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Hors champs inaugure TNA Gallery



Hors champs inaugure TNA Gallery
L'exposition collective "Hors champs" regroupant des tableaux et des photographies de huit artistes algériens confirmés a inauguré, samedi dernier à Alger, la "TNA Gallery", un nouvel espace dédié aux beaux-arts situé dans les locaux du théâtre national Mahieddine-Bachtarzi.L'exposition collective "Hors champs" regroupant des tableaux et des photographies de huit artistes algériens confirmés a inauguré, samedi dernier à Alger, la "TNA Gallery", un nouvel espace dédié aux beaux-arts situé dans les locaux du théâtre national Mahieddine-Bachtarzi.Dans une salle modeste d'une centaine de mètres carrés, au dernier étage du bâtiment de l'ex-Opéra d'Alger, les plasticiens Rachid Djemai, Rachid Nacib, Mustapha Nedjai, Adlane Samet, Karim Sergoua, Hellal Zoubir et le photographe Nasser Medjkane exposent sous la direction de l'artiste Malek Salah, commissaire de l'exposition à l'origine de la création de cette nouvelle galerie.Inaugurée en présence de plasticiens et d'amateurs des Beaux-arts, cette exposition, prévue sur trois mois, permet d'apprécier une diversité de styles et d'expressions, à travers une vingtaine d'oeuvres (tableaux et photos) allant de l'abstrait au portrait, en passant par des compositions surréalistes ou inspirés par le patrimoine iconographique algérien.Les visiteurs pourront également apprécier les clichés en noir et blanc pris dans les années 80 par Nacer Medjkane (connu surtout comme un des plus talentueux directeur photo du cinéma algérien) ou encore la série chacun sa fenêtre de Zoubir Hellal qui mêle photographie, huile acrylique et autres matériaux comme le bois et le carton.Préparée durant un an, cette première exposition de la "TNA Gallery" se veut un premier pas vers la "création d'un collectif d'artistes", espère Malek Salah qui prévoit d'organiser trois autres expositions similaires durant l'année 2015. Elle est aussi, par son titre qui renvoie à la partie invisible du champ de la caméra dans le langage cinématographique, une manière d'affirmer l'existence des artistes participants, malgré le manque d'espaces d'expressions et de création, explique en substance le commissaire de l'exposition qui participe également avec trois tableaux.Le plasticien Karim Sergoua espère, de son côté, que cet espace permettra d' "attirer un autre public (moins averti) vers le théâtre", surtout que l'entrée de la galerie est située, relève-t-il, dans un quartier populaire (rue Bouzrina, centre d'Alger). Cette volonté de rapprocher, "sans complexes", le grand public des arts plastiques et du 4e art est d'ailleurs affichée par le directeur du TNA qui précise que l'espace sera ouvert autant aux artistes professionnels, aux étudiants des écoles d'arts qu'aux amateurs.Dans une salle modeste d'une centaine de mètres carrés, au dernier étage du bâtiment de l'ex-Opéra d'Alger, les plasticiens Rachid Djemai, Rachid Nacib, Mustapha Nedjai, Adlane Samet, Karim Sergoua, Hellal Zoubir et le photographe Nasser Medjkane exposent sous la direction de l'artiste Malek Salah, commissaire de l'exposition à l'origine de la création de cette nouvelle galerie.Inaugurée en présence de plasticiens et d'amateurs des Beaux-arts, cette exposition, prévue sur trois mois, permet d'apprécier une diversité de styles et d'expressions, à travers une vingtaine d'oeuvres (tableaux et photos) allant de l'abstrait au portrait, en passant par des compositions surréalistes ou inspirés par le patrimoine iconographique algérien.Les visiteurs pourront également apprécier les clichés en noir et blanc pris dans les années 80 par Nacer Medjkane (connu surtout comme un des plus talentueux directeur photo du cinéma algérien) ou encore la série chacun sa fenêtre de Zoubir Hellal qui mêle photographie, huile acrylique et autres matériaux comme le bois et le carton.Préparée durant un an, cette première exposition de la "TNA Gallery" se veut un premier pas vers la "création d'un collectif d'artistes", espère Malek Salah qui prévoit d'organiser trois autres expositions similaires durant l'année 2015. Elle est aussi, par son titre qui renvoie à la partie invisible du champ de la caméra dans le langage cinématographique, une manière d'affirmer l'existence des artistes participants, malgré le manque d'espaces d'expressions et de création, explique en substance le commissaire de l'exposition qui participe également avec trois tableaux.Le plasticien Karim Sergoua espère, de son côté, que cet espace permettra d' "attirer un autre public (moins averti) vers le théâtre", surtout que l'entrée de la galerie est située, relève-t-il, dans un quartier populaire (rue Bouzrina, centre d'Alger). Cette volonté de rapprocher, "sans complexes", le grand public des arts plastiques et du 4e art est d'ailleurs affichée par le directeur du TNA qui précise que l'espace sera ouvert autant aux artistes professionnels, aux étudiants des écoles d'arts qu'aux amateurs.




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