OH ! LES BEAUX ET LES MAUVAIS SOUVENIRS -
la légende de la vieille Aldjia -
******** et si le taureau fait bouger l'une de ses cornes ************.
Je me souviens très bien de ce qui s'est passé il y a de cela plus de 43ans .
Nous habitions alors dans un petit village qui s'appelait " CHERIA " et qui fait partie de la wilaya (département ) de Tébessa ( annaba ) à l'époque C'était un très beau village avec quelques maisonnettes par ci et par là . A cette époque là existaient encore des écuries alors nous avons quelques-unes ,une dizaine de cafés et quelques gargotiers ,une chose est sûre ; c'est que notre région est connues par " la belle et la bonne viande " .le jour du marché journée exceptionnelle -que nous appelions le jour du " SOUK" tout le monde venait pour en déguster .
Nous avons ainsi un seul et unique bain dans tout le village , il sert comme dortoir pour les gens qui viennent passer la nuit le jour du souk . Ceux qui viennent de la compagne notamment !pour qu'ils puissent faire leur commission le lendemain -.
En ce qui concerne le coté administratif ; nous n'avons pas grand chose : une SAS du colonialisme devenue une " mairie " , une poste , un petit bureau pour les contributions diverses car nous avons peu de commerçants , un centre de soins , une caserne pour la gendarmerie délaissée toujours par la colonisation , une petite mosquée pour les prières quotidiennes , une autre assez grande pour la prière de la djémâa et enfin deux petites "ECOLES " la première étant construite par la population elle-même étant donné que la deuxième est construite par le colonialisme " dont je suis instituteur à présent " j'étais l'un de ses élèves !
L' E C O L E : le fameux lieu jadis !
C'était encore l'époque de la colonisation et nous étions chez des instituteurs Français . Je me souviens bien de mon premier instituteur il s'appelait :
- Monsieur : Trétou oh ! ce bel instituteur ; quand on répond correctement il nous offre des bonbons et des images ?
Après l'indépendance nous continuions toujours nos études dans le même établissement . Avant , elle s'appelait : l'école primaire de chéria , après , elle s'appelait l'école mixte .
Nous avons quelques fillettes qui faisaient des études primaires : quel bonheur ! C'était l'époque des années " 6270 "
Alors que maintenant ça grouille par tout !!!! je pense bien que le nombre des filles dépasse celui des garçons . A cette époque là nous n'avons même pas une institutrice , ni une infirmière , ni une docteure .
Quand les femmes accouchaient ,c'était les vieilles dames du village qui s'en chargent et ça réussi bien , hein ! c'étaient la vieille Mahria , Fatma loughribia etc....les seules sages-femmes que nous avons au village !
les gens s'habillent à la tradition : ils portaient des chêches blancs sur la tête : sorte de turban , des burnous , des djélabas , pour ceux qui travaillent , ils portaient des manteaux usés ou des caches-poussières .Quand on voit quelqu'un un peu bien habillé c'est qu'il venait de la ville -la grande ville ou c'est un étranger? peu de voitures et quelques camions ; les voitures c'est pour le transport vers les grandes villes , les camions c'est pour le transport vers les compagnes , d'autres pour transporter du gravier et du sable c'est le commencement de la construction de ces maisonnettes de rien du tout !Nous avons une salle de cinéma là où les garçons du village se bousculent pour pour l'obtention d'un billet ; on volaient des sous à nos papas pour aller voir un film : c'étaient des films égyptiens , Américains , Français et hindous toujours du noir et blancs .nous les jeunes garçons on imitait les acteurs surtout les westerns .On reconnait quelques acteurs : jhon wayen , gary cooper . Les français on connait : Bourvil , Fernandel ,
Hardy et laurel sans oublier le fameux " CHARLOT " Charlie chaplin.
