Harkat Bouzid tire sa révérence

Sa mort subite a plongé toute la ville dans la consternation, plus particulièrement, les adeptes du monde hippique dont il a été, durant de longues années, le président. Harkat Bouzid, avait le «virus» des chevaux, qu'il avait attrapé tout jeune. Aussi bien que remontaient ses souvenirs, le cheval a toujours fait partie du décor familial.
Passionné de la chose équine, il débarquera en France où il sera jockey pendant des années. De retour au pays, il retrouvera vite l'ambiance familiale et la proximité du champ de courses de Bazer Sakhra, le temple du cheval, érigé au courant de l'année 1870.
Ce lieu de passion et de fièvre pour les courses hippiques occupera la majeure partie de son temps. Elu président de l'association des éleveurs et des propriétaires de chevaux de race pure, Harkat Bouzid, ardent défenseur du cheval, n'hésitera pas à  prendre les bonnes décisions, au point, où le champ de course de Bazer Sakhra est devenu incontournable pour toutes les manifestations épiques. En plus de sa passion pour les étalons, il a été un fervent dirigeant du Babya. Sa famille, ses amis et beaucoup de gens parmi lesquels des férus de la chose équine se sont réunis pour se souvenir de l'homme et de ses actes.