Algérie

Il ont dit



Tayeb Ezzraimi, Pdg du groupe Sim 'Il reste beaucoup à faire'
'Nous avons apprécié le management et le volet sanitaire développé par les intervenants à ce symposium de niveau international, avec la participation d'éminents chercheurs. En tant qu'opérateur, je demeure très sensible à ces analyses pertinentes, contributions et solutions proposées qui concernent notre stratégie alimentaire en vue de relever les défis qui nous attendent dans un domaine sensible et vulnérable. En dépit des progrès réalisés dans ce domaine par les différents opérateurs qui ont fait, en Algérie, des réalisations remarquables, il nous reste effectivement beaucoup à faire dans l'amélioration et l'adaptation des systèmes de gestion et le management pour l'adapter au contexte international et pouvoir défendre notre place et notre survie. Pour notre part, nous consacrons un grand intérêt à l'aspect sanitaire agricole pour consommer propre et à bon prix. La bataille du futur se compte ici et maintenant.
Farhi Mohamed (école supérieure du commerce) 'Retards dans la modernisation du management'
Les travaux de ce symposium marquent des progrès constants en investissant un créneau important qui est celui d'accompagner les grandes transformations économiques et sociales chez nous.
Toutes les analyses faites concourent à dire qu'il y des retards dans l'introduction des méthodes modernes de gestion et de management.
Toutefois, il n'y a rien de fatal pour combler le vide et proposer des solutions en vue de permettre à notre jeune économie de s'y adapter et de se moderniser en créant notre propre visibilité et notre propre conduite adaptées à l'environnement en rapide évolution.
Hakim Hammoudi (Expert à l'INRA de Paris) : 'Le pouvoir décisionnel doit être à l'écoute des opérateurs'
En Algérie, j'ai le sentiment que les choses commencent à bouger en prenant conscience de la nécessité de se pencher sérieusement sur la maîtrise des systèmes de gouvernance et de management.
Ne pas en tenir compte, c'est continuer à naviguer à vue avec tous les risques de dérapage et de périls à encourir. Mais en s'attelant à s'initier à ce volet et à prendre les devants, les risques seront moindres pour l'économie, sa croissance et sa prospérité. à mon avis, les chercheurs ont donné l'exemple. Au pouvoir décisionnel de s'ouvrir davantage en étant à l'écoute des opérateurs, des intervenants à tous les niveaux, notamment ceux qui sont concernés directement. Il y va de notre survie.




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