Sensation - Etes-vous parfois conscient d'une présence inconnue à vos côtés alors que, de toute évidence, vous êtes seul et isolé ' Si vous vous retrouvez dans cette situation, surtout ne paniquez pas !Il ne s'agit pas d'une hallucination, mais d'un phénomène paranormal assez commun qu'il convient de banaliser tant les cas rapportés sont nombreux : la présence d'un ou de plusieurs entités invisibles... «Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller dans notre salle solitaire.
Devant ma table vint s'asseoir un pauvre enfant vêtu de noir qui me ressemblait comme un frère», a écrit Alfred de Musset dans La Nuit de décembre. Les êtres qui visitent les enfants et demeurent invisibles aux parents, aux frères, aux s'urs et aux autres, sont le plus souvent des compagnons avec lesquels ils s'entretiennent, échangent, communiquent, voire jouent à la poursuite, exactement comme s'il s'agissait d'êtres réels. Les adultes parents, quelque peu frustrés d'être exclus de ces plaisirs solitaires, mettent cela sur le compte de l'imagination débordante de leurs rejetons, ou de la tendance à l'affabulation... Mais devant la multiplication de ces «compagnies infantiles», les parapsychologues se sont demandés si elles ne provenaient pas du fait que les enfants disposent de capacités psychiques qui s'émoussent avec l'âge.
Leur esprit intact, non encore pollué par la vision matérialiste des choses, leur donnerait accès à une réalité autre qui leur échappera plus tard.
En tout cas, maints exemples de compagnies invisibles sont plutôt troublants à cause de certains détails qui les placent bien au-delà de simples fantasmagories. Sir Arthur Conan Doyle donna du crédit au phénomène en soulignant que «les enfants rapportent voir ces êtres plus fréquemment que les grandes personnes». La grande médium américaine Eileen Garrett témoigne de son expérience : «Quand j'étais petite, j'avais 2 compagnons secrets qui faisaient que je n'étais jamais seule : un garçon et une fille. La première fois que je les vis, j'avais environ 4 ans. Nous communiquions librement ensemble mais sans prononcer le moindre mot. Parfois, ils restaient là pendant des heures, d'autres fois ils demeuraient seulement un temps très court. Soudain, je réalisais leur présence et, tout aussi brusquement, ils n'étaient plus là. Et eux ne vieillissaient jamais...». Après les enfants esseulés en manque de partenaires ludiques, ce sont les veuves qui rapportent le plus fréquemment une expérience de «compagnons invisibles». (A suivre...)
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Posté Le : 31/08/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ferhat A
Source : www.infosoir.com