Guedioura : « Un grand travail reste à faire»

Guedioura : «Ce n'est pas fini, un grand travail reste à faire»Tout auréolé de sa victoire enregistrée avec la sélection nationale, mercredi passé en Gambie, le milieu de terrain de Nottingham Forest, Adlène Guedioura, s'est adressé aux supporteurs de Nottingham, ce vendredi, via le site internet : thisisnottingham.co.uk. L'ancien joueur de Wolverhampton estime que malgré la victoire de la semaine dernière ramenée de Birmingham, qui vient les relancer dans la course pour la survie, la lutte pour le maintien reste encore longue et difficile : «Nous sommes tous heureux de ce succès de la semaine dernière obtenu face à Birmingham, le groupe a repris confiance. Cette victoire nous permet de croire encore en nos chances et de continuer à nous battre jusqu'au bout.»
«Heureux d'avoir contribué au redressement de l'équipe»
Désigné homme du match face à Birmingham, l'international algérien Adlène Guedioura aura été pour beaucoup dans ce succès : «Je suis bien sûr heureux d'avoir contribué au succès de mon équipe. Après la victoire contre Coventry City, on devait confirmer en dépalcement et c'est que nous avons pu réaliser contre Birmingham. Ce n'est pas fini, un grand travail nous reste à accomplir. Nous devons aller de l'avant, garder cette mentalité de gagneur et croire de plus en plus en nos capacités pour nous en sortir.»
«L'heure n'est pas à la célébration»
Adlène Guedioura a mis en garde ses camarades contre tout excès de confiance, la veille du déplacement à Barnsley. A propos du match d'aujourd'hui, Guedioura pense qu'il sera d'une importance capitale pour les deux formations : «C'est vrai que ces deux victoire consécutives sont très bonnes pour le moral, mais il faut éviter l'euphorie. Ce sentiment, on doit l'éprouver en fin de saison lorsque nous serons sauvés de la relégation. Et pour atteindre notre objectif, on doit bien digérer nos victoires et rester concentrés jusqu'à la fin. L'heure n'est pas à la célébration de nos succès, il faut continuer le travail entamé depuis deux semaines jusqu'au bout.» Moumen A.