Algérie

Histoires étranges



Histoires étranges
Résumé de la 1re partie ? Le concert a lieu, ces amateurs jouent admirablement et Jean Romier se délecte en écoutant Mozart. Au bout d'un moment, Jean s'aperçoit qu'il est minuit passé et il se retire.Il est à peine dans la rue qu'il veut allumer une cigarette et s'aperçoit qu'il a oublié son briquet chez ses nouveaux amis. On appelle donc le docteur Romier qui s'étonne d'apprendre que son fils se trouve dans un poste de police : je sais qu'il devait aller entendre hier soir un concert d'amateurs rue Vaugirard et je ne comprends pas votre histoire d'appartement vide. J'arrive de suite... En attendant, Jean raconte toute sa soirée au commissaire. Le concierge intervient et apprend au policier que le logis appartient aujourd'hui à l'arrière-arrière-petit-fils, monsieur Mauger et donne ses coordonnées téléphoniques. Le lendemain matin, le commissaire parvient à joindre monsieur Mauger, lui explique rapidement la situation et lui donne rendez-vous rue Vaugirard. Une demi-heure après, tout le monde est là, réuni sur le palier, quand Jean Romier commence à décrire avec précision le mobilier ainsi que les bibelots et tableaux qui se trouvent derrière cette porte. Le propriétaire ouvre et l'étudiant est saisi : cet endroit si vivant la veille est, ce matin, glacial, couvert de poussière et sent le moisi. Soudain, Jean aperçoit plusieurs portraits au mur et cite devant les témoins les noms des personnages représentés ainsi que la nature de leurs études. Monsieur Mauger pâlît, considère le jeune homme avec stupeur et, en effet, confirme que le futur élève de l'école navale était mort amiral, que celui qui faisait son droit était avocat et que le futur séminariste était mort missionnaire en Afrique. Puis il se met à trembler et se souvient maintenant que son grand-père lui avait parlé de concerts organisés ici par son grand-père Alphonse Berruyer. Une émotion oppressante gagne tout le groupe quand Jean, figé, découvre son briquet déposé sur un guéridon couvert de poussière....?Alors qu'il dînait dans un restaurant, en compagnie d'amis, le 23 septembre 1970 au soir, (il était environ 21h), il fut soudain pris d'un malaise; il dut quitter précipitamment la table et sortir du restaurant pour prendre l'air. Ses amis s'étaient inquiétés de son état. Ayant repris ses esprits au bout de quelques minutes, il revint s'asseoir à la table. Il s'était demandé ce qui lui était subitement arrivé. Le lendemain matin, il reçoit un coup de fil d'un ami qui lui annonce?la terrible nouvelle : Bourvil venait de décéder dans la soirée du 23 septembre vers 21h, au moment même où Jean-Pierre Mocky a un malaise. Etait-ce une pure coïncidence ' D'après le réalisateur, il ne le pensait pas. Peut-on parler de prémonition, ou de phénomène télépathique?'




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