Algérie

Haftar rejette l'appel au cessez-le-feu d'Ankara et Moscou


En rejetant l'appel au cessez-le-feu, lancé par Ankara et Moscou, le généralà la retraite, Khalifa Haftar, confirme son rejet de toute solution négociée, etsa volonté de continuer ses opérations militaires contre les forces loyales auGouvernementEn rejetant l'appel au cessez-le-feu, lancé par Ankara et Moscou, le généralà la retraite, Khalifa Haftar, confirme son rejet de toute solution négociée, etsa volonté de continuer ses opérations militaires contre les forces loyales auGouvernement
d'union nationale(GNA), reconnu par l'ONU et lacommunauté internationale. Dans un communiqué lu par son porte-parole, Ahmad al-Mesmari, le général Haftar a indiqué hier, que "lastabilité ou la relance du processuspolitique", en Libye, ne pouvaientêtre réalisées avant l' "éradication des groupes terroristes" et "la dissolutionet le désarmement des milices qui contrôlent, selon lui, la capitalelibyenne".Le général Khalifa Haftar mène,depuis début avril, une offensive contre la capitale libyenne, siège du GNA de Fayez al-Sarra Pour sa part, le GNA a salué l'appel au cessez-le-feu, formulé par les présidents, turc Recep Tayyip Erdogan, et russe, Vladimir Poutine, à Istanbul.
Khalifa Haftar peut semer le chaos dans les pays voisins, tout comme en Libye
S'il y a un point sur lequel toutes les parties s'accordent, ce sont les méthodes violentes et expéditives de Khalifa Haftar, qui a intensifié ses attaques depuis le mois d'avril de l'année dernière, lorsqu'il a lancé une offensive pour capturer la capitale, Tripoli, causant la mort de 174 personnes. Malgré cet acte qualifié de "crimes de guerre et crimes contre l'humanité", par le gouvernement libyen, Haftar a poursuivi ses attaques avec l'aide de ses alliés, pour s'imposer dans le pays.
Le 5 janvier, l'aviation de la dénommée "Armée nationale libyenne", de Khalifa Haftar, a bombardé l'académie militaire de Tripoli, faisant 30 morts et au moins 33 blessés, selon le ministère de la Santé, relevant du Gouvernement d'union nationale.Khalifa Haftar représente un grand danger pour l'unité et la stabilité de la Libye, mais aussi celles des pays voisins, dont notamment la Tunisie et l'Algérie. Face à la situation chaotique déclenchée par Haftar, le ministre de l'Intérieur de la Libye, Fathi Bachagha, a ainsi averti ses deux voisins contre l'éventualité de la prise de la capitale libyenne par les forces du maréchal. "Si Tripoli tombe, Tunis et Alger tomberont à leurs tours"», a-t-il également averti.
d'union nationale(GNA), reconnu par l'ONU et lacommunauté internationale. Dans un communiqué lu par son porte-parole, Ahmad al-Mesmari, le général Haftar a indiqué hier, que "lastabilité ou la relance du processuspolitique", en Libye, ne pouvaientêtre réalisées avant l' "éradication des groupes terroristes" et "la dissolutionet le désarmement des milices qui contrôlent, selon lui, la capitalelibyenne".Le général Khalifa Haftar mène,depuis début avril, une offensive contre la capitale libyenne, siège du GNA de Fayez al-Sarra Pour sa part, le GNA a salué l'appel au cessez-le-feu, formulé par les présidents, turc Recep Tayyip Erdogan, et russe, Vladimir Poutine, à Istanbul.
Khalifa Haftar peut semer le chaos dans les pays voisins, tout comme en Libye
S'il y a un point sur lequel toutes les parties s'accordent, ce sont les méthodes violentes et expéditives de Khalifa Haftar, qui a intensifié ses attaques depuis le mois d'avril de l'année dernière, lorsqu'il a lancé une offensive pour capturer la capitale, Tripoli, causant la mort de 174 personnes. Malgré cet acte qualifié de "crimes de guerre et crimes contre l'humanité", par le gouvernement libyen, Haftar a poursuivi ses attaques avec l'aide de ses alliés, pour s'imposer dans le pays.
Le 5 janvier, l'aviation de la dénommée "Armée nationale libyenne", de Khalifa Haftar, a bombardé l'académie militaire de Tripoli, faisant 30 morts et au moins 33 blessés, selon le ministère de la Santé, relevant du Gouvernement d'union nationale.Khalifa Haftar représente un grand danger pour l'unité et la stabilité de la Libye, mais aussi celles des pays voisins, dont notamment la Tunisie et l'Algérie. Face à la situation chaotique déclenchée par Haftar, le ministre de l'Intérieur de la Libye, Fathi Bachagha, a ainsi averti ses deux voisins contre l'éventualité de la prise de la capitale libyenne par les forces du maréchal. "Si Tripoli tombe, Tunis et Alger tomberont à leurs tours"», a-t-il également averti.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)