Algérie

Guerre ouverte contre les spéculateurs



15.000 agents de la brigade d'inspection et de répression des fraudes seront déployés à travers les points de vente et ce avant et pendant le mois sacré de Ramadhan.15.000 agents de la brigade d'inspection et de répression des fraudes seront déployés à travers les points de vente et ce avant et pendant le mois sacré de Ramadhan.
Le ministre du Commerce, Kamel Rezuig, va déclarer une guerre ouverte contre les spéculateurs de produits alimentaires. Des brigades de contrôle et de répression des fraudes vont en effet sévir, dans quelques jours, pour surveiller et faire respecter les mesures décidées par le ministère du Commerce. C'est, en tout cas, ce qu'a déclaré le ministre du Commerce via la page officielle Facebook du ministère. Ce dernier promet un "contrôle ferme et équitable de tous les points de vente des produits alimentaires". Cette fois-ci ce sont les 15.000 agents de la brigade d'inspection et de répression des fraudes qui vont se déployer avant et pendant le mois sacré. "La spéculation sur les produits subventionnés par l'Etat est interdite et reste un délit pour ceux qui veulent vendre au-dessus des prix fixés". Après l'épisode fâcheux de l'huile de table et toute la polémique qui a suscité la hausse effrénée de son prix, le ministère ne compte pas s'en tenir à un seul produit. Pour les prix de la volaille, le stock des poulets de l'Onab et celui de l'Onilev sera cédé à un prix qui n'excèdera pas les 250 DA au niveau des points de vente de l'Etat. Toutefois, le ministre a précisé que le "marché des viandes blanches reste libre avec l'obligation de ne pas dépasser le seuil fixé à la vente du détail qui est celui de 340 DA".
En ce qui concerne les autres produits alimentaires, leurs stockage est interdit et les vendeurs et grossistes sont tenus d'écouler leurs produits périssables. "Les huiles alimentaires, féculents et légumes secs, produits par les entreprises publiques, seront soumis à des prix fixés par l'Etat". Ceux qui sont produits par le privé ne devront pas excéder le prix du marché où la marge de bénéfice ne doit pas dépasser les 5 %. Le ministère souligne la nécessité de contrôler les opérations de déstockage des principales denrées alimentaires avant le début du mois de Ramadhan. Les stocks non établis et dépassant les seuils fixés de leurs quantités sont des pratiques jugées frauduleuses et sont automatiquement en violation avec les dispositifs réglementaires en vigueur. Les contrevenants seront poursuivis en justice et leurs stocks de marchandises cachées saisis par les autorités de collectivités locales. Les deux départements : celui du Commerce et celui de l'Intérieur se sont ainsi solidarisés pour faire appliquer ces mesures dans les prochains jours.
Le ministre du Commerce, Kamel Rezuig, va déclarer une guerre ouverte contre les spéculateurs de produits alimentaires. Des brigades de contrôle et de répression des fraudes vont en effet sévir, dans quelques jours, pour surveiller et faire respecter les mesures décidées par le ministère du Commerce. C'est, en tout cas, ce qu'a déclaré le ministre du Commerce via la page officielle Facebook du ministère. Ce dernier promet un "contrôle ferme et équitable de tous les points de vente des produits alimentaires". Cette fois-ci ce sont les 15.000 agents de la brigade d'inspection et de répression des fraudes qui vont se déployer avant et pendant le mois sacré. "La spéculation sur les produits subventionnés par l'Etat est interdite et reste un délit pour ceux qui veulent vendre au-dessus des prix fixés". Après l'épisode fâcheux de l'huile de table et toute la polémique qui a suscité la hausse effrénée de son prix, le ministère ne compte pas s'en tenir à un seul produit. Pour les prix de la volaille, le stock des poulets de l'Onab et celui de l'Onilev sera cédé à un prix qui n'excèdera pas les 250 DA au niveau des points de vente de l'Etat. Toutefois, le ministre a précisé que le "marché des viandes blanches reste libre avec l'obligation de ne pas dépasser le seuil fixé à la vente du détail qui est celui de 340 DA".
En ce qui concerne les autres produits alimentaires, leurs stockage est interdit et les vendeurs et grossistes sont tenus d'écouler leurs produits périssables. "Les huiles alimentaires, féculents et légumes secs, produits par les entreprises publiques, seront soumis à des prix fixés par l'Etat". Ceux qui sont produits par le privé ne devront pas excéder le prix du marché où la marge de bénéfice ne doit pas dépasser les 5 %. Le ministère souligne la nécessité de contrôler les opérations de déstockage des principales denrées alimentaires avant le début du mois de Ramadhan. Les stocks non établis et dépassant les seuils fixés de leurs quantités sont des pratiques jugées frauduleuses et sont automatiquement en violation avec les dispositifs réglementaires en vigueur. Les contrevenants seront poursuivis en justice et leurs stocks de marchandises cachées saisis par les autorités de collectivités locales. Les deux départements : celui du Commerce et celui de l'Intérieur se sont ainsi solidarisés pour faire appliquer ces mesures dans les prochains jours.


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