Le Salon de la communication a ouvert officiellement ses portes aujourd'hui à 14 heures au Palais des expositions de la SAFEX à Alger, pavillon G. Cet événement centré sur les arts et les métiers de la presse, avec comme slogan « Cap sur le professionnalisme », a été inauguré par le ministre de la Communication, Hamid Grine.Le Salon de la communication a ouvert officiellement ses portes aujourd'hui à 14 heures au Palais des expositions de la SAFEX à Alger, pavillon G. Cet événement centré sur les arts et les métiers de la presse, avec comme slogan « Cap sur le professionnalisme », a été inauguré par le ministre de la Communication, Hamid Grine.Prévu pour durer une semaine (du 13 au 18 mai), le Salon de la communication est l'occasion pour les médias d'aller à la rencontre de leur public, et pour ce dernier de découvrir le fonctionnement interne de leurs médias préférés et pourquoi pas de rencontrer, à l'occasion, leurs journalistes et animateurs favoris.Le Salon de la communication est un rendezvous à ne pas manquer pour les médias. C'est le rendez-vous des médias, mais aussi des institutions et organismes publics ou privés. Il sera question des différents métiers de la presse tous supports confondus.L'on parlera notamment de l'adaptation des médias aux Tic. Le public pourra découvrir les médias de l'intérieur, s'informer sur le fonctionnement des entreprises de presse et de communication, mais aussi discuter avec les hommes et les femmes qui font les médias. Au programme de ce Salon figurent aussi des conférences et des ateliers qui seront animés par des journalistes, académiciens et autres professionnels des métiers de la presse, sur des sujets thématiques liés au monde des médias."Les critères sont aux normes internationales"Intervenant hier au Salon de la Communication placé sous le slogan ''Cap sur le professionnalisme''au Palais des expositions de la Safex, le ministre de la communication, Hamid Grine, a réaffirmé que les critères sur lesquels est basée la nature du professionnalisme de la presse algérienne sont universels et internationaux.Il s'agit, a t-il dit, « de donner l'information d'une manière juste et objective tout en se fondant sur une gestion rationnelle ; autrement dit, le journaliste ne doit pas mentir. Les journalistes sont astreints de donner l'information qu'ils ont et la transmettre, donc, fidèlement ». Il estime que le rédacteur en chef doit valider ce que dit le journaliste A propos de la loi sur la publicité et l'ANEP, Grine a souligné que "l'objectif essentiel consiste à donner une plus grande visibilité à certains journaux et faire en sorte d'instaurer le dialogue entre les professionnels des médias et la société En d'autres termes, démystifier la relation existante et développant les énergies tout en aidant la profession ».Abordant la question de la prise en charge des journalistes, le ministre a déclaré que l'important, c'est de satisfaire les revendications, à savoir bien manger, bien dormir et bien se loger. Il faut également travailler de façon professionnelle et sérieuse. Pour Grine, le journaliste n'est pas un fonctionnaire. Celui qui reste à la rédaction équivaut à rester au chômage, mais le terrain est le lieu du professionnalisme. « Les journalistes ont droit à une couverture sociale. Nous avons sollicité les services du ministère du Travail et de la Sécurité sociale pour dépêcher des inspecteurs de travail au niveau des journaux pour vérification » a-til affirmé.Parlant de la lancinante question de la formation des journalistes, le ministre a précisé qu'il est impérieux de mettre en place un système continu de formation des journalistes par minute, sachant que, théoriquement, la loi stipule que « pas moins de 3 % de la masse salariale doivent être transférés et alloués à la formation. Cependant, jusqu'à présent aucun journal n'applique cette instruction et ne va dans cette mouvance ». Il a indiqué que le nombre de journaux quotidiens en Algérie s'élève à 150 alors que les magazines et périodiques se chiffrent à 400. Concernant les cartes professionnelles, 2600 cartes ont été établies et délivrées jusqu'à présent.Prévu pour durer une semaine (du 13 au 18 mai), le Salon de la communication est l'occasion pour les médias d'aller à la rencontre de leur public, et pour ce dernier de découvrir le fonctionnement interne de leurs médias préférés et pourquoi pas de rencontrer, à l'occasion, leurs journalistes et animateurs favoris.Le Salon de la communication est un rendezvous à ne pas manquer pour les médias. C'est le rendez-vous des médias, mais aussi des institutions et organismes publics ou privés. Il sera question des différents métiers de la presse tous supports confondus.L'on parlera notamment de l'adaptation des médias aux Tic. Le public pourra découvrir les médias de l'intérieur, s'informer sur le fonctionnement des entreprises de presse et de communication, mais aussi discuter avec les hommes et les femmes qui font les médias. Au programme de ce Salon figurent aussi des conférences et des ateliers qui seront animés par des journalistes, académiciens et autres professionnels des métiers de la presse, sur des sujets thématiques liés au monde des médias."Les critères sont aux normes internationales"Intervenant hier au Salon de la Communication placé sous le slogan ''Cap sur le professionnalisme''au Palais des expositions de la Safex, le ministre de la communication, Hamid Grine, a réaffirmé que les critères sur lesquels est basée la nature du professionnalisme de la presse algérienne sont universels et internationaux.Il s'agit, a t-il dit, « de donner l'information d'une manière juste et objective tout en se fondant sur une gestion rationnelle ; autrement dit, le journaliste ne doit pas mentir. Les journalistes sont astreints de donner l'information qu'ils ont et la transmettre, donc, fidèlement ». Il estime que le rédacteur en chef doit valider ce que dit le journaliste A propos de la loi sur la publicité et l'ANEP, Grine a souligné que "l'objectif essentiel consiste à donner une plus grande visibilité à certains journaux et faire en sorte d'instaurer le dialogue entre les professionnels des médias et la société En d'autres termes, démystifier la relation existante et développant les énergies tout en aidant la profession ».Abordant la question de la prise en charge des journalistes, le ministre a déclaré que l'important, c'est de satisfaire les revendications, à savoir bien manger, bien dormir et bien se loger. Il faut également travailler de façon professionnelle et sérieuse. Pour Grine, le journaliste n'est pas un fonctionnaire. Celui qui reste à la rédaction équivaut à rester au chômage, mais le terrain est le lieu du professionnalisme. « Les journalistes ont droit à une couverture sociale. Nous avons sollicité les services du ministère du Travail et de la Sécurité sociale pour dépêcher des inspecteurs de travail au niveau des journaux pour vérification » a-til affirmé.Parlant de la lancinante question de la formation des journalistes, le ministre a précisé qu'il est impérieux de mettre en place un système continu de formation des journalistes par minute, sachant que, théoriquement, la loi stipule que « pas moins de 3 % de la masse salariale doivent être transférés et alloués à la formation. Cependant, jusqu'à présent aucun journal n'applique cette instruction et ne va dans cette mouvance ». Il a indiqué que le nombre de journaux quotidiens en Algérie s'élève à 150 alors que les magazines et périodiques se chiffrent à 400. Concernant les cartes professionnelles, 2600 cartes ont été établies et délivrées jusqu'à présent.
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Posté Le : 14/05/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : AMAR AOUIMER
Source : www.lemidi-dz.com