Le sélectionneur national Vahid Halilhodzic croit en son étoile et en celle de ses poulains pour le grand rendez-vous de ce mardi face au Burkina Faso.Halilhodzic a affiché une confiance et un optimisme inhabituels. Il n'a jamais été aussi confiant avant un match de l'EN depuis qu'il a pris en main les destinées des Verts en juillet 2011.
«Je suis confiant et je n'ai jamais eu la rage de vaincre comme cette fois. Je n'ai jamais été aussi motivé, appliqué et engagé. C'est un match historique et une responsabilité suprême, il faudra être à la hauteur des attentes du peuple algérien», confiait le driver des Verts lors de sa rencontre avec la presse, vendredi matin, au Centre de presse du stade 5-Juillet.
Coach Vahid semble rassuré par l'état d'esprit et surtout par la forme qu'affichent ses poulains avant cette fatidique confrontation avec les Etalons du Burkina Faso, vice-champions d'Afrique.
«Les joueurs sont dans une meilleure forme par rapport au match aller», dira le technicien bosnien, tout en précisant qu'«aucun joueur algérien n'est au top physiquement en ce moment».
Le sélectionneur national est sûr de lui et du travail accompli durant la préparation pour «le match historique» de ce mardi, entamée depuis dimanche dernier au Centre technique national de Sidi Moussa.
«Jamais, depuis l'indépendance de l'Algérie, un match n'a été préparé avec autant de précision», s'enorgueillit le technicien bosnien, qui aurait tout de même aimé avoir plus de temps pour préparer ce match qualificatif au Mondial brésilien dont rêve tous les entraîneurs et les joueurs de la planète.
«Si j'avais l'équipe à ma disposition durant un mois, j'aurais signé des deux mains et des deux pieds pour la qualification», soulignait Halilhodzic, avide de réussir une seconde qualification consécutive en phase finale de Coupe du monde après celle réalisée avec la sélection de la Côte d'Ivoire en 2009 avant d'être licencié par la Fédération ivoirienne pour avoir concédé son premier revers aux commandes des Eléphants face à' l'Algérie aux quarts de finale de la CAN 2010 en Angola.
Il n'a d'ailleurs pas digéré son absence au Mondial 2010, le premier mondial organisé en terre africaine, en Afrique du Sud.
L'ancien entraîneur du PSG ne veut nullement que le travail de titan accompli en Algérie 29 mois durant parte en fumée mardi sur l'arène Mustapha-Tchaker où les Verts ont gagné tous leurs matchs officiels sous sa houlette.
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Posté Le : 16/11/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Larbi Bouazza
Source : www.letempsdz.com