train de se faire en ce moment" a-t-il affirmé. Saïd Sahnoun a dit que "les réserves de gaz de schiste en Algérie s'élèvent à 40.000 milliards de mètres cube, alors qu'il es encourageant de continuer les études de forage, car les résultats sont satisfaisant sur le plan économique".Ce qui distingue le gaz conventionnel du gaz non conventionnel, c'est bien la différence dans la nature de la roche tandis que le gaz lui-même est le même en tant que liquide. Il a par ailleurs déclaré que "la réalisation des forages en tant que volume global d'activité a atteint 1.756 puits forés entre 2000 et 2014 dont 1.127 puits pour le développement et 629 puits pour l'exploration".Saïd Sahnoun a affirrmé que "Sonatrach coopère et travaille dans la logique d'exploration et de développemnt du gaz de shiste depuis 2009. Elle participe à l'exploration dans des pays d'Afrique de l'Est où des gisements importants existent, soit plus de 5.000 milliards mètres cube, notamment au Mozambique, avec des blocs également en Tanzanie et au Kenya, tandis qu'en Egypte une équipe de Sonatrcah est en train de forer des puits de gaz de schiste".