Algérie

Guerre déclarée au FFS


Plus que quelques jours avant la tenue du congrès extraordinaire du Front des forces socialistes (FFS). Ce conclave est prévu, en effet,vendredi 20 avrilPlus que quelques jours avant la tenue du congrès extraordinaire du Front des forces socialistes (FFS). Ce conclave est prévu, en effet,vendredi 20 avril
Àmesure, d'ailleurs que se rapproche cette échéance, la guerre de tranchéesopposant les deux camps sedisputant le leadership du plus vieux partid'opposition bat son plein et gagne enampleur. Au point de déborder largement lecadre interne. Cette guerre de tranchées est désormais largement étalée sur la placepublique non pas par la volonté de simplesmilitants, mais par le fait de cadres dirigeants.C'est dire qu'au sein de ce particette crise interne a largement craquelé l'édifice qui semblait il y a si peu de temps encore assez solide.
C'est sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook, quecette bataille a lieu. Le chef du groupe parlementairedu FFS à l'APN, Chaffa Bouaiche, qui est d'ailleurs égalementmembre du secrétariat national, n'a pashésité à vilipender sur son mur un membredu conseil national du parti de la mêmewilaya que lui, Béjaïa. Un post qui aouvert la polémique entre les pour et lescontre, ce qui indique clairement que lefossé est allé s'élargissant entre les deuxcamps protagonistes de cette crise interne."Je pense que ce qui se passe à l'intérieurdu parti doit rester a l'intérieur" a indiquéun internaute interpellant Bouaiche."Non" a répliqué sèchement Bouaiche ajoutant "va lire ce qu'écrit cet énergumènesur sa page". Cet épilogue, en dit surl'ampleur de la crise qui secoue ce parti. Sides cadres dirigeants n'arrivent plus à seretenir c'est que, désormais, tous les coupssont permis.
Pourtant, il y a si peu det e m p s encore nombre d'observateurs n'imagineraient pas de tels scénarios dans un parti plus connu pour sa sérénité malgré les différentes péripéties traversées. Mais depuisla disparition du chef charismatique, Hocine Aït Ahmed, le FFS a beaucoup perdu de son aura, ce d'autant qu'il a été secoué par plusieurs crises internes. Comme cette dernière brouille qui a vu la démission d'un membre de l'instance présidentielle. En claquant la porte de la plus haute instance dirigeante du parti, Ali Laskri a été à l'origine de la convocation du congrès extraordinaire du 29 avril prochain.
Et ce conclave a été le resultat d'un compromis entre les deux camps car cette perspective a fait éviter au parti une véritable implosion. "Le FFS sort gagnant ! Victoire du compromis politique !", tonnaient plusieurs membres du conseil national au sortir de la réunion au cours de laquelle a été décidé la tenue du congrès extraordinaire. Il sera question lors de ce congrès de l'élection d'une nouvelle instance présidentielle avec une liste consensuelle comportant Mohand-Amokrane Cherifi, Ali Laskri, Aziz Baloul. Cette liste sera complétée par deux autres membresen vue de convoquer un congrès nationalordinaire qui aura lieu en 2019.
Àmesure, d'ailleurs que se rapproche cette échéance, la guerre de tranchéesopposant les deux camps sedisputant le leadership du plus vieux partid'opposition bat son plein et gagne enampleur. Au point de déborder largement lecadre interne. Cette guerre de tranchées est désormais largement étalée sur la placepublique non pas par la volonté de simplesmilitants, mais par le fait de cadres dirigeants.C'est dire qu'au sein de ce particette crise interne a largement craquelé l'édifice qui semblait il y a si peu de temps encore assez solide.
C'est sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook, quecette bataille a lieu. Le chef du groupe parlementairedu FFS à l'APN, Chaffa Bouaiche, qui est d'ailleurs égalementmembre du secrétariat national, n'a pashésité à vilipender sur son mur un membredu conseil national du parti de la mêmewilaya que lui, Béjaïa. Un post qui aouvert la polémique entre les pour et lescontre, ce qui indique clairement que lefossé est allé s'élargissant entre les deuxcamps protagonistes de cette crise interne."Je pense que ce qui se passe à l'intérieurdu parti doit rester a l'intérieur" a indiquéun internaute interpellant Bouaiche."Non" a répliqué sèchement Bouaiche ajoutant "va lire ce qu'écrit cet énergumènesur sa page". Cet épilogue, en dit surl'ampleur de la crise qui secoue ce parti. Sides cadres dirigeants n'arrivent plus à seretenir c'est que, désormais, tous les coupssont permis.
Pourtant, il y a si peu det e m p s encore nombre d'observateurs n'imagineraient pas de tels scénarios dans un parti plus connu pour sa sérénité malgré les différentes péripéties traversées. Mais depuisla disparition du chef charismatique, Hocine Aït Ahmed, le FFS a beaucoup perdu de son aura, ce d'autant qu'il a été secoué par plusieurs crises internes. Comme cette dernière brouille qui a vu la démission d'un membre de l'instance présidentielle. En claquant la porte de la plus haute instance dirigeante du parti, Ali Laskri a été à l'origine de la convocation du congrès extraordinaire du 29 avril prochain.
Et ce conclave a été le resultat d'un compromis entre les deux camps car cette perspective a fait éviter au parti une véritable implosion. "Le FFS sort gagnant ! Victoire du compromis politique !", tonnaient plusieurs membres du conseil national au sortir de la réunion au cours de laquelle a été décidé la tenue du congrès extraordinaire. Il sera question lors de ce congrès de l'élection d'une nouvelle instance présidentielle avec une liste consensuelle comportant Mohand-Amokrane Cherifi, Ali Laskri, Aziz Baloul. Cette liste sera complétée par deux autres membresen vue de convoquer un congrès nationalordinaire qui aura lieu en 2019.
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