"L’Algérie dérobée du photographe Bruno Boudjelal"
En 1993, Bruno Boudjelal part pour la première fois en Algérie, en pleine « décennie noire ». Le pays de son père fera de lui un photographe reconnu. Aujourd’hui membre de l’agence Vu’, il raconte à travers ses clichés flous et décadrés la difficulté de photographier un pays qui lui échappe.
Né en banlieue parisienne d’une mère française et d’un père algérien, Bruno Boudjelal part en Algérie, son pays inconnu, pour la première fois en 1993. C’est contre l’avis de son père qui a coupé tout lien avec l’Algérie qu’il s’en va, un appareil photo autour du cou dont il pense ne rien faire. L’Algérie le révèlera à lui-même et au monde comme photographe. Aujourd’hui membre de l’agence Vu’, son dernier ouvrage : Algérie, clos comme on ferme un livre ? — titre inspiré des paroles de l’hymne national algérien — a notamment été récompensé par le prix Nadar gens d’images. Mais ces flous, ces décadrages et cette impression de distance que l’on découvre dès ses premiers clichés racontent d’abord ....
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Posté par : aprincess