Hommage à deux hommes exceptionnels du 4e art

Le 5 janvier dernier, M'hammed Benguettaf décédait. Le 13 janvier 1995, Azzedine Medjoubi était assassiné. L'espace Sada El Aklem (Echo des plumes) du Tna a choisi, pour sa part, de rendre hommage, samedi dernier au théâtre national Mahiedine-Bachtarzi, à ces deux grandes figures du 4e art algérien, qui ont su le hisser, de par leurs talents, bravoure et dévotion, au summum de la gloire, qui sont partis en étant directeurs du théâtre national algérien Mahiedine-Bachtarzi.Le 5 janvier dernier, M'hammed Benguettaf décédait. Le 13 janvier 1995, Azzedine Medjoubi était assassiné. L'espace Sada El Aklem (Echo des plumes) du Tna a choisi, pour sa part, de rendre hommage, samedi dernier au théâtre national Mahiedine-Bachtarzi, à ces deux grandes figures du 4e art algérien, qui ont su le hisser, de par leurs talents, bravoure et dévotion, au summum de la gloire, qui sont partis en étant directeurs du théâtre national algérien Mahiedine-Bachtarzi.Devant un parterre de journalistes et des amoureux du quatrième art, le directeur de communication et l'ensemble des invités, venus rendre hommage un ultime hommage à cette paire d'artiste hors de commun, en relatant leurs riches parcours. Les deux avaient suivi sensiblement le même parcours, passant de l'interprétation à la mise en scène, et ils appartenaient à la même génération d'hommes et de femmes de théâtre qui, après l'indépendance du pays, avaient pris en main l'ancien Opéra d'Alger,« monument prestigieux de la colonisation, pour en faire un lieu d'art tourné vers l'identité culturelle nationale et ouvert aux spectateurs algériens », a tenu à préciser Fethennour Benbrahim. « Les deux, enfin, étaient des compagnons de scène et des amis sur la scène de la vie, liés par un destin similaire, une passion commune et la même volonté de donner au quatrième art un ancrage culturel algérien et une ouverture sur le théâtre moderne universel », a-t-il ajouté.De l'avis de toute l'assistance et à l'unanimité « les deux artistes, avec d'autres complices, ont laissé une empreinte forte sur la dramaturgie nationale par leurs jeux d'acteurs émérites, par leurs écritures et leurs mises en scène ainsi que le rayonnement de leurs personnalités sur la vie culturelle et auprès d'un public innombrable pour lequel ils demeureront des icônes ». Leurs contributions n'étant pas près d'être oubliées.Ces deux hommes exceptionnels ont laissé derrière eux des émules qui, aujourd'hui, tout en forgeant leurs propres parcours, prennent le relais de leur action artistique et viennent rappeler que la plus importante des contributions est sans doute celle de la transmission. Tous les arts se nourrissent ainsi de la chaîne des valeurs et des expériences laissées par des prédécesseurs. Plusieurs acteurs de scènes culturelles et artistique ont tenu à donner la réplique à exprimer leur fierté de les avoir connus et partagé avec eux des moments artistiques inoubliables avec leur joie et leur peine.Devant un parterre de journalistes et des amoureux du quatrième art, le directeur de communication et l'ensemble des invités, venus rendre hommage un ultime hommage à cette paire d'artiste hors de commun, en relatant leurs riches parcours. Les deux avaient suivi sensiblement le même parcours, passant de l'interprétation à la mise en scène, et ils appartenaient à la même génération d'hommes et de femmes de théâtre qui, après l'indépendance du pays, avaient pris en main l'ancien Opéra d'Alger,« monument prestigieux de la colonisation, pour en faire un lieu d'art tourné vers l'identité culturelle nationale et ouvert aux spectateurs algériens », a tenu à préciser Fethennour Benbrahim. « Les deux, enfin, étaient des compagnons de scène et des amis sur la scène de la vie, liés par un destin similaire, une passion commune et la même volonté de donner au quatrième art un ancrage culturel algérien et une ouverture sur le théâtre moderne universel », a-t-il ajouté.De l'avis de toute l'assistance et à l'unanimité « les deux artistes, avec d'autres complices, ont laissé une empreinte forte sur la dramaturgie nationale par leurs jeux d'acteurs émérites, par leurs écritures et leurs mises en scène ainsi que le rayonnement de leurs personnalités sur la vie culturelle et auprès d'un public innombrable pour lequel ils demeureront des icônes ». Leurs contributions n'étant pas près d'être oubliées.Ces deux hommes exceptionnels ont laissé derrière eux des émules qui, aujourd'hui, tout en forgeant leurs propres parcours, prennent le relais de leur action artistique et viennent rappeler que la plus importante des contributions est sans doute celle de la transmission. Tous les arts se nourrissent ainsi de la chaîne des valeurs et des expériences laissées par des prédécesseurs. Plusieurs acteurs de scènes culturelles et artistique ont tenu à donner la réplique à exprimer leur fierté de les avoir connus et partagé avec eux des moments artistiques inoubliables avec leur joie et leur peine.