Comme je l'ai bien dit auparavant notre jour préféré c'était le jour du marché et c'est un samedi et il l'est toujours ..Le soir du samedi toutes les marmites et les casseroles bouillonnent , les mamans se dépêchent pour préparer le dîner du jour préféré ; c'est presque du couscous chez tout le monde excepté les familles aisées qui préparaient d'autres plats .Pour moi on était pauvre mais gai pourquoi ? parce que on n'est pas nombreux : le papa , la maman ,moi et ma soeur !L e samedi c'est le jour où tout le monde mangeait de la viande . Les commerçants qui venaient des autres villes vendre leurs marchandises aimaient manger du méchoui et puis ils rapportaient avec eux de la viande fraîche et bonne , nous les habitants du villages on attendait la fin de la journée pour en acheter , à cette heure-ci les prix chutent presque à moitié car les acheteurs rentraient chez eux et conserver la viande dans un lieu sûr tels : un frigo ou un frigidaire manquaient et à vrai dire on ne les connait pas ! Alors les bouchers se dépêchaient à s'en débarrasser , les pères de familles marchandent avec eux à même bas prix .
Le lendemain à l'école les garçons commençaient à se vanter : moi j'ai mangé cela , moi j'ai mangé ceci , ceux qui habitent au DOUAR - la campagne - nous regardaient sans mot à dire car eux ils n'ont pas mangé de la viande des fois ils nous hurlaient : cessez de mentir et on commençaient à jurer par le nom du prophète que c'est vrai !!!!!!
En classe , c'étaient des maîtres venus des autres villes , ils commençaient d'emblée par le contrôle de la propreté : mains sales dehors , visage mal lavé dehors cheveux mal peignés dehors : au préaux nous disaient les maîtres ,lavez-vous et revenez vite .en revenant en classe c'est la punition : c'est les coups de bâton sur les bouts des doigts : j'en étais puni une fois : on jouait devant l'école avec de petites pierres "croudes" et on a oublié de laver les mains . Je me souviens très bien de notre premier livre : c'était en 1961-62 , il est intitulé sur sa page de garde : BONJOUR ALI , BONJOUR FATIMA. Parmi ses petits textes de lecture ; le maître nous a inculqué une phrase dont je me souviens très bien : Ali va à l'école tête nue !
c'était pour éduquer les jeunes élèves à ne plus porter des chéchias sorte de calotte - rouge sur la tête ou de petits turbans usés et malpropres. Avant les jeunes garçons venus d'entrer nouvellement à l'école et surtout ceux qui viennent du douar portaient ce genre de choses .
A la sortie de l'école, le soir , on se dépêchait de rentrer chez nous : à la maison et juste au coin de la cheminée se trouvait toujours une cafetière : on se sert d'un bon café et d'un bon morceau de galette-maison cuite dans un four appelait autrement un " tadjine ".Quand les pères de famille construisent leurs maisons la première chose dont ils pensaient c'est la cheminée ; le seul coin idéal pendant la saison froide .Les papas commencent à entasser du bois à partir du mois d'octobre .A l'école c'étaient des fourneaux à coke , je me souviens bien de cette belle lueur rougeâtre qui se laisse apparaitre dés son ouverture .En ce qui concerne l'éclairage , nous avons des bougies , des lampes à pétrole, des quinquets et surtout ses lampes à miroir pour refléter davantage la lumière. Elle est déposée d'une autre façon sur le dessus de la cheminée pour en dégager une si belle image ! l'électricité ne peut être que dans les administrations , les écoles et quelques maisons qui se trouvaient au centre-ville . pour l'approvisionnement en " eau " il faut aller la chercher des fontaines publiques .nous les garçons on aimait aller la chercher pour une seule raison c'est que nous allons rencontré des filles ; pas trop de discussion avec elles car leurs pères ou leurs frères les accompagnaient .On se changeait quelques regards , ou elles nous lançaient un si beau sourire dont on pensait toute la nuit . Des fois on est pourchassé par leurs pères en engueulant des injures : allez rentrez chez vous ! vous n'avez pas honte à regarder aux filles il faut qu'on se retire et vite sinon la chose sera transmise à nos pères et c'est toujours la punition qui nous attend .
