Algérie

Hamel mise sur la ressource humaine



Hamel mise sur la ressource humaine
Investir davantage dans la ressource humaine pour une meilleure pratique médicale a été au centre des recommandations du général-major Abdelghani Hamel, directeur général de la Sûreté nationale.L'importance de cette ressource primordiale sur laquelle mise le DGSN a été réitérée à l'ouverture des 9es Journées médico-chirurgicales de la Sûreté nationale organisées hier et aujourd'hui au siège de l'administration générale de la DGSN à Alger. Le patron de la police a appelé à investir davantage dans la formation des ressources humaines pour promouvoir la pratique médicale soulignant la nécessité «d'investir plus dans la formation», saluant «le professionnalisme des médecins praticiens dans les structures sanitaires relevant de la Sûreté nationale». Le général-major a souligné le caractère spécifique des missions de la Sûreté nationale sur le terrain, lesquelles exigent «de veiller en permanence sur l'intégrité physique et morale des agents de police», ce qui requiert «une formation continue en médecine suivant les besoins de cette institution», a-t-il indiqué. «Les services sanitaires de la DGSN ont adopté une méthode de travail qui correspond aux missions confiées au dispositif de sécurité et s'adapte aux exigences du système national de santé et services de la santé militaire au ministère de la Défense», a-t-il ajouté. Plusieurs thèmes seront évoqués lors de cette édition, à l'instar de la prise en charge du cancer en Algérie. A cette occasion, il a été procédé à la projection d'un documentaire sur la médecine durant la guerre de Libération nationale comportant des témoignages d'étudiants de la faculté de médecine de l'époque qui ont rejoint les rangs de l'Armée de libération nationale (ALN) à partir de 1956, à l'instar de Pr Messaoud Zitouni, Mohamed Toumi et Ismail Mahfoud. Plusieurs médecins de la Sûreté nationale mis à la retraite ont été honorés. A noter, par ailleurs, que le plan national de lutte contre le cancer est passé à l'étape de l'application, à en croire le professeur Messaoud Zitouni, coordonnateur national du plan, intervenant en marge du colloque. Il qualifie cette étape de «la plus cruciale». «Nous sommes passés à la deuxième étape, qui est la plus cruciale et peut être la plus difficile, qui est celle de l'application et la mise en ?uvre du plan anticancer pour qu'on puisse évaluer les résultats des objectifs attendus de ce plan», a-t-il déclaré.




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