Algérie

Hamid El Kasri et Karim Ziad font vibrer le public algérois


Hamid El Kasri et Karim Ziad font vibrer le public algérois
Le nouveau projet de fusion musical du mâallem marocain Hamid El Kasri et du batteur algérien de jazz Karim Ziad a fait vibrer le public sur les rythmes de la musique gnawa et les envolées du jazz à la faveur d'un concert animé dimanche soir à Alger.Le nouveau projet de fusion musical du mâallem marocain Hamid El Kasri et du batteur algérien de jazz Karim Ziad a fait vibrer le public sur les rythmes de la musique gnawa et les envolées du jazz à la faveur d'un concert animé dimanche soir à Alger.Se produisant sur la scène du 8e Festival international de musique diwan, Hamid El Kasri, l'un des mâallem marocains les plus en vue et les plus médiatisés, toujours accompagné de Karim Ziad, a réussi à attirer un public nombreux qui a confié avoir "fait le déplacement pour cet artiste". Accompagnés des membres de la troupe gnawa de Hamid El Kasri et du bassiste mauricien Linley Marthe, le mâallem et le jazzman se sont livrés à une sorte de concours musical implicite entre jazzmen et gnawa dans une harmonie parfaite où l'un ou l'autre des deux styles étaient mis en avant selon le morceau.Alors que Hamid El Kasri et sa troupe assuraient beaucoup plus le chant et les choeurs sur des morceaux du répertoire gnawa comme Hamdouchya ou Mimoune, alors que les jazzmen menés à la baguette par Karim Ziad habillaient le tout de jeu de basse puissant, qui dominait même le son du goumbri inaudible, des arrangement à la clarinette et des solos de batterie, et de basse, parfois empruntés au free jazz. Plus tôt dans la soirée, la troupe Ouled SidiBlel de Tindouf, deuxième prix au festival national de diwan tenu à Béchar en juin dernier, avait plongé le public dans un spectacle à part entière incluant la virtuosité au goumbri, la puissance du son, une voix limpide et une chorégraphie homogène menée par le jeune autodidacte Maâllem Smail.Avec des bradjs authentiques tirés du diwan traditionnel, cette formation primée pour la seconde fois depuis sa création en 2010 a montré sur scène une grande évolution en comparaison avec ses derniers passages à Alger et à Béchar, même si les musiciens n'ont pas été conviés à partager la scène avec Hamid El Kasri comme il est de coutume dans ce festival. Inauguré samedi dernier, le 8e Festival international de musique diwan, qui semble renouer progressivement avec son public, se clôturera aujourd'hui 27 août au théâtre de verdure Saïd-Mekbel du bois des arcades avec encore à l'affiche deux autres lauréats du Festival national, "Lemma Becharia", "Ifrikya Spirit", "Bassekou Kouyaté & N'goni Ba" (Mali), Richard Bona (Cameroun) "Malted Milk & Green" (France-USA).Se produisant sur la scène du 8e Festival international de musique diwan, Hamid El Kasri, l'un des mâallem marocains les plus en vue et les plus médiatisés, toujours accompagné de Karim Ziad, a réussi à attirer un public nombreux qui a confié avoir "fait le déplacement pour cet artiste". Accompagnés des membres de la troupe gnawa de Hamid El Kasri et du bassiste mauricien Linley Marthe, le mâallem et le jazzman se sont livrés à une sorte de concours musical implicite entre jazzmen et gnawa dans une harmonie parfaite où l'un ou l'autre des deux styles étaient mis en avant selon le morceau.Alors que Hamid El Kasri et sa troupe assuraient beaucoup plus le chant et les choeurs sur des morceaux du répertoire gnawa comme Hamdouchya ou Mimoune, alors que les jazzmen menés à la baguette par Karim Ziad habillaient le tout de jeu de basse puissant, qui dominait même le son du goumbri inaudible, des arrangement à la clarinette et des solos de batterie, et de basse, parfois empruntés au free jazz. Plus tôt dans la soirée, la troupe Ouled SidiBlel de Tindouf, deuxième prix au festival national de diwan tenu à Béchar en juin dernier, avait plongé le public dans un spectacle à part entière incluant la virtuosité au goumbri, la puissance du son, une voix limpide et une chorégraphie homogène menée par le jeune autodidacte Maâllem Smail.Avec des bradjs authentiques tirés du diwan traditionnel, cette formation primée pour la seconde fois depuis sa création en 2010 a montré sur scène une grande évolution en comparaison avec ses derniers passages à Alger et à Béchar, même si les musiciens n'ont pas été conviés à partager la scène avec Hamid El Kasri comme il est de coutume dans ce festival. Inauguré samedi dernier, le 8e Festival international de musique diwan, qui semble renouer progressivement avec son public, se clôturera aujourd'hui 27 août au théâtre de verdure Saïd-Mekbel du bois des arcades avec encore à l'affiche deux autres lauréats du Festival national, "Lemma Becharia", "Ifrikya Spirit", "Bassekou Kouyaté & N'goni Ba" (Mali), Richard Bona (Cameroun) "Malted Milk & Green" (France-USA).


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