Hommage au journaliste Adjal Lahouari

Adjal Hadj Lahouari a été honoré avant-hier à l'hôtel «Mouahiddines» par les notables de la ville d'Oran. Ils étaient pratiquement tous là pour rendre hommage à Adjal Hadj Lahouari qui a décidé de mettre un terme à sa riche carrière de 56 ans d'activité en tant que journaliste sportif. On a remarqué la présence de plusieurs anciens internationaux à l'image des Tedj Bensaoula, Tasfaout Hamida et Abdelhafid, Abdelhafid Belabbès, Guemri Redouane, Amar et Salhi (ex-USMBA) et d'autres dirigeants ayant ?uvré pour le développement du football national à l'image de Hadj Belaid Lacarne, Hadj Berrahal (ex-GCM), Hadj Belkacem Bengaraâ (ex-ASMO), Belebna Bendoukha (DTR), d'anciens collègues tels que Haffaf Fayçal, Ahmed Bensafi, Adda le photographe et Mohamed Saïm, Hamza Berrouane (ex-USMBA et actuel président de l'IRMBA) ainsi que ses deux frères Hadj Mohamed et Hadj Djillali sans pour autant oublier le regretté Kadari, représenté par son fils Mohamed Adjal, l'organisateur principal de cet évènement. Adjal Hadj Lahouari a entamé sa carrière de journaliste au quotidien «La République» pendant douze avant d'intégrer Hadef où il a travaillé de 1978 à 1994 pour finir sa carrière au Quotidien d'Oran en tant que chef de rubrique sportive. Ses anciens collègues journalistes l'ont qualifié de «plume d'or». Certains ont relevé qu'avec ses écrits et ses analyses, il avait contribué à donner au développement du football algérien. Il a également participé, à travers ses réflexions, dans des tribunes d'information et des médias à éclairer l'opinion publique sur différents thèmes sportifs d'actualité nationale et internationale. En somme, un vibrant hommage a été rendu à notre ancien collègue Adjal Hadj Lahouari lors d'une journée mémorable et pleine d'émotions qui restera dans les annales de la presse sportive d'Oran. Hommage mérité pour un homme qui a consacré toute sa vie à sa passion. Connu par son dévouement à sa profession, Adjal a marqué de son empreinte la presse sportive nationale. C'est le moins que l'on puisse dire.