A mi- novembre , on commençait à allumer le feu dans les cheminées ; le matin au réveil et le soir la nuit surtout - On s'asseyait devant la cheminée ; nous les écoliers on apprenait nos leçons , les mamans préparaient le dîner alors que les papas bricolaient des choses.Quand c'est le jour de la dictée , nous les voisins, on se réunit la nuit pour réviser les différentes leçons d'orthographe , de conjugaison et de grammaire car dépasser "5" fautes en orthographe d'usage c'est la pire punition : dix coups de bâton sur les bouts des doigts plus cent fois de copies de la leçon mal apprise et nos parents ne s' interviennent jamais auprès de nos instituteurs pour ce genre de chose bien au contraire quand ils apprennent c'est encore eux qui nous blâmaient à leur tour il vaut mieux qu'ils ne sachent rien ..Il faut simplement leur montrer les cotés qualitatifs pour qu'on puissent entendre ces éloges :" c'est bien mon fils continue "on commençait à frotter les mains en attendant notre récompense : quelques sous pour aller voir un film - voir un film au cinéma c'était notre seul souci - d'après ce que j'ai constaté ; c'est ce style d'éducation qui a donné ces grands hommes , ces grands écrivains tels : Mouloud féraoun , Mouloud maamri , et Mohammed dib .Je me souviens , quand c'est le jour de la dictée , mon voisin venait chez nous accompagné de sa mère , on se faisait nous même des dictées à partir de nos livres de lecture et puis on corrigeait nous même nos fautes et ce genre de travail nous a bien aidé à en avoir beaucoup d'idées ! et on est arrivé à un niveau même s'il est minime il en vaut au moins quelque chose .On n'est pas arrivé à un niveau universitaire comme de nos jours : nos étudiants universitaires ne savent même pas rédiger un paragraphe bien correct !à cette époque là nous avons des instituteurs avec un niveau bas mais quand même ils nous ont inculquer quelque chose de sûre et de juste , quand c'est le contrôle des maths : les tables de multiplication il faut que nous les apprenions lorsque le maître vous interroge ; la réponse devrait être rapide et correcte sinon c'est le coup de la règle que vous recevez sur la tête , il ne faut pas qu'il y ait un instant pour réfléchir ; quand il vous dit " 5x5 " vous répondez sur le coup : "25" ! la récitation ; qui de nous ne connait cette belle chanson : " j'aime l'âne si doux " !
comme je l'ai dit auparavant , nous avons des écuries dans la ville ,la nuit du souk : nous les garçons allions là pour voir cette multitude variété d'animaux et on commençait à demander au plus âgés c'est quoi ça ? c'est un chameau alors cet animal il nous fait peur vraiment avec une ci grosse gueule pleine de grosses dents et surtout quand il l'ouvrait si largement en poussant des cris effrayants et en laissant une langue pendante on ne peut pas l'approcher et celui-ci ? c'est un mulet alors l'âne est connu part tout le monde et on commençait à monter dessus , à lui tirer la queue, à contempler ses longues oreilles ils est vraiment doux cet animal !! on voyait aussi des vaches des taureaux qui mugissaient , de belles brebis accompagnées par de très beaux agneaux nés récemment ,leur fourrure gardait encore sa propreté et sa netteté , des béliers avec des cornes bien tournées ,des chevreaux , des chèvres et des boucs. Toutes ces choses manquaient maintenant , on ne les voyait plus c'est presque rare de voir un chameau par exemple et tous ces enfants qu'on étaient avant sont devenus des cadres maintenant .
