Hommage appuyé à l'Armée

Dans une allocution prononcée devant ses partisans et sympathisants Abdelaziz Belaïd a fait un grand clin d'oeil en direction de la jeunesse.Dans une allocution prononcée devant ses partisans et sympathisants Abdelaziz Belaïd a fait un grand clin d'oeil en direction de la jeunesse.
"Les enfants de ce pays, qui subissent d'énormes pressions, préfèrent l'immigration clandestine la - harga - en traversant la mer pour échapper à cette situation" a indiqué Belaïd ajoutant qu'ils "ne meurent pas de faim, mais à cause des pressions qu'ils subissent". Pour lui "les jeunes d'aujourd'hui sont connectés à Internet et veulent vivre libres dans leur pays comme les autres peuples".
Selon Belaïd la construction d'un Etat fort passe d'abord et avant tout par l'intérêt qu'on doit porter à l'être humain car "c'est lui la base de la création de la richesse. Nous avons vécu 20 ans de gabegie et les jeunes veulent vivre dans la dignité" a-t-il précisé. Poursuvant ses attaques contre l'ancien régime il dira "aujourd'hui la moitié de la bande est en prison et l'autre moitié attend de la rejoindre". Il n'a pas manqué de saluer le rôle joué par l'Armée dans cette crise politique que traverse le pays en accompagnant les manifestants en estimant que "c'est la seule Armée, parmi les pays du Tiers-Monde, qui a protégé le peuple durant 9 mois de manifestations", estimant, par la suite, que "la solution est politique et passe inévitablement par cette élection présidentielle". Belaïd n'a pas manqué aussi durant ce meeting de revenir sur la résolution du Parlement européen qui a suscité un concert de condamnations en Algérie.
"L'Algérie refuse la tutelle et les conseils des autres pays" a-t-il marteléen évoquant les manifestations des Gilets jaunes en France et le silence absolu des Européens sur ce qui s'est passé. Une occasion pour lui de rendre hommage aux manifestations pacifiques du peuple algérien. Par ailleurs animant un meeting populaire à la maison de la culture de la wilaya, avant-hier vendredi, le candidat Belaïd s'est engagé à procéder à une "révision de l'ensemble des lois relatives à l'enseignement et aux méthodes éducatives", et de mettre en place un programme "répondant aux aspiration du peuple qui permette à l'enseignant et à l'élève de reprendre leur véritable place", estimant que "tout projet de société débute parl'école".
"Les enfants de ce pays, qui subissent d'énormes pressions, préfèrent l'immigration clandestine la - harga - en traversant la mer pour échapper à cette situation" a indiqué Belaïd ajoutant qu'ils "ne meurent pas de faim, mais à cause des pressions qu'ils subissent". Pour lui "les jeunes d'aujourd'hui sont connectés à Internet et veulent vivre libres dans leur pays comme les autres peuples".
Selon Belaïd la construction d'un Etat fort passe d'abord et avant tout par l'intérêt qu'on doit porter à l'être humain car "c'est lui la base de la création de la richesse. Nous avons vécu 20 ans de gabegie et les jeunes veulent vivre dans la dignité" a-t-il précisé. Poursuvant ses attaques contre l'ancien régime il dira "aujourd'hui la moitié de la bande est en prison et l'autre moitié attend de la rejoindre". Il n'a pas manqué de saluer le rôle joué par l'Armée dans cette crise politique que traverse le pays en accompagnant les manifestants en estimant que "c'est la seule Armée, parmi les pays du Tiers-Monde, qui a protégé le peuple durant 9 mois de manifestations", estimant, par la suite, que "la solution est politique et passe inévitablement par cette élection présidentielle". Belaïd n'a pas manqué aussi durant ce meeting de revenir sur la résolution du Parlement européen qui a suscité un concert de condamnations en Algérie.
"L'Algérie refuse la tutelle et les conseils des autres pays" a-t-il marteléen évoquant les manifestations des Gilets jaunes en France et le silence absolu des Européens sur ce qui s'est passé. Une occasion pour lui de rendre hommage aux manifestations pacifiques du peuple algérien. Par ailleurs animant un meeting populaire à la maison de la culture de la wilaya, avant-hier vendredi, le candidat Belaïd s'est engagé à procéder à une "révision de l'ensemble des lois relatives à l'enseignement et aux méthodes éducatives", et de mettre en place un programme "répondant aux aspiration du peuple qui permette à l'enseignant et à l'élève de reprendre leur véritable place", estimant que "tout projet de société débute parl'école".