Algérie

histoire cheval arabe- Le Haras de ChaouChaoua de Tiaret



histoire cheval arabe- Le Haras de ChaouChaoua de Tiaret


il est de ces chevaux qui vous inspire la Grâce, la Beauté, le Rêve …………. Origine Depuis des millénaires, la race progresse sous le ciel et le chaud soleil d’Orient,contrastant avec les nuits glacées, le vent violent, brûlant ou glacé également,mais néanmoins léger et caressant malgré ses outrances. Elle progresse dans l’effort, la privation parfois, dans l’énervement de la vitesse, dans les grands espaces libres. Et elle n’a jamais varié ! Le berceau de la race fût sans contredire la partie centrale de l’Arabie, Le Nedj,contrée alors inexplorée, qui semblait assez plantureuse dans ses vallées sillonnées de nombreux cours d’eau, de ruisseaux. Certains auteurs arabes veulent voir cette race arabe créée par le prophète Mohamed ; les chevaux arabes actuels seraient les descendants de ses 5 juments. Présentation Il est nécessaire ,dans l’appréciation du cheval arabe de faire abstraction du modèle classique du cheval de selle , selon le manuel d’hippologie ou d’équitation. Ce modèle,équilibré assurément, convenait pour apprécier nos chevaux de cavalerie – quand elle existait encore- nos chevaux de selle, porteurs, de fabrication occidentale et qui variaient suivant les époques et aussi… les modes. Le pur sang arabe est un cheval pas comme les autres ; l’expression vulgaire sans doute, exprime tout de même qu’il s’agit d’un individu, d’une personnalité à caractère. La beauté est faite d’harmonie ,et l’harmonie est une somme de qualités qui se complètent en se juxtaposant. Le pur-sang arabe est un tout d’ harmonie. Voici donc les points de Beauté de l’Arabe selon l’Emir ABD EL-KADER : Quatre choses larges : le front, la poitrine, la croupe et les membres. Quatre choses longues : l’encolure, les jambes, le ventre et les hanches. Quatre choses courtes : les reins, les paturons, les oreilles et la queue. Ce qui frappe avant tout chez le Cheval Arabe, c’est sa longueur générale, c’est l’étendue de terrain qu’il couvre. Ce qui frappe surtout, et peut-être encore plus, c’est l’impression de noblesse, de grand sang, de force et de vigueur qui ne semblent jamais contenues, ni jamais calmées . ALLURE –APTITUDES Son pas est long et rapide, au retour comme au départ ; son trot , à extension complète est soutenu, aérien ; quant à son galop, son allure, il est le plus facile, le plus coulant, le plus allongé,et il le soutient presque indéfiniment. Il est fait « pour la fuite et la poursuite ». Le pur-sang arabe a été créé pour porter « lourd ,vite et loin. » Sellé, bridé, il s’impatiente, s’ennuie, gratte le sol. Une fois son cavalier en selle, il s’en va heureux, sans écarts, sans débordements ni vélléités nerveuses, l’œil sorti, brillant. Il voit tout, rien ne lui échappe.



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