Il y en avait même des ministres , des chefs de partis , des colonels , des juges , des directeurs généraux , des fellahs-agriculteurs - des fous des commerçants , des décédés etc.......! plus de cheminées dans les maisons , plus de bougies que pour les mariages et les fêtes religieuses surtout , plus de quinquets , plus de lampe à pétrole nos propres enfants à un certain âges ne connaissent pas presque ce genre de choses ; qu'est ce qu'un quinquet ? il ne le connait pas : il faut lui expliquer et lui montrer le dessin de la chose , plus d'écuries , les ânes on les voit à la compagne jamais en ville plus de fontaines publiques ; les filles ; ce sont elles qui vous cherchent maintenant avec ses nouvelles créations technologiques " le portable et l'internet etc....
l'idée fondamentale du récit -
Je me souviens très bien d'une histoire que nous avons entendue il y a de cela à peu près 43 ans , j'avais alors 10 ans presque et je suis en troisième années primaire et on faisait des échanges de visites entre les voisins . Cette nuit là , venaient nous rendre visite la vieille " Hadja aldjia " accompagnée de sa petite-fille .Cette vieille , quand elle nous rendait visite elle ramenait toujours avec elle une assiette pleine de couscous préparé avec du beurre , elle disait à me mère c'est pour lui .J'aimais bien le couscous de cette belle vieille dame , elle est toujours propre et son couscous est bon à manger car il avait une de ces texture spéciale .C'était une nuit du mois de décembre là il faisait vraiment très froid ! sans oublier ces longues nuits et cette lenteur du temps .Après avoir mangé un peu de ce couscous bien préparé , maman servait du café , mon père dormait déjà car il faut qu'il se réveille à l'aube pour le travail .On s'est réunis au tour de la cheminée , chacun prenait sa place face à l'âtre là où il y avait deux grosses bûches " avant de dormir mon père criait à ma mère ne mettez pas beaucoup de bois , il manquait ces jours-ci au marché et il est cher pendant cette période ! oui ! lui disait ma mère tu peux dormir et elle mettait une bûche de coté en cas !Dehors il faisait très froid , très calme on entendait que le sifflement d'un vent glacial . La porte de notre chambre est bien close , on se tenait au chaud et on n'entendait que ces petites explosions du bois brulé et cette belle odeur du pin qui nous parvienne de la cheminée à cet instant on se sentait bien réjoui : mon père dormait déjà , ma mère et son amie sirotaient leur café des fois on buvait avec elles , la porte bien fermée , la chaleur règne on est vraiment bien .Alors emportés par cette réjouissance on demandait à la vieille Aldjia de nous raconter une de ses belles histoires !! "Comme nous n'avons pas de moyens de divertissement ce sont donc les histoires légendaires de la vieille Aldjia qui font l'affaire .La famille la plus aisée possédait un poste-radio pour se divertir la nuit , à cette époque là on ne connait pas la télévision .Ce n'est qu'en 1970, l'un des familles aisée qui s'appelait " Kamel "un type un peu civilisé qui ramena un poste-téléviseur et quand on a pris la nouvelle tout le monde accourt pour voir de quoi il s'agit ? on nous disait que " Kamel " a un petit cinéma chez lui !!!!!"
La vieille Aldjia se remuait un peu , se retirait en arrière elle se met à l'aise , ma mère nous demanda de parler à mi-voix pour ne pas réveiller mon père .La vieille Aldjia commença alors à narrer :
- Ecoutez mes enfants , avant , jadis nos aïeuls nous racontaient
que la terre sur laquelle nous vivions - sans qu'elle sache que c'est une planète , ronde , ovale ou carrée - cette terre mes enfants est soutenue sur les cornes d'un si grand taureau , si une fois on ne donnait pas manger à ce taureau à sa faim il fait bouger une de ses cornes et c'est la catastrophe ! la terre s'en va j'en sais où et c'est la mort pour nous tous , et on commençait à demander des explications à la vieille dame sans qu'elle nous rassure de quelque chose !!Quand je me suis mis à ma place pour dormir j'ai commencé à penser et si vraiment le taureau fait bouger sa corne , emporté par ces imaginations je me suis plongé dans un profond sommeil ..
