Algérie

Histoires étranges Mystères Ovnis (4e partie)



Résumé de la 3e partie - Ebloui, Ron ne peut distinguer sa surface. Son chien Snowball (boule de neige) ne bronche pas. Les moutons eux, semblent perturbés.Ron les entraîne là où était l'objet mystérieux. Au sol, il y a un cercle clair. Certains arbres proches, eux aussi, luisent et des branches sont cassées. Un tronc est même brisé à la base. Mrs Johnson pose sa main sur la zone vitreuse, elle constate qu'elle est froide et sent un engourdissement, cette indisposition durera deux semaines : sa main et sa cuisse sont comme endormies. Vite, elle regagne la maison, se saisit d'un appareil photo Polaroïd 104 et, au flash, prend un cliché qui montre un cercle incandescent (il ne reste qu'une image possible). Quatre ans plus tard, cette forme de fer à cheval sera encore visible, puis, Ron, devenu fermier, la recouvrira de terre au bulldozer. Voilà les faits. Un jeune fermier nullement exalté par la science-fiction , des parents des plus respectables... Le lendemain, la police visite les lieux et mesure un niveau de radioactivité normal sur la trace annulaire. Dès décembre 1971, l'équipe du Professeur Hynek est alertée de cet incident par l'article paru le 4 novembre dans le Delphos Republican. Ted Phillips, un ufologue local du MUFON, association ufologique américaine, fait une enquête sur place en compagnie du shérif local, ils ne décèlent aucun indice de canular, constatent le rond au pied des arbres que la neige souligne très précisément (centre fondu, périphérie neigeuse). Le capitaine Coyne et trois autres militaires ont échappé de peu à une collision avec une étrange lumière rouge qui s'avéra être un ovni à la forme étrange... Ils sont quatre militaires de l'Armée de Réserve américaine, en ce 18 octobre 1973, dans cet hélicoptère Bell UH-1H qui rejoint sa base de Cleveland Hopkins depuis Colombus, Ohio, soit un voyage de 150 kilomètres en un trajet familier pour eux. La nuit est étoilée, le ciel clair, la visibilité bonne (elle est estimée à 60 kilomètres). Alors qu'à 23 h, ils survolent la région de Mansfield à 165 km/h, à une altitude de 800 m, le passager arrière gauche, un sergent, aperçoit une lumière rouge isolée à l'Ouest : plus brillante que le feu de navigation d'un avion, aucun n'est d'ailleurs censé se trouver dans les parages. Quelques minutes plus tard, l'autre passager arrière, également sergent, repère à son tour la lumière rouge, à l'Est, cette fois, qui semble se déplacer dans leur direction. Il en informe le capitaine Coyne, pilote et responsable du vol. Tous voient la lumière se rapprocher à l'horizontale si bien que Coyne, par mesure de prudence, man'uvre pour perdre de l'altitude lentement. (A suivre...)


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