Algérie

Hamel ''présidentiable'' pour Naima Salhi !



La pétarade de la dégoutée députée fabriquée par les oligarques politico ?financiers, Naima Salhi, parachutée à la tête d'un microscopique-parti politique islamique, a osé réhabiliter et tailler une stature de présidentiable à l'ancien patron de la police Hamel , celui qui traine derrière lui le plus gros scandale de corruption de l'histoire de l'Algérie, montre que cette affaire de Coke n'a pas tout divulgué, et que d'autres politicos s'accrochent au fil des présidentielles !Peuplée par le racisme, la haine et les calomnies, Naima Salhi, revient en revancharde, tout comme la femme Scorpion, rassasiée par le soutien de son protecteur l'ancien patron des Bleus, elle tente défier celui qui a limogé son protecteur qui l'a blindée avec une voiture de police ! Le n°1 du pays, et patron du ministre de l'intérieur et des IRGS qui ont agrémenté son parti de ?' cinéma politique ?', son excellence Abdelaziz Bouteflika.
Par le manque de niveau d'instruction, l'expérience politique et le manque de popularité, elle fait recours au tapage médiatique ! Au-delà, de sa page Facebook, elle ne possède aucune base militante pour passer ses messages venimeux et hypocrites qui versent dans le racisme contre le tamazight et les migrants subsahariens. Comme pour garder une poire pour sa soif, elle acclame ouvertement le retour de son boss au-devant de la scène politique jusqu'à l'applaudir pour les présidentielles au détriment des 40 millions d'algériens toujours sous le choc du scandale de la Coke.
Dépossédée de tous ses privilèges par l'actuel patron de la police, le colonel Lahbiri, Naïma Salhi, déclare dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux qu'elle ne soutiendra pas le président Bouteflika pour un autre mandat, mais elle marchera au côté d'un jeune intellectuel issu de corps sécuritaire. Même l'idiot comprendra qu'elle parle de son favori l'ex N°1 de la police, Abdelhghani Hamel. Elle parle avec fierté au nom de son parti politique, comme si son épicier politique a les moyens et une base de militants pour négocier son soutien aux prochaines présidentielles : « Je ne soutiendrai pas Abdelaziz Bouteflika », dira-t-elle dans une vidéo.
Merci, Naima Salhi, d'avoir osé, de présenter aux algériens en homme présidentiable, celui qui a laissé circuler Kamel Boucher en homme libre, et celui qui n'a pas blindé les portes des ports contre l'écoulement de la drogue, par contre il t'a blindé par une Nissan présidentielle anti balles.
Alors que le prix payé pour cette protection, et la relation interdite entre une ingriste et un policier, n'ont jamais été révélés au public, voilà qu'elle l'avoue elle-même avec son soutien absolu en défendant l'indéfendable et en se démarquant de la candidature du Président Bouteflika. Les algériens ont bien compris que tu servais de courroie de transmission entre les citoyens, les politiques et l'ancien DGSN.
Gonflé par des pseudos politiciens comme cette Naima et consorts, Hamel se voyait déjà président. Oubliant le proverbe ?'il faut savoir monter l'échelle'', rêveur de trop, il a oublié un marchepied, en ordonnant l'emplacement des cadres de sa photo de profil dans tous les commissariats du pays, alors il tomba du haut de l'échelle ou plutôt, il fut débarqué par celui qu'elle trahit aujourd'hui.
Ce soutien indéfectible à cet homme cité par Kamel Bouchi pour témoignage dans l'affaire de la Coke devrait ouvrir une enquête sur les liens de cette députée avec la dite affaire. Ou plutôt l'épingler sur l'histoire mensongère de « menaces de mort" qu'elle aurait inventé pour garder le véhicule blindé de la DGSN, et d'arrêter ce "cinéma " qui clochardisait la politique en Algérie.


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