Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, MokhtarHasbellaoui, a annoncé,avant-hier à Alger, que sondépartement ministériel avait intégré, au titre de la nouvelleloi sur la santé, les cabinetsmédicaux et les cliniquesprivés au sein du réseau national de soins.Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, MokhtarHasbellaoui, a annoncé,avant-hier à Alger, que sondépartement ministériel avait intégré, au titre de la nouvelleloi sur la santé, les cabinetsmédicaux et les cliniquesprivés au sein du réseau national de soins.
Répondant aux préoccupations d'un membre du Conseil de la nation surles activités des cabinets médicaux et cliniques privées, lors d'une plénièreconsacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que "dans le cadre de la nouvelle loi sur la santé, le ministère procède à l'intégration des cabinets et cliniques au seindu réseau national de soins", d'autant
quel'actuelle stratégie tracée "repose sur ledossier électronique du malade (DEM) pour un système sanitaire intégré et cohérent"."Le ministère procède actuellement, à uneinspection et une évaluation globales au niveau national, en vue de mettre à jour lefichier national de ces cabinets et cliniques privées, dans le but d'amener leurs propriétaires ayant ont été titulaires d'agrémentavant la promulgation de la nouvelle loisur la santé, à respecter les nouvelles dispositionsénoncées dans le cahier descharges".Concernant les opérations d'inspectionmenées par les services compétents en 2017, le premier responsable du secteur afait état de
"5.676 inspections au niveaudes officines de pharmacie, 148 au niveaudes unités d'hémodialyse, 77 opérations au niveau des laboratoires d'analyse médicale, 1.276 inspections au niveau des cabinetspublics, 2.779 opérations au niveau descliniques privées et 74 inspections auniveau des cliniques de chirurgie dentaire".Suite aux opérations d'inspection, 35 décisions de fermeture définitive ou provisoire, de ces cabinets, cliniques, laboratoireset pharmacies, ont été prises et 227avertissements, 141 mises en demeure et 13 blâmes ont été adressés, a fait savoir le responsable, soulignant que le ministère enquête, en collaboration avec les conseils de déontologie de la profession, sur les dépassements pouvant empêcher le patient de bénéficier des prestations médicales nécessaires. Concernant l'octroi d'agréments aux cabinets et cliniques,
M. Hasbellaoui a indiqué que cette opération etait soumise à des conditions, fixées dans la nouvelle loi sur la santé pour garantir le bien-être et la sécurité du citoyen, et que ces agréments ne sont accordés qu'après un constat sur le terrain effectué par les services du ministère, pour s'assurer que les conditions nécessaires sont remplies, notamment l'aération et l'hygiène. Ces cliniques sont soumises à l'inspection et à l'évaluation, après la pratique de l'activité, de façon permanente ou inopinée, par les médecins des directions de la santé éparties, à travers le territoire national, pour s'assurer de leur conformité, a-t-il ajouté.
A une question d'un autre député sur la non programmation de l'hôpital public de 242 lits dans la wilaya d'Oum El Bouaghi, le ministre, qui a précisé que ce projet seraprogrammé après parachèvement des travaux projets en cours, a fait savoirqu'une enveloppe financière supplémentaire a été dégagée pour l'équipement et l'aménagement de certains services, à l'instar des urgences médicales, rappelant les différentes réalisations en matière de santé, dont a bénéficié cette wilaya.
Répondant aux préoccupations d'un membre du Conseil de la nation surles activités des cabinets médicaux et cliniques privées, lors d'une plénièreconsacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que "dans le cadre de la nouvelle loi sur la santé, le ministère procède à l'intégration des cabinets et cliniques au seindu réseau national de soins", d'autant
quel'actuelle stratégie tracée "repose sur ledossier électronique du malade (DEM) pour un système sanitaire intégré et cohérent"."Le ministère procède actuellement, à uneinspection et une évaluation globales au niveau national, en vue de mettre à jour lefichier national de ces cabinets et cliniques privées, dans le but d'amener leurs propriétaires ayant ont été titulaires d'agrémentavant la promulgation de la nouvelle loisur la santé, à respecter les nouvelles dispositionsénoncées dans le cahier descharges".Concernant les opérations d'inspectionmenées par les services compétents en 2017, le premier responsable du secteur afait état de
"5.676 inspections au niveaudes officines de pharmacie, 148 au niveaudes unités d'hémodialyse, 77 opérations au niveau des laboratoires d'analyse médicale, 1.276 inspections au niveau des cabinetspublics, 2.779 opérations au niveau descliniques privées et 74 inspections auniveau des cliniques de chirurgie dentaire".Suite aux opérations d'inspection, 35 décisions de fermeture définitive ou provisoire, de ces cabinets, cliniques, laboratoireset pharmacies, ont été prises et 227avertissements, 141 mises en demeure et 13 blâmes ont été adressés, a fait savoir le responsable, soulignant que le ministère enquête, en collaboration avec les conseils de déontologie de la profession, sur les dépassements pouvant empêcher le patient de bénéficier des prestations médicales nécessaires. Concernant l'octroi d'agréments aux cabinets et cliniques,
M. Hasbellaoui a indiqué que cette opération etait soumise à des conditions, fixées dans la nouvelle loi sur la santé pour garantir le bien-être et la sécurité du citoyen, et que ces agréments ne sont accordés qu'après un constat sur le terrain effectué par les services du ministère, pour s'assurer que les conditions nécessaires sont remplies, notamment l'aération et l'hygiène. Ces cliniques sont soumises à l'inspection et à l'évaluation, après la pratique de l'activité, de façon permanente ou inopinée, par les médecins des directions de la santé éparties, à travers le territoire national, pour s'assurer de leur conformité, a-t-il ajouté.
A une question d'un autre député sur la non programmation de l'hôpital public de 242 lits dans la wilaya d'Oum El Bouaghi, le ministre, qui a précisé que ce projet seraprogrammé après parachèvement des travaux projets en cours, a fait savoirqu'une enveloppe financière supplémentaire a été dégagée pour l'équipement et l'aménagement de certains services, à l'instar des urgences médicales, rappelant les différentes réalisations en matière de santé, dont a bénéficié cette wilaya.
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Posté Le : 22/12/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : CHAHINE ASTOUATI
Source : www.lemidi-dz.com