Le lendemain , à l'école , avant d'entrer en classe , j'ai annoncé la nouvelle à mes camarades " c'est que la terre sur la laquelle nous vivions est soutenue par un taureau , s'il fait bouger l"une de ces cornes c' est la catastrophe !!! à cet âge-ci et à cette époque là on croyait à ce genre de choses .En classe et en plein cours l'un de mes camarades mettait ses doigts sur la tête et fait bougeait l'un de ses indexes , je lui répondais par des gestes de ne plus se moquer et si le taureau te voyait c'est la catastrophe pour nous tous !!
Les jours passent , les mois passent , les années passent et d'une ficelle à l'autre se tramait ainsi le parcours des beaux et des mauvais souvenirs .On est devenu adulte et père de famille et avec le temps je suis devenus chercheur -Auteur d'une théorie scientifique
originale qui traite de la sorte pas mal de choses nouvelles dans le monde des sciences contemporaines en l'occurrence les maths, la physique et la chimie .
Si la vieille Alfjia vivait encore car elle est décédée la pauvre il y a de cela à peu prés 40 ans je lui demanderais " Madame ! si la terre est soutenue par un taureau , le taureau lui est soutenu par quoi ? et par quoi est soutenu par quoi etc ......
Aujourd'hui on savait bien que la terre est autonome mais elle dépend et les autres étoiles sont toutes autonomes mais elles dépendent aussi ! elles dépendent de quoi ? simplement elles dépendent toutes de l' UNIVERS " alors la vieille avait raison ! ce taureau ne peut être que l' UNIVERS et à partir de cette autonomie , on pourra donc justifier que la terre est unique en son genre ! et pourquoi donc ? car son autonomie annonce son unicité ! ce qui fait alors que l'unicité est justifiée par autre chose ? oui bien sûr !et c'est quoi cette chose ? cette chose ne peut être qu'un "1 " puisque l''unicité fait un "1" donc la terre fait un "1" autonome . Puisque la terre fait un "1" autonome ! l'eau aussi fait un "1" autonome !
et les touts ne font que des "1" autonomes pour qu'ils fassent à la fin un seul "TOUT " formé de petits touts .La terre c'est un "tout" formée de petits touts : l'eau , le sable , la plante , les minerais etc...et partir de toute cette machination on peut déclarer alors que l'eau NE PEUT ÊTRE AILLEURS excepté la terre !!!!
merci au revoir .
BAALOUDJ Bouguerra
pour tout renseignement veuillez me rejoindre par e-mail :
baaloudjbouguerra@yahoo.fr
ou par tél : 003216638638
bonsoir au début je me suis dit ce type ou il est un peu dérangé ou il est vrai alors je vous écrit un petit mot et puis je suis allé voir plus loin et j'ai lu votre texte en entier c'est bizare, jamais je ne lis des commentaires aussi long...et quand tu parlé du toro qui tiens la terre avec ses cornes je me suis dit il est pas si fou que ça puisque moi aussi je connais cette histoire a+ bye bye
afilkoub - artisan - paris, France
21/12/2011 - 24066
Bonjour Monsieur Bougerra.
Votre écrit a suscité en moi beaucoup de nostalgie.C'est rudement bien relaté. Ainsi vous vous souvenez de Jean TRETOU, notre collègue breton d'origine!
Un de mes souvenirs, que je mettrai par écrit un de ces jours (vous savez qu'à la retraite on n'a plus le temps de faire tout ce que l'on projette) portera sur les ânes , mulets et chevaux de Chéria.
calistri emilio - retraité de l'Education - toulon
11/12/2009 - 4587
Mais, c'est à nous de vous dire merci pour toutes ces anecdotes qui ont habité Chéria, pour ces "voix"et ces "murmures" que vous évoquez avec une certaine nostalgie... Votre mémoire est assez fidèle et je puis vous assurer que j'ai lu votre commentaire avec beaucoup d'intérêt et peut-être que je vous reparlai à un autre moment. Peut-on espérer d'autres écrits, d'autres documents ?... Est-ce trop demander ?
Cordialement à vous tous.
Fontan - Aix en Provence
28/10/2009 - 4444
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Posté Le : 14/10/2009
Posté par : bouguerra
Ecrit par : BAALOUDJ Bouguerra
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