Il égorge son ami comme un mouton ! Une fin sanglante et meurtrière du Ramadhan à Mostaganem

C'est une scène macabre d'une rare violence qui s'est produite à la veille de l'Aïd El Fitr à Tijditt (quartier populaire de Mostaganem). Un monstre humain répondant aux initiales de G.D, âgé de 35 ans, a égorgé comme un mouton son ami, S.A, âgé de 28 ans qui tenait dans ses bras sa petite fille de 3 ans. Sans pitié, le monstre a fait glisser le couteau sur sa gorge. La victime a sursauté sur le coup avec le sang qui giclait partout et tomba par terre avec le bébé dans ses bras !
La criminalité sous toutes ses facettes semble atteindre son point culminant au mois de Ramadhan qui vient de se clôturer par un crime des plus odieux. Un meurtre a été commis à la veille de l'Aïd El Fitr, à la cité la plus populaire de la ville, par un coupable qui ne semblait nourrir aucune pitié pour la victime a qui il trancha la gorge, ni pour sa petite fille, âgée de 03 ans qu'elle portait sur les bras et qui sera traumatisée à vie par tant de sauvagerie ..! Les crimes odieux commis à la veille de l'Aïd El Fitr ne cesse d'alimenter l'actualité de la ville, cette douloureuse nouvelle n'a fini de se faire colporter de bouche à oreille et les motifs ayant poussés au meurtre demeurent encore inconnus malgré les versions qui se multiplient et se contredisent les unes après les autres. Le vieux quartier de la ville, Tidjdit a été le théâtre d'un crapuleux crime qui a fait frémir toute la population mostaganémoise, qui demeure encore sous le choc et reste outrée par ce meurtre commis d'une façon si atroce ! En effet, une discussion des plus salés à propos d'une conduite d'eau mitoyenne entre deux voisins résidant à la localité de Tidjdit, selon la version la plus répandue auprès de la population locale, a très vite tourné au drame. Le dénommé G.D, âgé de 35 ans, a poignardé violemment avec une arme blanche aux alentours de la mosquée, en portant à la gorge un coup fatal à l'un de ses voisins, répondant aux initiales de S.A, âgé de 28 ans. Selon la version de quelques témoins, la violence du crime a été d'une sauvagerie sans égale, le coupable semblait ne nourrir aucun remords à commettre son crime crapuleux et surtout ne paraissait avoir aucune pitié pour la petite enfant ,âgée d'à peine 03 ans, que la victime portée sur ses bras et qui a tenu a protégé de toutes ses forces contre le mal qui venait de le terrasser et le contraindre à tomber par terre, raide et sans vie. Ce drame ne semble être ni le premier, ni le dernier à survenir au sein de la ville où l'insécurité a atteint son summum durant le mois de Ramadhan et où le risque de se faire délester de ses biens ou de perdre la vie, est devenu un danger permanent guettant les pauvres citoyens, livrés corps et âme aux malfaiteurs et aux criminels de tous bords.