Algérie

Gulf Keystone veut vendre ses actifs en Algérie Pétrole



Gulf Keystone veut vendre ses actifs en Algérie                                    Pétrole
La société Gulf Keystone Petroleum (GKP) souhaite vendre sa participation dans le projet Hassi Ba Hamou - dont elle détient 38 % -, dans le Sud algérien. Selon l'agence, Reuters reprise par un site d'information électronique, GKP projette de se recentrer sur ses activités au Kurdistan (nord de l'Irak).
La société Gulf Keystone Petroleum (GKP) souhaite vendre sa participation dans le projet Hassi Ba Hamou - dont elle détient 38 % -, dans le Sud algérien. Selon l'agence, Reuters reprise par un site d'information électronique, GKP projette de se recentrer sur ses activités au Kurdistan (nord de l'Irak).
«C'est une décision stratégique de vendre car nous souhaitons nous concentrer sur des projets qui concernent des réserves de gaz importantes. Nous avons 60 millions de barils de pétrole en Algérie, alors que par contraste, il y a des réserves de 5 milliards de barils de pétrole à Shaikan», dans la région du Kurdistan, a affirmé Tony Peart, Directeur commercial de l'entreprise pétrolière. Cette annonce n'est pas une surprise. En mars 2010 déjà, GKP avait annoncé qu'elle souhaitait revendre son permis de Hassi Ba Hamou pour se recentrer sur le Kurdistan irakien. Depuis, elle n'a pas trouvé preneur. Mais elle n'a pas non plus été convaincue de renoncer à son projet de vente. En 2008, le même groupe, coté à la Bourse de Londres, avait, auprès d'investisseurs, pourtant levé 49,8 millions de dollars destinés notamment au financement de ses projets en Algérie.
Mais depuis cette date, le secteur pétrolier algérien semble être devenu moins attractif. Les nouvelles lois sur l'investissement, la taxe sur les superprofits pétroliers et le scandale Sonatrach ont pesé sur le secteur. Plusieurs grands groupes pétroliers étrangers ont réduit leur personnel en Algérie et ne participent plus aux appels d'offres. Conséquence, le troisième appel d'offres pour l'attribution de 10 blocs de recherche et d'exploration pétrolière et gazière lancé en juillet 2010 s'est soldé par un semi-échec. Deux blocs seulement sur les dix proposés ont trouvé preneurs. Seuls quatre soumissionnaires 'le groupement algérien formé de Petrogaz et OBG, Sonatrach, Cepsa (Espagne) et Petertamina (Malaisie)' ont présenté des offres.
«C'est une décision stratégique de vendre car nous souhaitons nous concentrer sur des projets qui concernent des réserves de gaz importantes. Nous avons 60 millions de barils de pétrole en Algérie, alors que par contraste, il y a des réserves de 5 milliards de barils de pétrole à Shaikan», dans la région du Kurdistan, a affirmé Tony Peart, Directeur commercial de l'entreprise pétrolière. Cette annonce n'est pas une surprise. En mars 2010 déjà, GKP avait annoncé qu'elle souhaitait revendre son permis de Hassi Ba Hamou pour se recentrer sur le Kurdistan irakien. Depuis, elle n'a pas trouvé preneur. Mais elle n'a pas non plus été convaincue de renoncer à son projet de vente. En 2008, le même groupe, coté à la Bourse de Londres, avait, auprès d'investisseurs, pourtant levé 49,8 millions de dollars destinés notamment au financement de ses projets en Algérie.
Mais depuis cette date, le secteur pétrolier algérien semble être devenu moins attractif. Les nouvelles lois sur l'investissement, la taxe sur les superprofits pétroliers et le scandale Sonatrach ont pesé sur le secteur. Plusieurs grands groupes pétroliers étrangers ont réduit leur personnel en Algérie et ne participent plus aux appels d'offres. Conséquence, le troisième appel d'offres pour l'attribution de 10 blocs de recherche et d'exploration pétrolière et gazière lancé en juillet 2010 s'est soldé par un semi-échec. Deux blocs seulement sur les dix proposés ont trouvé preneurs. Seuls quatre soumissionnaires 'le groupement algérien formé de Petrogaz et OBG, Sonatrach, Cepsa (Espagne) et Petertamina (Malaisie)' ont présenté des offres.


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