La dernière affaire en date, est celle de la Fédération algérienne de handisports, dont le président a crié à l'injustice, récemment, en raison de la prise en charge réservée à ces athlètes, qui prennent part aux jeux Paralympiques de Londres. Hanifi affirme qu'il n'a rien compris dans le renversement de situation qui a eu lieu. «Une fois intronisé à la tête du COA, j'ai décidé d'installer une commission pour aider la Fédération de handisports dans différentes tâches. Le président a refusé, indiquant que sa Fédération était autonome. A l'approche des épreuves de Londres, le président m'a appelé pour crier à l'injustice, parce que des équipements n'ont pas été attribués aux athlètes. J'ai été surpris, surtout que le discours, cette fois-ci, était différent. Et puisque le temps pressait, j'ai proposé un ancien stock, qui date de 2008, mais qui n'a jamais été utilisé. Une proposition acceptée et le dossier me semblait clos. On me demande, ensuite, la salle de conférence du siège du COA pour organiser un point de presse, j'ai accepté. Dans ce même point de presse, le président me tire dessus pour dire que je fais dans la politique de deux poids deux mesures. Ceux qui me connaissent peuvent attester que je suis l'un des défenseurs de cette frange de la société».
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 23/08/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : M B
Source : www.infosoir.com