Algérie

Hamel mise sur le high-tech Vols, agressions, trafic de drogue, cybercriminalité'



Hamel mise sur le high-tech                                    Vols, agressions, trafic de drogue, cybercriminalité'
Le directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major Abdelghani Hamel, a exhorté, dimanche dernier à Alger, les responsables de la police judiciaire à prendre des initiatives pour mettre fin aux phénomènes de vol, d'agression, de trafic de drogue, de cybercriminalité et autres. Il a, pour ce faire, souligné la nécessité de recourir aux supports technologiques pour lutter contre la criminalité sous toutes ses formes et faire appliquer la loi de manière rigoureuse.Dans une allocution, prononcée à l'ouverture des travaux d'une rencontre d'évaluation des activités des services de la police judiciaire, à l'Ecole supérieure de police Ali Tounsi, le général-major a affirmé que «la responsabilité de la sécurité du citoyen et de la protection de ses biens incombent essentiellement aux compétences qualifiées pour accomplir le service public». Il a, après avoir entendu les interventions du directeur et autres responsables de la police judiciaire sur les «procédés mis en oeuvre en matière de lutte contre la criminalité, notamment la cybercriminalité, le crime transfrontalier et le trafic illicite de pièces archéologiques et du patrimoine culturel», exhorté tous les cadres de la police judiciaire à déployer davantage d'efforts et à prendre des initiatives, et ce, a-t-il souligné, pour «conforter le sentiment de sécurité et éradiquer les cas de vol, d'agression, de trafic de drogue et de cybercriminalité». Pour ce faire, le DGSN a mis en avant l'impératif de «hisser le niveau professionnel» des éléments de la police judiciaire en matière d'investigations criminelles, de recourir aux supports techniques et aux technologies scientifiques de pointe, de relancer les procès-verbaux de constat du lieu de crime et d'optimiser l'exploitation des archives opérationnelles. Il convient de rappeler, dans ce sens, que plusieurs mesures réglementaires ont été prises, au cours de cette année, par la DGSN pour la redynamisation des mécanismes de lutte contre la criminalité à travers la création de plusieurs branches dont 18 spécialisées dans la lutte contre l'atteinte à la propriété intellectuelle, 16 sections chargées de la protection du patrimoine culturel, 23 autres de la lutte contre l'atteinte aux systèmes de traitement informatique des données, 11 cellules d'analyse criminelle opérationnelle ainsi que 32 brigades de recherche et d'intervention.
Il est utile de préciser que la rencontre s'est déroulée en présence de l'inspecteur général de la Sûreté nationale, du secrétaire général, des directeurs, des chefs des service centraux et de tous les chefs des service de la Police judiciaire de la sûreté des quarante-huit wilayas. Notons, enfin, que ce colloque de 2 jours, qui a pris fin hier, s'inscrit dans le cadre d'une série de rencontres périodiques que le DGSN tient avec les responsables et cadres des directions centrales, régionales et de wilaya pour évaluer les différentes activités et prendre connaissance des préoccupations
opérationnelles.
Le directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major Abdelghani Hamel, a exhorté, dimanche dernier à Alger, les responsables de la police judiciaire à prendre des initiatives pour mettre fin aux phénomènes de vol, d'agression, de trafic de drogue, de cybercriminalité et autres. Il a, pour ce faire, souligné la nécessité de recourir aux supports technologiques pour lutter contre la criminalité sous toutes ses formes et faire appliquer la loi de manière rigoureuse.Dans une allocution, prononcée à l'ouverture des travaux d'une rencontre d'évaluation des activités des services de la police judiciaire, à l'Ecole supérieure de police Ali Tounsi, le général-major a affirmé que «la responsabilité de la sécurité du citoyen et de la protection de ses biens incombent essentiellement aux compétences qualifiées pour accomplir le service public». Il a, après avoir entendu les interventions du directeur et autres responsables de la police judiciaire sur les «procédés mis en oeuvre en matière de lutte contre la criminalité, notamment la cybercriminalité, le crime transfrontalier et le trafic illicite de pièces archéologiques et du patrimoine culturel», exhorté tous les cadres de la police judiciaire à déployer davantage d'efforts et à prendre des initiatives, et ce, a-t-il souligné, pour «conforter le sentiment de sécurité et éradiquer les cas de vol, d'agression, de trafic de drogue et de cybercriminalité». Pour ce faire, le DGSN a mis en avant l'impératif de «hisser le niveau professionnel» des éléments de la police judiciaire en matière d'investigations criminelles, de recourir aux supports techniques et aux technologies scientifiques de pointe, de relancer les procès-verbaux de constat du lieu de crime et d'optimiser l'exploitation des archives opérationnelles. Il convient de rappeler, dans ce sens, que plusieurs mesures réglementaires ont été prises, au cours de cette année, par la DGSN pour la redynamisation des mécanismes de lutte contre la criminalité à travers la création de plusieurs branches dont 18 spécialisées dans la lutte contre l'atteinte à la propriété intellectuelle, 16 sections chargées de la protection du patrimoine culturel, 23 autres de la lutte contre l'atteinte aux systèmes de traitement informatique des données, 11 cellules d'analyse criminelle opérationnelle ainsi que 32 brigades de recherche et d'intervention.
Il est utile de préciser que la rencontre s'est déroulée en présence de l'inspecteur général de la Sûreté nationale, du secrétaire général, des directeurs, des chefs des service centraux et de tous les chefs des service de la Police judiciaire de la sûreté des quarante-huit wilayas. Notons, enfin, que ce colloque de 2 jours, qui a pris fin hier, s'inscrit dans le cadre d'une série de rencontres périodiques que le DGSN tient avec les responsables et cadres des directions centrales, régionales et de wilaya pour évaluer les différentes activités et prendre connaissance des préoccupations
opérationnelles.


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